Visite en Prison.

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Blonde

Traduction d’un texte de MillerHighLife

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Tiffany est si nerveuse qu’elle se dit que son cœur va sortir de sa poitrine tellement il bat fort. Elle essaie de sa clamer en prenant de grandes inspirations. En dix ans de mariage, elle n’a jamais trompé son mari. En fait c’est le seul homme avec qui elle a couché. Tiffany aime toujours son mari et ses deux enfants, mais elle aspire à quelque chose de plus que la vie d’une femme au foyer en banlieue.

Il y a un an, elle a commencé à discuter en ligne avec un homme plus jeune. Son pseudonyme était LeGros. Au début, leurs échanges étaient purement portés sur le sexe et lorsqu’ils échangeaient des messages, c’était toujours vicieux. Pour la première fois depuis des années, Tiffany pu avoir des orgasmes satisfaisants en fantasmant sur son amant en ligne.

Au fil des mois, des morceaux de leur vie personnelle se sont glissés dans leurs conversations. Puis LeGros lui a dit qu’il avait un secret. Il était détenu dans une prison de haute sécurité et purgeait une peine de prison à vie pour trois vols à main armée et un meurtre.

A ce moment, Tiffany n’était pas sûre de savoir si elle devait répondre ou lui écrire à nouveau. Il lui fallut une semaine pour réfléchir et elle lui répondit sans rien cacher de sa vie. Elle lui a dit à quel point sa vie était ennuyeuse et qu’elle avait désespérément besoin d’excitation. Le massage suivant de LeGros fut le plus explicite et excitant qu’il ait jamais envoyé. Chaque mot l’excitait davantage au point qu’elle ne put s’empêcher de se masturber. A la fin du message, elle vit que LeGros aveit joint un lien vers le site web de la prison. Lorsque elle a cliqué sur ce lien, un formulaire de demande de visite conjugale est apparu.

Son esprit s’embrouilla en réfléchissant aux conséquences de ce qu’il proposait. Si son mari découvrait son infidélité, il divorcerait sûrement. Si sa famille l’apprenait, elle serait reniée. Mais avant qu’elle puisse se convaincre que les risques étaient trop grands, elle remplit le formulaire et l’envoie. Trois jours plus tard, elle reçut une lettre officielle du service pénitentiaire lui indiquant que sa demande de visite conjugale avec le détenu n° 300169 était approuvée.

Le lendemain matin, Tiffany est assise au volant de sa mini-fourgonnette. Elle regarde la clôture recouverte de barbelés qui entoure la prison de haute sécurité. Ses inspirations profondes l’aident à faire ralentir son cœur qui s’emballe. Toutefois, son estomac se serre toujours. Elle a fait tout ce chemin, mais elle n’est pas sûre de pouvoir aller jusqu’au bout.

Rassemblant tout son courage, elle ouvre la porte de son véhicule et sort sur le parking. Tiffany s’est habillée pour mettre en valeur ses atouts féminins. Elle porte des talons hauts, une mini-jupe noire qui couvre à peine ses fesses et un débardeur rouge si serré qu’il est comme une seconde peau sur ses seins. Alors qu’elle se dirige vers la porte indiquée comme l’entrée des visiteurs, elle peut voir que les gardes de la tour la lorgnent. Toutes ces heures passées à se dépenser à la salle de gym semblent soudainement en valoir la peine.

Le garde à l’entrée prend sa lettre d’autorisation. Il la lit en détail et déverrouille la porte en grognant. Tiffany entre et se retrouve dans une allée étroite entre deux cours de promenade pour les détenus. Il s’y trouve une dizaine de prisonniers, tous habillés en orange vif. Ils arrêtent tous leur activité pour la regarder. Elle essaie alors d’éviter tout contacte visuel et se concentre sur le prochain contrôle de sécurité.

Tiffany ne peut voir le visage du garde qu’à travers une petite fenêtre pare-balles du poste de contrôle. Par l’interphone, il lui ordonne de faire passer sa demande d’autorisation dans la fente qu’il vient d’ouvrir près de la porte. Elle s’apprête à faire passer van escort le papier, mais elle le fait tomber accidentellement. Sans réfléchir, elle se penche pour le ramasser. Soudain, derrière elle, elle entend des cris des détenus, des sifflements et des remarques obscènes et vulgaires, les pires qu’elle ait jamais entendus. C’est alors qu’elle se rend compte que le fait que sa jupe soit très courte et qu’elle ne porte pas de culotte ont donné une vue imprenable sur son cul et sa chatte rasée quand elle s’est penchée. Rougissante elle se relève et tire sur sa jupe. Après avoir fait passer le document dans la fente, le verrou de la porte est déverrouillé et elle peut pénétrer à l’intérieur.

Elle est accueillie par un gardien à la voix monotone qui lui lit sur un bloc-notes :

– Bienvenue dans cette prison de haute sécurité. Pendant votre visite, vous devrez obéir à tous les ordres qui vous seront donnés par le personnel en uniforme de cet établissement. Pendant votre visite vous serez sous surveillance constante. Tenter de faire passer des produits de contrebande à la population carcérale est un crime de classe trois, passible d’une peine de prison de huit ans maximum et d’une amende de 25 000 dollars. En signant au bas de cette déclaration, vous consentez à une fouille de votre personne ainsi que des objets apportés dans cet établissement.

Le garde lui tend le bloc-notes. Tiffany jette un œil à ce formulaire de consentement et signe rapidement. La garde récupère son bloc-notes et dirige la femme vers un détecteur de métaux. Il lui dit :

– Enlevez vos chaussures, vos bijoux et tout autre objet et placez-les dans ce panier.

Tiffany connaît la procédure pour avoir plusieurs fois passé la sécurité d’un aéroport. Elle pose ses affaires dans le panier et elle franchit le détecteur en toute confiance. Aucune alarme ne se déclenche. Elle s’arrête en attendant que le garde lui rende le contenu du panier. Mais il le pose sur une étagère et lui dit :

– Passez la première porte à droite!

Elle voudrait récupérer ses talons, mais elle décide de ne rien dire. Elle fait ce qu’il lui a dit et trouve une gardienne qui l’attend. Tiffany est surprise de voir à quel point elle est attirante. Même dans l’uniforme gris, elle se rend compte que la gardienne aux cheveux blonds et aux yeux bleus a une silhouette étonnante. Elle se demande si elle n’a pas été engagée pour exciter les détenus.

D’un ton sévère qui ne va pas avec ses jolis traits, la gardienne dit :

Vous allez devoir maintenant vous soumettre à une fouille corporelle complète et à une fouille de vos intimités. Enlevez vos vêtements un par un et donnez-les-moi!

Tiffany fait passer son haut par-dessus sa tête et lui donne. Elle regarde la gardienne examiner le vêtement, puis le déposer sur le sol à côté de la porte ouverte. Le processus se répète avec sa jupe. La femme lui demande ensuite de se tenir debout, les pieds sur les X en adhésifs sur le sol, les bras tendus au-dessus de sa tête. Tiffany prend a position et elle entend le bruit de latex sur la peau que l’on fait en enfilant des gants.

Tiffany n’a jamais subi de fouille corporelle auparavant, mais elle a une idée de ce quoi elle doit s’attendre. La gardienne lui ordonne d’ouvrir sa bouche en grand. Elle n’aime pas le goût du latex, mais elle ne se plaint pas quand la femme glisse son doigt autour des gencives et sous sa langue. Puis la gardienne soulève chacun de ses seins pour s’assurer que rien n’est collé dessous.

– Maintenant penchez-vous et posez les mains à plat sur le sol!

Les cours de yoga qu’elle suit trois soirs par semaine lui permettent de prendre cette pose sans problème. Tiffany sent deux doigts fins toucher sa chatte puis pénétrer à l’intérieur. La gardienne sonde l’intérieur de sa grotte jusqu’à yalova escort ce qu’elle soit sûre que rien ne se cache dedans. Puis sans le moindre avertissement, la gardienne enfonce ses doigts dans son trou du cul. Tiffany sursaute sous cette intrusion anale.

– Ne bougez pas et détendez-vous! Ordonne la gardienne.

Tiffany sent qu’elle prend plaisir à la dégrader ainsi.

Enfin la gardienne retire ses doigts et demande à Tiffany de s’habiller. La mère de famille se glisse rapidement dans ses vêtements et suit la gardienne jusqu’à une petite cellule vide tout au bout du couloir. Elle déverrouille la porte de la cellule et laisse Tiffany entrer.

Désignant la porte opposée à celle qu’elle vient d’ouvrir, la gardienne dit :

– Dans un instant, le détenu que vous venez voir entrera par là!

Puis la gardienne laisse tomber son ton autoritaire et dit :

– Vous devriez peut-être me donner vos vêtements. Ces types ont tendance à être un peu brutaux, et j’ai vu des femmes repartir d’ici presque nues parce que leurs vêtements étaient complètement déchirés.

Tiffany se contente de hocher la tête et de se déshabiller à nouveau. Elle tend ses habits à la gardienne en lui disant :

– Merci!

– Pas de problème, mais j’ai juste une autre question. Pourquoi veux-tu baiser un type qui purge une peine de prison à vie pour avoir brutalement violé six femmes?

Tiffany secoue la tête en pensant qu’il doit y avoir une erreur. Son expression de surprise indique à la gardienne qu’on a dû lui mentir. Celle-ci dit en riant :

– Vous êtes tellement stupides, vous les salopes!

Elle fait claquer la porte de la cellule et s’éloigne. Tiffany tape du poing sur la lourde porte métallique dans une tentative futile pour qu’on la libère. Puis, derrière elle, l’autre porte s’ouvre. Elle se retourne et appuie son dos contre la porte métallique froide. L’homme qui se tient à l’extérieur de la cellule est tellement grand que les gardes qui l’escortent semblent être des nains. Des muscles épais ondulent sous sa peau noire comme du charbon quand il franchit la porte. Il doit se baisser et tourner ses épaules pour pouvoir entrer dans la cellule. A part les chaînes qui l’entravent, il est complètement nu. Les yeux de Tiffany sont immédiatement attirés par le membre massif entre ses jambes. Elle n’a jamais imaginé qu’un sexe puisse être aussi grand.

Les gardes qui l’escortent ne perdent pas de temps à lui enlever les menottes. L’un d’eux dit par-dessus son épaule en partant :

– Tu as une heure! Amuse-toi bien!

Tiffany tremble tellement qu’elle peut à peine tenir debout. LeGros fait un pas vers elle et elle hurle de terreur. Il se jette sur elle et sa grande main se referme sur son cou. En chuchotant à son oreille, il lui dit :

– Nous pouvons faire ça de la manière douce ou de la manière forte. Ça n’a pas d’importance pour moi, car de toute façon j’obtiens ce que je veux.

Il relâche sa prise et Tiffany se met à genoux devant lui. Sa grosse bite commence à se dresser devant son visage. Rien qu’à son regard, elle sait ce qu’il veut qu’elle fasse. Tiffany ouvre la bouche aussi grande que possible et laisse le gland violet foncé glisser dans sa bouche. La queue continue à grossir et bientôt elle remplit sa bouche complètement. LeGros pose une main sur l’arrière de sa tête. Elle lève les yeux vers lui pour le supplier de ne pas lui faire de mal. Mais pour toute réponse, il lui lance un regard froid et insensible. Il lui fait basculer la tête en arrière et il commence à s’enfoncer dans sa gorge.

Tiffany commence à étouffer, mais l’homme se contente de rire. Elle peut sentir chaque veine de sa bite sur sa langue. Des larmes coulent de ses yeux. Par réflexe, elle commence à le mordre. c’est alors qu’il la gifle et lui crie :

çorlu escort Je me retire quand tu lécheras mes couilles!

Sa gorge la brûle de plus en plus alors qu’il s’enfonce dans sa bouche. Sur le point de s’évanouir, Tiffany peut tirer la langue assez loin pour chatouiller les poils de ses couilles. A son grand soulagement, le colosse noir est fidèle à sa parole et il retire son membre de sa bouche. Sa bite est recouverte de longs filets de salive. Tiffany tousse et quand elle essaie de parler, les mots ne sortent que dans un murmure rauque. Elle voudrait se recroqueviller sur le sol et se laisser mourir pour s’être laissée entraîner dans cette situation.

En sanglotant de façon incontrôlable, Tiffany ne peut rien faire pour empêcher l’homme de continuer à la torturer. LeGRos coince ses bras au sol à côté de sa tête et se met à cheval sur son corps. Il commence à mordre ses seins et à sucer ses tétons. Il laisse d’énormes zébrures rouge foncé sur sa poitrine. Mais il ne s’arrête pas qu’à ses seins, il laisse des marques le long de ses jambes, de ses bars, de son ventre et à un moment il la retourne pour lui faire la même chose au dos et à ses fesses. Il faudra des semaines pour que les marques disparaissent complètement.

LeGros sait que son heure va bientôt être terminée. Il a besoin de sentir sa chaleur autour de sa virilité. Il soulève Tiffany et la plaque au mur, assez haut pour que ses pieds ne touchent plus le sol. A ce stade, la mère de famille a abandonné toute résistance. Sa vie telle qu’elle l’a connue est terminée. Elle n’arrive pas à s’expliquer ce qui lui arrive. Elle peut sentir la bite de l’homme noir s’enfoncer en elle tandis qu’il la laisse glisser le long du mur. Son propre poids l’empale sur la grosse queue. Tout ce qu’elle peut faire c’est de grimacer à cause de la douleur de cette bite qui pénètre profondément en elle.

Elle finit par sentir les poils pubiens de l’homme contre ses lèvres de chatte gonflées. LeGros se déplace vers le centre de la cellule. Puis il commence à la soulever et à la laisser retomber sur sa queue. Les gémissements de Tiffany sont dus au début à cause de la douleur, mais finalement le plaisir se mêle à cette douleur. Le rythme de l’homme accélère et elle jouit d’une intensité qu’elle n’a jamais connue. Plus rien ne semble avoir de sens pour elle. Elle est en train de se faire violer violemment et elle lui crie de ne pas s’arrêter. Ses orteils se recroquevillent et elle griffe son dos alors que les orgasmes s’enchaînent.

Le colosse noir ne peut se retenir plus longtemps. Il explose en elle. Il peut encore sentir sa chatte se serrer quand il sort. Le corps de Tiffany en demande encore. Il l’allonge sur le sol et admire son travail. Ses yeux sont rouges et les larmes coulent sur ses joues. Les marques qu’il lui a infligées sont bien visibles. Mais son chef-d’œuvre se trouve entre ses jambes encore tremblantes. Sa chatte est béante et laisse échapper son foutre qui forme une flaque sous elle.

Les gardes reviennent et lui remettent les menottes. Ils ne prêtent aucune attention à Tiffany, qui est assise contre le mur de la cellule, en état de choc. Un moment plus tard, la gardienne ouvre l’autre porte côté visiteurs et jette ses vêtements à Tiffany.

Plus tard ce soir-là, Tiffany est seule dans le confort douillet de sa tranquille maison de banlieue. Elle vérifie ses e-mails. Sa famille est au lit. Elle a convaincu son mari qu’elle n’allait pas bien et que c’était pour ça qu’elle portait un jogging plutôt que sa nuisette habituelle. Même si elle est meurtrie dans sa chair et dans son âme, elle espère avec impatience recevoir un message de LeGros. Juste avant qu’elle ne soit sur le point d’éteindre l’ordinateur et d’aller se coucher, elle reçoit un nouvel e-mail. Elle ne reconnaît pas l’expéditeur, mais l’ouvre quand même. Le message dit :

« Je suis un ami de LeGros. Il m’a dit que tu étais une salope blanche excitée qui aime les bites noires. J’aimerai beaucoup te rencontrer »

En bas de l’e-mail, il y a un lien vers le site web de la prison. Tiffany clique dessus.

FIN

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Sexe d’été Torride

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Il faisait chaud, une chaleur étouffante, même la nuit. Les draps étaient en soie douce, et ils étaient si doux contre ma peau que j’enveloppais mon corps nu dedans et essayais de dormir. Mais même la soie luxueuse ne parvenait pas à chasser la chaleur de l’été tropical. Finalement, je n’en pouvais plus, je suis sortie du lit et j’ai fait un tour dans la maison.

À l’exception d’un string, j’étais complètement nue. Mes longs cheveux noirs coulaient sur mon dos presque jusqu’à mes coudes, et je balayais quelques mèches de cheveux égarées sur mes épaules en marchant. La seule autre personne de la maison est restée au lit, profondément endormie.

J’ai fait un détour par la cuisine où j’ai vidé une bouteille d’eau glacée de la fontaine. Ce n’était pas la première fois que je me rendais à la fontaine à eau ce soir, et ce ne serait probablement pas la dernière. Après mon verre, je me suis rendu à l’avant de la maison, où nous avions un salon spacieux avec une porte coulissante de style oriental menant au jardin.

J’ai déplacé les portes coulissantes sur le côté et je suis sorti dans le jardin en plein air sur le toit. Le sol était fait de panneaux d’acajou poli, des plantes étaient disséminées à intervalles réguliers et la pièce maîtresse était une grande piscine en forme de huit.

La vue était extraordinaire. Le manoir se trouvait tout près de la côte et donnait sur l’une des nombreuses baies de Hong Kong. La lune était une fine tranche de lumière argentée dans un ciel totalement dépourvu de nuages, et la mer calme scintillait à la lumière des étoiles qui se reflétait sur sa surface liquide.

Les sons de la nature qui accompagnent les paysages étonnants viennent s’ajouter à ceux-ci. Les insectes d’été étaient présents en force et un chœur de grillons remplissait l’air de leurs stridulations.

Mais même dans l’air de la nuit, il faisait une chaleur étouffante.

J’ai grimpé sur une chaise longue au bord de la piscine et je me suis allongé. Le tissu n’était pas aussi doux ou lisse que les couvertures de lit, et il serait probablement inconfortablement trempé de sueur, mais c’était mieux que rien. Je suis restée allongée un moment, regardant la vue magnifique, sans aucune gêne de voir mes seins et mon corps exposés à la vue du ciel.

Pourquoi serais-je gêné? Personne n’était là pour le voir.

Il y avait parfois des voyeurs — ou plus exactement des curieux — qui m’apercevaient en train de prendre un bain de soleil, seins nus ou complètement nus. Il s’agissait généralement d’adolescents qui se rendaient à la plage ou en revenaient, à la fois turbulents et peu sûrs d’eux. Ils s’inquiétaient de savoir comment se glisser entre les jambes d’une fille et s’ils pouvaient faire aussi bien que les gars dans les films pornos qu’ils regardaient.

Les curieux étaient rares, car sans un bon angle de vue, il était impossible de voir la piscine et le jardin sur le toit depuis le niveau de la rue, ou même depuis les maisons voisines. Bien sûr, on m’avait déjà vu en plein jour sur le jardin du toit avec peu ou pas de vêtements, et il était possible que des gens aient pris des photos ou des vidéos de moi. Il faisait trop chaud pour frissonner, même dans l’inconfort, mais la pulsion qui me poussait à le faire était également tempérée par l’exhibitionniste qui sommeillait en moi.

Et de toute façon, c’était le milieu de la nuit. Personne ne pouvait me voir me promener avec mes seins à l’air ou la fine bande de tissu rouge triangulaire qui cachait ma chatte aux yeux du monde. Je me sentais incroyablement libérée d’être nue à l’air libre, sans personne pour me voir.

Une brise murmurait doucement dans l’air, une brise torride aussi chaude et tropicale que l’air lui-même, mais une brise quand même, et je me suis installée plus confortablement dans la chaise longue inclinée. L’atmosphère chaude et humide m’excitait également.

J’ai passé ma main sur mon ventre trempé de sueur, glissant mes doigts sous le triangle de tissu qui protégeait le peu de pudeur que j’avais. Puis j’ai glissé un doigt entre mes lèvres inférieures, frottant le bout de mon doigt de haut en bas sur mon clito. J’ai fermé les yeux et ouvert la bouche lorsque mon clito sensible a réagi à mon contact et a envoyé de petites vagues de plaisir dans mon entrejambe.

Je me masturbais rarement, et rarement à l’air libre, mais cela aussi m’a semblé incroyablement libérateur. J’ai frotté frénétiquement mon clito avec le seul ciel ouvert pour m’observer, et j’ai senti mes lèvres s’engorger de plaisir. Je ne pouvais pas faire cela dans la chambre à coucher — pas avec quelqu’un d’autre partageant le lit avec moi — et c’était si bon d’avoir une séance d’auto-plaisir, une séance qui était à la fois à l’air libre et privée.

Il s’est avéré que ce n’était pas tout à fait privé.

J’ai tourné la tête et mes yeux se sont entrouverts, suffisamment pour apercevoir une silhouette de l’autre côté de la cloison. J’ai tressailli comme si j’avais été touché par une électricité statique trabzon escort et j’ai immédiatement arrêté ce que je faisais.

La luxueuse maison à plusieurs étages dans laquelle je vivais n’était pas une structure indépendante. Toutes les maisons de ce quartier étaient mitoyennes et deux d’entre elles — chacune avec son jardin et sa piscine sur le toit — étaient réunies en une seule structure. La seule chose qui séparait les deux jardins était un mur de verre à hauteur de la taille. De l’autre côté de cette cloison, quelqu’un se tenait debout et m’observait.

Je me suis redressée dans un mélange de choc et d’embarras, retirant précipitamment mes doigts de mon string. À ce mélange d’émotions s’est ajoutée l’indignation. Qui était cette personne? Pourquoi était-il dehors si tard dans la nuit, et qu’est-ce qu’il faisait à épier le jardin de quelqu’un d’autre?

La lumière des étoiles et de la lune était juste suffisante pour que je puisse le voir assez bien, et je pouvais voir qu’il n’était ni chinois ni asiatique. Sa peau claire et ses traits étaient clairement européens, tout comme sa chevelure blonde. Comme moi, il était nu, à l’exception de ses sous-vêtements : un caleçon ample qui semblait collé à ses jambes par la sueur.

Ses jambes — tout son corps, en fait — n’étaient que muscles toniques, et les traits de son visage, tout comme ses muscles, ressemblaient à du marbre finement ciselé. Il m’est venu à l’esprit de me demander ce qu’un garçon blanc faisait dans le jardin du voisin, ou dans ce quartier tout court. Il ne pouvait pas s’agir d’un membre du personnel ; les femmes de ménage indonésiennes et philippines étaient tellement moins chères à engager. Peut-être un pisciniste?

Quelle que soit la raison, il me fixait toujours.

Je me suis levé brusquement de la chaise longue et j’ai essayé de me réfugier à l’intérieur. Tout aussi brusquement — et plus vite que je ne pouvais bouger — mon curieux avait sauté par-dessus la cloison et comblé la distance le temps que je parvienne à ouvrir la porte coulissante.

Je me suis retournée juste au moment où il a plaqué sa main sur ma bouche, réprimant le cri d’effroi que je voulais pousser. Au même moment, j’ai tendu le bras et l’ai attrapé par l’entrejambe dans un élan défensif, ce qui l’a fait se figer en réaction.

Nous sommes restés là, enfermés dans une position de menace mutuelle, mes doigts se refermant dangereusement sur sa virilité sensible, et ses mains menaçant à leur tour ma trachée. Aucun de nous n’osait bouger, ni même broncher. Mon cœur battait la chamade alors que je me demandais ce que cet intrus effronté pourrait me faire si j’osais serrer — ou si ce n’était pas le fait que je menaçais de serrer.

Hormis des sous-vêtements peu solides, nous étions tous les deux nus et nos peaux moites se touchaient réellement tandis que nous nous lancions dans un combat de regards pour compléter la menace mutuelle que nous faisions peser sur nos zones vitales. Nous avons également eu l’occasion de bien regarder nos corps respectifs pendant que nous nous affrontions.

Avec un tel corps, il devait être un mannequin de sous-vêtements d’Europe ou d’Amérique. Sa musculature tonique était encore plus visible maintenant qu’il touchait mon ventre, et sa poitrine musclée était pressée contre la mienne. Il était incroyablement séduisant, et le fait d’être tout près de lui me faisait me sentir un peu faible dans les jambes, et plus qu’un peu vulnérable entre elles.

Je pouvais voir qu’il avait les mêmes pensées à propos de mon corps. Avec une main toujours serrée sur ma bouche, son autre main se promenait sur ma chair, le long de mon cou jusqu’à ma poitrine où il a pris mes seins et les a caressés. Ses caresses étaient étonnamment tendres et j’ai entrouvert la bouche en réponse à son contact.

Mes doigts étaient toujours fermement refermés autour de son sexe, et je sentais son entrejambe bombé grandir sous mon emprise. Je relâchai légèrement mon emprise et commençai à le caresser. La tension sexuelle entre nous était inévitable et grandissait comme un volcan en sommeil. Nous étions tous les deux en sous-vêtements, après tout, et la chaleur humide de la nuit d’été était comme de l’essence pour le feu sexuel grandissant entre nous.

Son autre main s’éloigna de ma bouche, s’arrêtant pour tracer un doigt sur mes lèvres avant de me prendre par le menton et de lever mon visage vers le sien. Ses yeux étaient d’un vert magnifique et s’harmonisaient avec ses cheveux blonds. J’ai oublié qu’il s’agissait d’un intrus et qu’il me tripotait, et je l’ai laissé se rapprocher de moi et presser ses lèvres contre les miennes.

Je fermai les yeux et ouvris la bouche, permettant à sa langue d’entrer. Il a pressé son corps encore plus près du mien, passant ses mains sur mon corps nu et en sueur, tandis que son entrejambe se pressait contre le mien. J’ai complètement relâché mon emprise sur sa virilité et je l’ai embrassé à mon tour, me perdant dans cette rencontre.

Sans tunceli escort crier gare, il a accroché ses mains derrière mes genoux et m’a soulevée dans les airs. Le baiser permanent étouffa mon cri de surprise tandis qu’il me portait à travers les portes coulissantes ouvertes dans ma propre maison et m’allongeait sur le canapé.

Tout en me maintenant coincé sous son poids, il a fouillé dans son caleçon et l’a descendu jusqu’à ses chevilles. Une décharge d’adrénaline a traversé mon cœur lorsque j’ai réalisé ce qui était sur le point de se produire. Ce garçon blanc m’avait espionnée, puis il avait sauté par-dessus la cloison pour m’empêcher de crier à l’aide, et maintenant il se préparait à me violer.

Entre les ombres, je pouvais voir sa bite ; longue, épaisse et blanche, pointant vers moi comme une lance de guerrier, menaçant de me violer. Je commençai à me débattre contre son poids, mais c’était inutile, il était bien plus fort que moi, et mon agitation n’était qu’une gêne mineure lorsqu’il commença à tripoter mon string.

Maintenant, je ressentais de la peur. C’était une peur étrange, exaltante, mais c’était tout de même de la peur. Il avait déjà réussi à glisser ses doigts sous le tissu de mon string, et il le tira avec force, arrachant le tissu de ma chatte et, avec lui, ma dernière protection contre sa bite menaçante.

J’étais impuissante à présent. Je ne pensais pas pouvoir rassembler la force nécessaire pour tenter une dernière fois de le repousser, et il n’a pas daigné perdre plus de temps avec les préliminaires. Je me sentais comme une jeune fille sacrifiée, donnée en offrande pour satisfaire un dieu tribal brutal, et sans autre cérémonie, il a aligné sa virilité sur ma féminité et l’a poussée à l’intérieur.

J’ai sursauté. Le souffle de choc et d’inconfort que j’ai laissé échapper a été étouffé par le chœur des grillons à l’extérieur, mais il était certainement audible pour mon agresseur, aujourd’hui thérapeute. Sa bite était plus longue et plus épaisse qu’elle n’en avait l’air dans les ombres de la nuit d’été, et j’ai senti les parois de mon vagin s’étirer plus que jamais pour s’adapter à sa taille et à sa circonférence.

Il grogna son plaisir alors qu’il s’enfonçait dans mes couilles, savourant la sensation d’être physiquement à l’intérieur d’une femme, en particulier d’une femme asiatique. Les hommes blancs et la fièvre asiatique étaient certainement une chose, et le plaisir lent et arrogant qu’il prenait à me violer au début de sa poussée m’a permis de comprendre ses penchants.

Le plus embarrassant, c’est que j’aimais ça aussi. Cette rencontre et les événements qui l’ont précédée auraient pu être tirés directement d’un roman érotique. Une femme se faisant ravir par son bel amant exotique par une nuit d’été chaude et humide. En voyant ma situation sous cet angle, alors que ses poussées et ses grognements devenaient de plus en plus forts, il m’a été plus facile de m’abandonner à ce qui était en train de se passer.

Mon violeur blanc n’avait pas de sentiments aussi compliqués, pour autant que je puisse en juger. Il a serré mon corps contre le sien, grinçant et faisant claquer ses hanches sans pitié ni retenue tandis qu’il s’enfonçait en moi. Sa bite entrait comme un piston dans mon vagin humide et accueillant, et tout ce que je pouvais faire était d’essayer de ne pas crier trop fort.

Il y avait peu de friction entre nous pendant qu’il me baisait. La sueur d’été torride de nos corps nus adoucissait nos mouvements tandis qu’il me bousculait, faisant glisser son corps d’avant en arrière sur mon ventre vulnérable, et pilonnant ma précieuse chatte à chaque poussée impitoyable de sa bite géante.

J’ai enroulé mes bras autour de ses épaules et je l’ai serré contre moi pendant que mon viol progressait. Nous savions tous les deux qu’il n’y avait pas d’échappatoire et qu’il continuerait jusqu’à ce qu’il ait eu son plaisir. Mais j’avais de plus en plus envie de satisfaire mon propre plaisir. Sa bite frappait les portes de mon col de l’utérus comme un bélier, et la tension érotique pure de la rencontre signifiait que ce n’était pas seulement la sueur qui me faisait mouiller.

Il approchait de l’orgasme. Je le voyais à sa respiration de plus en plus saccadée et à l’agressivité croissante de ses coups. La nature primitive et bestiale de son assaut sexuel sur mon corps faisait monter le plaisir en flèche dans mon ventre et dans ma chatte.

J’ai pris conscience de la situation.

Il a vu l’expression de panique qui a traversé mon visage dans la faible lumière et l’a ignorée. J’aurais dû savoir qu’il le ferait. En fait, à travers les ombres et nos ébats semi-consensuels trempés de sueur, je pouvais presque distinguer un sourire. C’était un rictus de satisfaction, peut-être même de triomphe, et je pouvais dire que j’avais laissé entendre que je ne prenais aucun moyen de contraception.

Le claquement moite de nos corps l’un contre l’autre était devenu un battement uşak escort de tambour bruyant que l’on pouvait entendre par-dessus le chœur des grillons à l’extérieur. Je glapissais et gémissais en synchronisation avec ses poussées, dans un délire de plaisir impuissant, et j’ai resserré mon étreinte sur mon violeur. C’était tout ce que je pouvais faire à ce moment-là, car l’orgasme qui bouillonnait en moi menaçait de déborder complètement.

Il grogna soudainement dans mon oreille et força sa bite en moi jusqu’à la garde. Malgré la chaleur étouffante, j’ai senti un frisson sensuel me parcourir lorsqu’un jet poisseux de chaleur liquide a jailli de sa bite au plus profond de ma chatte. Il a été suivi d’un autre jet, puis d’un autre et encore d’un autre, impulsion après impulsion de semence puissante remplissant ma chatte vulnérable jusqu’au bord.

La sensation de sa puissante charge inondant ma chatte fit éclater la bulle de plaisir qui grandissait en moi. J’ai poussé un cri d’orgasme, griffant le dos de mon violeur et enroulant mes jambes autour de ses cuisses par instinct charnel alors qu’il me violait jusqu’à la moelle. Mon ventre et mon entrejambe étaient réduits à de la gelée émotionnelle alors que mon orgasme se mêlait au sien.

Il s’est maintenu en moi le plus longtemps possible, enfouissant triomphalement sa virilité jusqu’à la garde pour concrétiser sa conquête de mon corps. L’arrogance de sa violation effrontée était stupéfiante. En même temps, je ne pouvais pas m’empêcher d’être submergée par le tourbillon de sentiments qui déferlait en moi.

Nous étions tous deux haletants d’épuisement alors que nous redescendions de notre excitation sexuelle mutuelle, et la chaleur émanant de nos corps en sueur rendait l’air estival frais en comparaison. Alors que notre respiration laborieuse ralentissait et se calmait, le bruit de fond du chœur des grillons reprenait de plus belle.

Je suis également devenue plus consciente du fait qu’il y avait un étrange garçon blanc sur moi, qui venait de me violer.

Il en a profité pour partir, se retirant et me laissant violée et épuisée, allongée sur le dos, les jambes écartées devant lui. Il s’est agenouillé pour ramasser quelque chose sur le sol, puis s’est arrêté en chemin pour bien regarder ma chatte.

J’ai senti une langue chaude et humide effleurer mon clitoris lorsqu’il s’est levé et est parti sans un mot, tenant un paquet de tissu dans sa main. Dans mon délire surchauffé et post-orgasmique, je pouvais juste distinguer son caleçon blanc et une bande de tissu rouge agglutinée : mon string.

Cet animal prenait mes sous-vêtements comme trophée.

Au moins avait-il la courtoisie de refermer la porte coulissante après lui une fois qu’il était sorti. Je suis restée paisiblement allongée dans l’obscurité, le vacarme naturel des insectes s’étant tu, tandis qu’un mélange salé de sa sueur et de la mienne coulait à flots le long de mon corps nu. Au bout d’un moment, j’ai également senti un liquide poisseux commencer à s’écouler de ma chatte.

J’ai rassemblé l’énergie nécessaire pour me lever du canapé et me rendre une nouvelle fois à la cuisine. Après avoir vidé une autre bouteille d’eau glacée directement de la glacière, je suis retourné au lit, me glissant sous les couvertures, léthargique à cause de la chaleur étouffante de l’été et étourdi par la rencontre.

L’autre occupant de la maison — et du lit — a remué à mon retour, s’est retourné et a enroulé un bras et une jambe autour de moi, nos seins se frottant l’un contre l’autre.

D’une certaine manière, je me sentais plus en sécurité avec le corps d’une autre femme blotti contre le mien. Je lui ai rendu la pareille, partageant la peau et la chaleur d’une femme avec ma colocataire et ma compagne de lit. Mais ma relation sexuelle avec ce garçon blanc sexy n’avait eu lieu qu’il y a une dizaine de minutes, et ce souvenir rendait mon corps nu intensément vulnérable, en particulier ma chatte.

Consciemment, et peut-être aussi par désir confus, une de mes mains a glissé entre mes cuisses pour se poser sur mon entrejambe et se toucher. Je pouvais sentir que mes lèvres étaient encore gonflées par le plaisir, et je pouvais sentir ma moiteur due à l’excitation résiduelle de la rencontre précédente. Je sentais aussi sa semence s’écouler de mon vagin et, malgré la chaleur torride, j’en avais des frissons.

***

Le soleil s’est levé tôt en été et il brillait déjà haut dans le ciel lorsque je suis arrivée dans la cuisine, vêtue uniquement d’une robe de chambre courte, pour commencer à préparer le petit-déjeuner pour deux personnes.

Ou plutôt pour trois.

Je me suis glissée dans ma robe de chambre et j’ai posé une main pensive sur mon ventre. Deux mois s’étaient écoulés depuis cette nuit, et je n’arrivais toujours pas à décider s’il s’agissait d’un viol ou de la meilleure chatte de ma vie — ou, de façon perverse, des deux. Mais le fruit de cette nuit grandissait en moi, et j’avais bien l’intention de le garder.

Ma colocataire est entrée dans la cuisine et a déposé un baiser amusant sur ma joue. Elle portait une culotte et rien d’autre, dévoilant ses seins au monde entier. C’était la même tenue que celle que je portais ce soir-là, et je me demandais si un jour mon violeur viendrait la chercher.

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Un gang-bang qui tourne mal Ch. 03

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Traduction d’un texte de creativeboyinspring

*****

– S’il vous plaît, pas plus! Dis-je faiblement en sentant que mes pieds et mes mains sont complètement déliés de la structure en fer. Tandis qu’ils s’activent à me détacher, je sens le sperme qui me recouvre commencer à s’écouler. J’ai la sensation d’être sale et dégoûtante. Je sais que chacun d’eux a joui sur moi. Et comme ils sont… six je crois, et qu’ils ont joui plusieurs fois, ça fait beaucoup de sperme.

Au moment où je ne suis plus retenue par les cordes, je tombe à la renverse, mes jambes ne répondant plus à mes ordres. Heureusement, ou peut-être pas, quelques gars m’attrapent avant que je ne tombe. Ils me soulèvent par les bars et me mettent plus ou moins debout. Je peux entendre leurs rires, j’ai vraiment l’impression qu’un train m’est passé dessus.

Et maintenant je suis en train de marcher en étant à moitié traînée sur ce terrain de jeu public. Mes pieds bougent pour que je puisse marcher, mais ils vont bien trop lentement. Puis-je les blâmer? Un train vient de me rouler dessus et j’ai été baisé au moins vingt fois de suite. J’aimerais bien savoir si quelqu’un est capable de marcher normalement après avoir subi ça.

– Pourquoi as-tu répondu à cette annonce, Michelle? Me demandé-je à voix haute alors qu’ils m’aident à avancer. Quand ils m’entendent, ils rient tous d’un vrai rire qui montre que ma réflexion était drôle.

Pourquoi ai-je dû faire quelque chose d’aussi fou que ça? Je vais avoir mal pendant des semaines, voire des mois, à cause de tout ce qu’ils m’ont fait subir. Bon sang, je ne suis pas sûre que mes seins retrouveront un jour leur apparence normale. Et toutes ces marques? Non seulement ils m’ont tous baisée, mais ils m’ont aussi fouettée avec rudesse. Et ils ne m’ont pas fouetté que les fesses, ils se sont aussi acharnés sur mes seins et ma chatte.

– Ça vient! Dit quelqu’un comme un avertissement pour que je puisse me préparer.

De l’eau glacée est projetée sur mon estomac. Instantanément je suis refroidie et je pousse un petit cri. En réaction, je lâche les gars qui me tiennent et je lève les mains pour me protéger du jet d’eau. Mais celui-ci se déplace vers le bas et asperge mes jambes. Alors j’essaie de le bloquer avec mes mains, mais les gars rigolent et arrosent ailleurs.

Je comprends alors qu’ils me lavent, qu’ils me douchent comme dans une prison. Alors j’arrête d’essayer de me protéger du jet et je les laisse faire. Et je fais la chose la plus dégoûtante que je n’ai jamais eue à faire, j’essuie le sperme sur mes yeux pour pouvoir voir ce qui se passe. Maintenant je peux voir le gars qui m’arrose. Nous sommes tous à côté d’un petit hangar, où semblent être ranger tous les outils de jardinage.

L’eau gicle sur mon corps. Je m’agite et me tortille, car l’eau froide est une vraie torture sur mon corps brûlant. L’eau est pulvérisée sur chaque parcelle de mon corps nu pour me nettoyer.

C’est alors qu’un autre gars s’approche de moi avec une bouteille qui semble contenir du savon vaisselle. Lorsqu’il arrive près de moi, le jet d’eau est dirigé vers le bas. Un sentiment, maintenant trop familier, d’humiliation m’envahit à nouveau lorsque le type commence à verser le liquide vaisselle… sur moi. Il commence directement sur mes seins, les noyant sous le liquide bleu et épais, puis il continue par mes épaules et sur le haut de ma tête et mes cheveux. Puis il descend et presse la bouteille sur moi à mesure qu’il se déplace. Ça lui prend bien une minute, mais il verse du savon sur chaque centimètre de mon corps.

La confusion que je ressentais plus tôt revient et elle est incontrôlable. Je ne comprends plus ce que je veux. Je veux dire qu’ils ne font pas là ce pour quoi j’ai signé, et pourtant j’adore ça. Le problème c’est que je déteste ça aussi. Je ne comprends pas comment je peux détester quelque chose que j’aime.

Ils auraient bien pu me donner un pain de savon et me dire de me nettoyer, mais non. Comme un chien, ils me versent du savon dessus et ils utilisent ce putain de tuyau pour me rincer. Tout ça juste pour pouvoir rire de moi. Ils ne veulent pas me traiter comme un être humain, mais comme une chose.

Mon humiliation augmente lorsque je sens des mains se poser sur moi pour faire mousser le savon. Je pourrais essayer de les arrêter, mais je garde les bras collés contre les côtés de mon corps. Je sais bien que si j’essaie de les empêcher on va de nouveau attacher mes mains.

Au premier regard, je me suis dit qu’ils devaient utiliser des éponges, mais quand je regarde mieux, je vois qu’il s’agit de morceaux de mon tee-shirt. Il utilise mon tee-shirt qu’ils ont déchiré pour nettoyer la saleté sur mon corps. Je gémis en entendant leurs rires alors qu’ils frottent vigoureusement mes seins douloureux qui ballottent.

L’eau est remise en marche et me frappe directement entre les jambes. Je glapis. Alors qu’ils m’aspergent et lavent le savon et la saleté, je dois admettre que je me sens mieux. Ne plus être recouverte de sperme est une bonne urfa escort chose. Se sentir propre change vraiment la façon de voir les choses.

– C’est bon, j’y vais! Crié-je d’agacement alors que l’on me pousse par-derrière en me demandant de marcher.

L’eau continue de m’asperger, mais elle est bientôt coupée. Le gars qui tient le tuyau le lâche. Ma réflexion fait bien rire les gars. Ils se moquent de moi comme si je les défiais de se battre avec moi.

En essayant de garder un peu de dignité en restant droite et fière, je commence à marcher en publiant que je suis complètement nue, que je viens de me faire baiser et gang-banguer. Le groupe de garçons marche près de moi, en riant et en se moquant avec des commentaires vicieux. Mais au moins je peux marcher sans que personne ne m’aide cette fois-ci. Toutefois je marche avec précaution, car je suis encore toute endolorie.

– Hé vous tous, vous n’êtes pas sérieux! Commencé-je à dire alors qu’ils me conduisent vers la balançoire en métal.

Mais des mains m’attrapent et je suis soulevée en l’air sans efforts. Ils me portent jusqu’à elle. Je me débats contre ces mains qui me tiennent, car je suis effrayée de ne pas savoir ce qu’ils veulent me faire.

Ils me placent dos à plat sur la planche de la balançoire, avec mes jambes qui pendent sur les côtés. Ils me font glisser vers le bas de façon à ce que mes fesses soient au bord de la planche. Leurs mains fortes saisissent mes mains et les tirent derrière la planche, où je sens qu’ils les attachent à nouveau. Puis ils enroulent une corde autour de mon ventre, au-dessus et en dessous de mes seins et l’attache sous la balançoire. Ainsi je ne peux plus me relever.

– Vous ne pouvez pas en vouloir plus? Comment êtes-vous encore capable de penser au sexe?

Je proteste alors qu’il m’attache à cette balançoire à bascule. Je suis surprise et stupéfaite. Après tout ce qu’ils ont fait, ils veulent encore me baiser? Comment est-ce physiquement possible?

– Qui a parlé de sexe? Demande le chef sérieusement.

Pendant un moment je ne comprends pas, puis mes yeux s’élargissent alors que je comprends ce qu’il veut dire : Pas de sexe, mais encore des abus, des punitions…

– Non, non, non, non… Protesté-je sous les rires.

Je secoue la tête d’avant en arrière pour essayer de me sortir de cette situation, mais je suis trop bien attachée.

Qu’est-ce que j’ai bien pu avouer d’autre quand on parlait? Quels autres tourments stupides ai-je dit vouloir essayer? Oh bon sang, pourquoi ai-je été aussi honnête et stupide?

– Ouvre grand! Dit l’un d’eux alors que des mains saisissent ma tête pour me forcer à ne plus bouger.

Un énorme gode est alors pressé contre mes lèvres. J’ai peur, car ce truc est vraiment gigantesque. Il est presque aussi large qu’une canette de boisson normal. Prise de court, je garde la bouche fermée pendant qu’on le frotte sur mes lèvres. Puis un de ces salauds me pince les tétons très fort. Bien sûr je crie et le gode est poussé dans ma bouche.

Les rires retentissent à nouveau et me font rougir lorsque qu’ils enfoncent l’objet dans ma bouche. Il est si gros que je sens mes lèvres se distendre dessus et m’empêcher de fermer la bouche. Je sens le goût du plastique.

Je ne suis pas stupide, je sais qu’ils ne font pas ça seulement pour m’humilier. Ils veulent me bâillonner pour que je ne puisse plus rien dire. Pour cela ils poussent le gode presque jusqu’au fond de ma gorge.

Les larmes aux yeux, je tourne la tête sur le côté. Là je vois quelques-uns d’entre eux avec un grand sac de sport. Ils sont en train de fouiller dedans, pour chercher je ne sais quoi.

– Je l’ai! Crie un des gars en sortant quelque chose du sac.

C’est l’un des noirs et quand il se lève, je vois qu’il a quelque chose dans la main. Quoi que ce soit c’est petit, mais ça brille à la lumière.

Le gars se précipite vers moi. J’ai l’impression d’un enfant qui court vers les cadeaux sous le sapin de Noël. Plus nerveuse qu’effrayée, j’essaie de voir quel objet il a en main. C’est alors qu’il me le montre ce qu’il a dans chaque main. Ce sont des pinces à tétons avec une chaîne qui les relie. En voyant cela, je ne peux que laisser échapper un faible gémissement pour lui faire comprendre que je ne veux pas. Mais il s’en moque.

Je dois le regarder ouvrir la première pince et l’approcher de mon sein gauche. Pendant un moment j’envisage de secouer ma poitrine dans l’espoir de rendre plus difficile la mise en place de l’instrument de torture, mais je crois que si je résiste, je risque d’être giflée. Un instant plus tard je plante mes dents dans le gode, car j’ai l’impression que l’on pince mon téton dur sans vouloir le relâcher. Je gémis et je ressens la même chose sur mon téton droit quand il y met l’autre pince. J’ai vraiment l’impression que leurs pinces ont été choisies avec soin, car elles serrent mes tétons aussi fort qu’elles le peuvent.

C’est alors que ce salaud attrape la chaîne et la soulève. Les pinces sivas escort tirent alors sur mes tétons. À ce moment je commence à crier ou du moins j’essaie. D’avoir les tétons pincés est déjà assez pénible, mais le fait qu’il tire sur la chaîne fait doublement mal. C’est tellement douloureux que j’essaie de cambrer mon dos pour avoir un peu de mou, mais j’oublie que je suis attachée.

Cet enfoiré continue de tirer pour me faire hurler de plus en plus fort sous mon bâillon. Mes yeux s’écarquillent alors que je vois mes seins être étirés en une forme de cône. Bon sang, que ça fait mal!

En riant, le gars tire la chaîne vers ma tête. Mes seins suivent alors le mouvement et j’ai l’impression que mes mamelons vont être arrachés. Il tire la chaîne de plus en plus loin jusqu’au morceau de gode qui sort de ma bouche. Puis il lâche prise. La douleur s’arrête instantanément, car mes pauvres seins ne sont plus tirés.

Je regarde alors ma poitrine et je vois que la chaîne est tendue. Si je bouge un peu la tête vers le haut, l’horrible douleur revient. j’insulte silencieusement le noir en voyant que si je bouge la tête, cela fait bouger le gode qui tirera sur la chaîne. Donc mes mouvements me provoqueront de la douleur.

Tandis qu’il continue de rire, je vois un de ses copains s’approcher et se mettre entre mes jambes. J’essaie trop tard de les fermer, amis il est déjà entre elles. Il place quelque chose qui se pose directement sur mon clitoris. j’essaie de voir ce que c’est, mais le gode et mes seins me bouchent la vue. Je vois le gars sortir du ruban adhésif. Il en prend un gros morceau et colle l’objet sur moi. Il répète l’opération jusqu’à ce que l’objet soit bien fixé sur moi.

Un bourdonnement se fait entendre. Je pense à un petit moteur. Puis je ressens des vibrations. Je gémis bruyamment en comprenant ce qu’ils viennent de faire et ce qui les fait rire. Ils ont scotché un vibromasseur sur mon clitoris.

En sentant les vibrations, je remue les hanches pour essayer de faire bouger la tête de l’objet. Mais j’ai beau me tortiller dans tous les sens, il reste là où il est. Il est vraiment bien collé. De toute façon comme je suis attachée je ne peux pas bouger suffisamment pour faire quoi que ce soit. Comprenant cela j’ai peur, car je sais que ça va devenir bientôt insupportable.

L’humiliation de cette situation ne fait que croître lorsque je vois le reste du groupe me regarder et rire. Ils savent exactement ce qu’ils font. Ils savent qu’ils me torturent. C’est une torture érotique et ils aiment ça.

– A mon tour! Dit un autre d’entre eux.

Il s’approche de moi avec un regard vicieux, comme s’il sait que ce qu’il s’apprête à faire va être très pervers. Je regarde vers le bas où il fait tourner dans sa main ce que je prends d’abord pour un crayon. Mais c’est beaucoup plus gros qu’un crayon.

Il avance entre mes jambes et son regard se tourne vers ce petit putain de vibromasseur qui fonctionne toujours. Je laisse alors échapper un petit glapissement sourd quand je sens les mains de gars me toucher, mais plus bas, sous mon sexe. Je pousse un glapissement plus fort quand je sens qu’il commence à écarter mes fesses.

La panique s’installe quand je sens que quelque chose se presse contre mon cul. Je commence alors d’essayer de pousser le gars avec mes pieds, mais des mains agrippent mes jambes pour les maintenir écartées. Puis je sens qu’il insère quelque chose dans mon cul. Il me met quelque chose dans mon petit trou. Il le fait lentement, centimètre par centimètre, mais il le fait. On m’enfonce quelque chose dans le cul.

Je pleure, je hurle, et je me débats, mais ça ne sert à rien. Il continue à enfoncer l’objet de plus en plus profond. Quoi que ce soit, c’est lisse donc ça rentre facilement. j’essaie de me crisper et de le faire sortir, mais le garçon arrive à l’enfoncer malgré ma résistance. Il l’enfonce de plus en plus profondément, me faisant me sentir vraiment violée. Puis il s’arrête enfin, et je sens qu’une petite partie dépasse encore.

– Hé les gars, qui lui dit qu’elle a un bâton dans le cul? Crie le gars, ce qui fait rire tous ses copains.

Des larmes coulent sur mon visage qui est rouge de honte pendant que des vibrations s’acharnent sur mon clitoris. Je lutte contre tout ça, mais je n’ai pas de chance. Je sais que je vais avoir un orgasme, que je le veuille ou non.

– Souris! Ordonne le cameraman d’un air moqueur en s’avançant pour faire un gros plan de mon visage avec le gode coincé dans ma bouche. Il descend ensuite le long de mon corps pour filmer les pinces sur mes seins et l’objet dans mon cul. Il me filme sous toutes les coutures.

Puis il recule alors que ses amis avancent vers moi. En un instant je suis entourée par quatre d’entre eux. Ils me regardent de haut. Puis je vois qu’ils ont chacun un marqueur dans la main.

Je secoue doucement la tête en faisant attention de ne pas faire bouger la chaîne. Je veux leur faire comprendre que je ne veux pas qu’ils m’écrivent dessus. Mais je tekirdağ escort pousse un glapissement lorsque la douleur irradie dans mes tétons quand je fais bouger la chaîne. Bien sûr ils rigolent et se penchent vers moi pour commencer à écrire.

Chacun d’eux choisit un endroit différent pour commencer. L’un va sur ma jambe droite, un autre sur mon bras gauche, un sur mon estomac et un autre sur mon visage? Je sens chaque marqueur humide se déplacer sur ma peau, mais je ne sais pas ce qu’ils peuvent écrire. Ils gloussent et rient tout en le faisant, ça semble vraiment amusant.

Lorsqu’ils ont terminé, chacun regarde le travail des autres et ils rient. Puis ils changent de position et écrivent ou dessinent ailleurs. Vaincue et humiliée, je me contente de lever les yeux au ciel en sentant les marqueurs parcourir mon corps. Pour aggraver les choses, je sais qu’ils changent de couleur à chaque fois qu’ils se déplacent, donc ça risque d’être vraiment coloré.

Maintenant, l’un d’eux commence à écrire sur mon sein droit. En baissant les yeux, je suis capable de le voir ainsi que l’énorme sourire du gars. Je ne comprends pas, il dessine une ligne épaisse et incurvée au-dessus de mon mamelon pris dans la pince. Puis il fait la même chose sur l’autre sein. Ensuite il échange son marqueur avec celui d’un autre homme et il dessine sur mon ventre, mais je ne peux voir ce qu’il fait.

Les rires du groupe augmentent au fur à mesure de son dessin sur mon corps. Ça ne fait qu’augmenter mon humiliation et la puissance de l’orgasme que je sens arriver. J’essaie de me concentrer sur ma respiration pour essayer de retenir cet orgasme, mais ça ne sert à rien. Donc, ma respiration s’accélère alors que je sens que je suis vraiment sur le point de jouir. Je ferme les yeux en ayant honte de ne pouvoir combattre cette réaction.

Je jouis. L’orgasme que j’essayais de retenir explose dans mon corps avec des grosses vagues de plaisir. Les vibrations dans mon clitoris refusent de s’arrêter, ce qui rend mon humiliation encore plus intense. Et tandis que je gémis, je les entends rire et me faire remarquer que je jouis encore. Mon corps s’agite et tremble sous l’effet de l’orgasme alors que mes cris de plaisir sont étouffés par l’énorme gode enfoncé dans ma bouche.

Lorsque mon orgasme commence à s’estomper, j’ouvre les yeux pour voir l’écran du caméscope. Celui qui le tient l’a tourné vers moi pour que je puisse voir ce qu’il filme. Je me sens devenir pâle et je ressens une nouvelle honte en regardant mon corps nu à l’écran. Je n’arrive pas à lire la plupart des textes qu’ils ont écrits sur moi, mais ce n’est pas le pire. Le pire c’est qu’ils ont fait de mon torse un visage heureux, avec mes seins et mes mamelons pour les yeux. Il a dessiné des sourcils dessus et en dessous, sur mon ventre, il a dessiné un énorme sourire alors que mon nombril fait le nez. C’est un putain de visage heureux fait sur mon corps nu.

Les rires fusent quand ils voient ma réaction. Je me demande vraiment pourquoi la police n’est toujours pas là avec le bruit qu’ils font. Un voisin a bien dû voir ce qu’il se passe et les a sûrement appelés. Alors pourquoi ne sont-ils pas là? Pourquoi personne n’arrête ça?

Le caméscope s’éloigne et je vois le visage du chef. Il me regarde de haut avec ce regard suffisant qui semble dire sans mots que je suis une salope stupide et vicieuse. C’est un regard que j’ai à la fois envie de frapper et d’embrasser.

– Maintenant, dès que tu auras joui à nouveau, nous arrêterons! Me dit-il un peu comme un père parle à sa fille.

Je commence à protester, mais le niveau des vibrations dans mon clitoris augmente. Puis quelqu’un s’assied de l’autre côté de la balançoire. Ce qui fait que de mon côté je bouge vers le haut. Je suis effrayée, car je n’ai pas le contrôle en étant attachée. Puis l’autre extrémité remonte alors que, sous le poids de mon corps, je redescends. Mon côté s’écrase en envoyant des secousses douloureuses dans tout mon corps, surtout avec l’objet dans mon cul. Puis de nouveau je me sens remonter.

Les rires reprennent de plus belle alors qu’ils s’amusent avec la balançoire pour me faire monter et descendre encore et encore. À chaque fois, mes pauvres seins subissent la gravité. Quand je suis en haut, je les sens qui se pressent contre mon menton. Si je bouge un tant soit peu la tête, la chaîne tire sur mes tétons. Et pendant qu’ils continuent à s’amuser, ce satané vibromasseur continuer de bourdonner comme un fou.

– Ça suffit!! essayé-je de crier à travers le gros gode qui distend ma bouche quand je sens le fouet me frapper au moment où j’atteins le sommet.

Le fouet atterrit directement sur le dessous de mes seins, ce qui me pique douloureusement. La balançoire redescend et le coup de fouet suivant tombe sur mon estomac.

Ils continuent de me faire monter et descendre et à chaque fois ils me fouettent, mais toujours à un endroit différent. Parfois c’est sur le dessous de mes seins, parfois sur les cuisses et quelques fois même entre les jambes. Je ne sais pas s’ils le font à tour de rôle ou s’il s’agit d’un seul gars qui s’en occupe. Tout ce que je sais, c’est que je dois fournir un spectacle pathétique alors que je suis attachée à la balançoire, nue et abusée, tout en sentant les vibrations envoyées dans mon clitoris.

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Christiane Soumise

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Je m’appelle Christiane, 49 ans, directrice d’un lycée professionnel. Mon mari, Alain, 51 ans est PDG d’une société de BTP. Des revenues confortables. Nous habitons dans une ville huppée de la région parisienne. Couple plutôt bourgeois, nous avons une vie bien rangée, tranquille…Enfin, nous avions une vie tranquille….Un soir ou nous rentrions d’un dîner chez des amis, notre Mercedes s’est mise à caler plusieurs fois. Alain relança le démarreur à plusieurs reprises sans aucun résultat. Nous étions au milieu de nulle part à 1 heures du matin et mon portable ne captais pas. Alain n’avait pas pris le sien. Quelle poisse!

Mon mari sorti de la Mercedes et ouvrit le capot bien qu’il ne soit pas spécialement doué en mécanique , il espérais saisir ce qui se passait. Je le rejoignit.

Alors chéri?

-Faudrait appeler un garagiste mais le portable

ne passe pas.

Je regardais autour de moi, nous étions en rase campagne, pas âme qui vive. J’ aperçue soudain au loin une enseigne lumineuse. Je repris espoir. On allait sans doute pouvoir nous aider!

Nous verrouillons la voiture et commençons notre expédition dans la nuit noir nous éclairant avec mon portable. Il y a des endroits pas très accessible et avec mes talons aiguilles j’ai du mal à avancer. Je manque tomber une première fois puis une seconde. Nous nous approchons et je réalise qu’il s’agit d’un bar. Une chance! Qui dit bar dit téléphone fixe, qui dit téléphone fixe dis pouvoir appeler un garagiste!Alain pousse la porte et nous entrons. Un silence de mort nous accueil. Toutes les conversation se sont arrêtées net des que nous sommes entrés. On dirait une scène d’un mauvais western….Il y a une dizaine d’hommes attablés dont les yeux se braquent automatiquement sur moi. Faut dire que pour mon âge , je suis encore une très belle femme. Blonde aux yeux bleus, je suis toujours très féminine, toujours en jupe et en talons. Je sais que certains de mes collègues au lycée ne sont pas insensible à mon charme et mon élégance. Et certain de mes élèves aussi sûrement… Ce soir, je porte une jupe noir qui s’arrête à mi-cuisses dévoilant mes longues jambes gainées de bas noirs à couture. Ma veste de tailleur blanche que je porte à même la peau laisse entrevoir par moment mon soutient-gorges noir emprisonnant une opulente poitrine qui ne demande qu’a jaillir du décolleté.

Alain s’approche du patron derrière son comptoir. C’est un homme barbu, bedonnant, repoussant au possible qui me dégoutte immédiatement.

Alain lui explique le problème et pendant ce temps j’observe l’assistance. Ce sont des hommes dans la trentaine la plupart sauf un vieux rize escort qui semble avoir dans les soixante ans qui est au fond de la salle. Il y a des maghrébins, des français et même un grand black qui me paraît impressionnant. Il est immense! Il doit bien faire dans les 1m95 voir 2 mètres!

Je sursaute en entendant le patron s’esclaffer :

– Un garagiste a cette heure ça vas pas être simple à trouver! Mais vous avez de la chance, Eh Rachid!

Le dénommé Rachid se lève et viens vers nous.

– Il est pas garagiste mais je vous promet qu’il est drôlement fort en bagnole! Il vas vous la réparer votre caisse, moi je vous le dis!!

Mon mari serre la main du jeune homme et il décide d’aller voir sur place ce qui ne vas pas et si il peut réparer la panne. Je fais un pas vers la porte pour les suivre quand la patron du bar m’interpelle.

– Vous allez pas sortir dans le froid comme ça ma ptite dame, restez au chaud avec nous.

Alain s’approche de moi.

– Il a raison, reste ici, on n’en a sans doute pas pour très longtemps.

Et il sort me laissant seule dans ce bar sordide, pas très rassurée….

– Je vous offre un verre ma ptite dame?

Il m’énerve a m’appeler « ma ptite dame » celui la…Je décline poliment en lui disant que je n’ai pas d’argent sur moi.

– Je vous l’offre. Me dit il en me faisant un clin d’œil. Pas vrai les gars, lance t’il à la cantonade, faut être galant avec les jolies dames!

Je rougis en les entendant éclater de rire et je bredouille un remerciement. Il me sert d’office un petit verre rempli d’un liquide blanc. Le patron me dit s’appeler Michel et me présente les habitués des lieux (les piliers de comptoir quoi) Il y a Mouloud ( qui est le frère de Rachid) et le vieux au fond c’est Ibrahim, le père de Mouloud et Rachid. Le grand black c’est Mamadou , un sénégalais , me précise t’il en me faisant de nouveau un horrible clin d’œil. Un jeune blond, un dénommé Franck vient me serrer la main. Il a pas l’air très évolué Franck…Du coup, tous les autres se lèves et viennent me serrer la main aussi . Je me retrouve entourée par une dizaines de types. Michel lance un « c’est ma tournée les gars » et sert un verre a tout le monde. Ne voulant pas être grossière, j’accepte de trinquer avec eux . Sans réfléchir, je prends mon verre et avale une gorgée. L’horreur! Je ne sais pas c’est que c’est mais c’est terriblement fort. Je tousse et des larmes me montent aux yeux. Tout le monde éclate de rire. Il m’encourage a reprendre une autre gorgée arguant le fait que c’est la première la plus dure à passer. J’obéis et de nouveau je me sakarya escort met à tousser. Je commence à avoir chaud, très chaud. La tête commence a me tourner un peu. Je veux aller m’asseoir et je titube sur mes talons aiguilles. Des bras s’empresse de m’attraper avant que je ne tombe. Je sens des mains baladeuses me toucher les fesses et les seins mais je n’arrive pas a réagir. Que m’arrive t’il? Je suis dans état second.

– J’ai chaud. Bafouillais-je.

Michel, le patron du bar, fais le tour de son comptoir et se plante devant moi, un mauvais rictus aux lèvres.

– C’est vrai qu’il fait chaud…

Et il déboutonne ma veste l’ouvrant largement découvrant mon soutient-gorges en dentelle. Il malaxent mes seins sans ménagements et baisse les balconnets dévoilant mes seins a toute l’assistance. Des mains avides se précipitent triturant mes seins, pinçant mes tétons, tirant dessus. Je pousse un petit cri. On soulève ma jupe exhibant mes bas à couture accrochés aux portes-jarretelles. On siffle autour de moi admirant ma lingerie fine. Debout au milieu de ces hommes que je ne connaissait pas il y a encore dix minutes, je suis exhibée sans retenue. On me suce la pointe des tétons, on me caresse les jambes, des doigts me titille la vulve a travers mon string. A ma grande honte, je réalise, toujours dans une demi-torpeur, que je commence a ne pas rester insensible à ses caresses. Michel m’écarte mon string et ses doigts s’enfonce dans mon intimité. La , je tente de protester mais Franck me tourne la tête et enfonce sa langue dans ma bouche m’embrassant goulûment. Mouloud et son père n’en perde pas une miette et joue avec mes seins les soupesant. Michel fais coulisser son index et son majeur dans mon vagin me faisant haleter. Les insultes commencent a pleuvoir. Je reçois une claque sur les fesses me faisant crier.

– Tais toi salope! Tu n’attendais que ça. T’es trempée. T’es vraiment une chienne sous tes airs de bourgeoise respectable.

Je pousse un long gémissement. Le patron du bar me lèche la vulve. Il me titille le clitoris avec sa langue. On me force a me mettre a genoux au milieu de la salle. Michel sort sa bite et me l’enfourne dans la bouche me faisant hoqueter. Il m’agrippe les cheveux et fais coulisser sa queue entre mes lèvres rouges. Il me l’enfonce très loin m’étouffant. Il s’éloigne et il est aussitôt remplacé par Mamadou qui me présente un chibre impressionnant Je tente de reculer effrayée par la longueur et l’épaisseur de l’engin mais on me pousse en avant et Mamadou enfonce son énorme queue dans ma bouche. J’ai un haut le cœur et peine à sucer samsun escort sa bite Je salive dessus le pompant mécaniquement. Puis ce fut Mouloud et son père que je dus sucer alternant entre les deux bites. Pour son âge, Ibrahim est encore en forme. Je suis relevée et penchée en avant. Je suce toujours la bite d’Ibrahim et je sens des mains s’accrocher à mes hanches. On me pénètre brutalement et je pousse un cri. Je tourne la tête. C’est Michel qui me pilonne comme fou faisant coulisser sa bite dans ma chatte trempée. Je suce plusieurs bites en même temps. Franck et Mamadou m’oblige a prendre leurs deux bites dans la bouche me déformant la mâchoire. Je suis prise en photo et en gros plan par le portable de Mouloud. Michel se retire et Franck le remplace. Il me bourre comme un malade, son ventre vient claquer contre mes fesses. Je sens que je vais pas tarder à jouir et je pousse des gémissements, haletante. Franck accélère la cadence sous les encouragements des autres. Je pousse un hurlement en ayant un orgasme dévastateur qui me laisse pantelante. Je manque de tomber et du coup on me positionne à quatre pattes. Mamadou se précipite et je proteste quand je sens sa bite se poser sur mon anus.

– Non!! S’il vous plait, pitié, pas par la! HAAAA

Je pousse un hurlement. Sans aucune pité, Mamadou m’a enfoncé sa queue dans mon trou du cul! J’halète sous l’infamante intromission. Je tente de reprendre mon souffle. Mamadou commence à bouger faisant des allers-retour dans mon cul. J’aperçois du coin de l’oeil plusieurs de mes tourmenteurs qui prennent des photos ou carrément filme la scène. Mamadou me défonce en soufflant comme un porc. Il se retire brutalement et éjacule sur mes fesses en grognant.

Ibrahim m’agrippe les hanches et enfonce sa bite dans ma chatte me limant tout doucement d’abord puis de plus en plus vite me faisant gémir sans discontinuer, secouant la tête dans tous les sens. J’ai un deuxième orgasme qui me fait hurler . Ibrahim se précipite devant mon visage ravagé et éjacule libérant un torrent de sperme qui va s’écraser sur mon visage fin. J’en ai sur mes lèvres, les cheveux, le menton. Il est remplacer par son fils Mouloud. Lui choisi de m’enculer. Sa bite déforme mon anus. Il me donne de violents coups de reins. Mes seins ballottent dans tous les sens sous ses coups de boutoirs. J’ai un troisième orgasme sous les hurlements de la foule.

Je suis affalée sur le sol du bar. Épuisée par les trois orgasmes. Honteuse aussi. Tous les autres sont au dessus de moi et se masturbe. Ils éjaculent les uns après les autres libérant leurs semences qui vient s’écraser sur mes seins, mon nez, mon menton…J’en ai partout….j’aperçois alors Rachid parmi ceux qui vienne de jouir sur moi. Horrifiée, je réalise que si Rachid est la , Alain, mon mari doit aussi être la.!!!

Affolée, je tourne la tête.

Alain est debout au milieu du bar. Il me regarde avec consternation et tristesse…

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Ma Femme Offerte Malgré Elle

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Amateur

Cette histoire est une fiction complète. Elle fait appel à des rapports non consentis que je désapprouve mais qui nourrissent des fantasmes. Si vous n’êtes pas amateurs, ne la lisez pas.

Cela fait maintenant plusieurs années que je nourrissais le fantasme de voir ma femme se faire prendre par d’autres hommes, de préférence vieux et repoussants. Il faut dire que si notre vie amoureuse et familiale est au beau fixe, notre vie sexuelle est en berne depuis une dizaine d’années, avec un ou deux rapports très classiques par mois, au mieux. Et pourtant son corps tout entier tend à la sensualité. La quarantaine, rousse avec une opulente poitrine (95D), des hanches bien formées, une toison rousse juste entretenue…Chaque fois que je la vois, elle m’excite comme au premier jour. Je regrette d’autant plus nos absences de rapport que je suis très demandeur. Quant à évoquer rapports avec des autres hommes, même quand je l’évoque sur le ton de l’humour, elle coupe la conversation et me traite d’obsédé. I essayé plusieurs fois de discuter avec elle de son absence de désir, mais elle ne veut pas en entendre parler. Je lui ai proposé que nous allions consulter un sexologue, elle refuse en arguant que nous n’en avons pas besoin. Bref, je ne vois pas de solution…

Un jour, alors qu’elle était un peu malade, elle prit un somnifère que sa mère lui avait donné. Je regardais la télé à ses côté dans le lit. Au bout de demi-heure elle dormait profondément. Je lui caressais le bras doucement, pas de réaction. Je passais alors ma main sous les draps, remontais le long de sa chemise de nuit, le souffle court, effleurais son sexe. Toujours pas de réaction. Pour vérifier son état d’endormissement je la secouais un peu violemment, mais elle ne bougeait toujours pas. Je décidais donc d’aller un peu plus loin, je baissais complètement les draps et remontais sa chemise de nuit jusqu’au-dessus de ses seins, la dénudant complètement. Là je ne pouvais pas m’empêcher d’admirer son joli corps. J’utilisais mon portable pour le photographier. Je caressais ses seins, faisant pointer ses larges tétons par de petites caresses. Puis je descendis sur son ventre, son pubis, son mont de venus. Je m’attardais un moment sur le petit bouton, puis je me suis attaqué à ses lèvres. Rapidement, celles-ci devinrent humides. Et là ma femme se mit à bouger et à se mettre sur le côté, en chien de fusil. J’ai eu vraiment peur qu’elle ne se réveille et je restais là, sans bouger deux à trois minutes. Je la secouais à nouveau et comme il n’y avait pas de réaction, je repris mes caresses sur son sexe, pénétrant cette fois celui-ci d’un doigt, puis de deux. Mon excitation étant à ce moment-là à son comble, je lui éjaculais sur les fesses, passant mon gland souillé sur son anus et ses lèvres intimes. Je l’essuyais soigneusement, pour ne pas laisser de traces. Le lendemain, elle ne se souvenait de rien, en tous cas elle ne fit aucune remarque. J’étais à la fois super excité par ce qui s’était passé et tout de même un peu frustré de ne pas en avoir plus profité. Une occasion comme celle-ci ne se reproduira peut être jamais et j’aurais aimé aller plus loin, la baiser, lui éjaculer sur le visage, lui doigter l’anus et prendre plus de photos…Je cherchais un peu plus d’information sur le somnifère qu’elle avait pris, c’était apparemment un déclencheur de sommeil puissant, avec des effets psychotropes. Il était même interdit en Suisse et considéré là-bas comme une drogue.

Plusieurs mois passèrent et je n’arrêtais pas de penser à cette soirée et aux possibilités qu’elle ouvrait. Bien sûr ça allait contre la morale, mais les refus permanents de ma femme de répondre à mes attentes et surtout son refus d’en discuter me frustraient de plus en plus. Je décidais de me faire prescrire de ce somnifère par un médecin. A la pharmacie, la pharmacienne me conseilla de ne pas abuser de celui-ci, car il était très puissant, et surtout de ne pas conduire après en avoir pris. Il me suffisait à présent d’attendre la bonne occasion.

Celle-ci sembla se présenter par le biais d’une invitation pour le réveillon du jour de mersin escort l’an. Le père d’un de mes amis l’avait autorisé à faire une fête dans son chalet à la montagne. Comme il y avait 3 chambres, il nous a proposé de dormir sur place, alors que les autres convives louaient un gîte à quelques centaines de mètre de là.

Nous sommes arrivés en fin d’après-midi, prenant possession de notre chambre, rustique mais agréable. Le chalet n’était pas très grand, mais disposait d’une pièce à vivre spacieuse, qui mêlait cuisine, salle à manger et salon avec un canapé et deux fauteuils. Ma femme se prépara, ayant choisi pour l’occasion une robe bleu nuit avec un beau décolleté et lui arrivant mi-cuisse. Des bas auto fixant (je n’avais jamais réussi à lui faire mettre les jarretelles que je lui avait offerte il y a plusieurs années), des bottes complétaient la tenue. Elle s’aperçut qu’elle avait oublié de prendre son soutien-gorge bandeau, le seul qui pouvait lui aller avec cette robe. Elle essaya un soutien-gorge classique, mais on voyait tout le haut de celui-ci…Je lui faisais remarquer que cela faisait prostitué, en en convint et dû se résoudre à ne pas en mettre, ce qu’elle ne faisait jamais. Je lui garantissais qu’on ne voyait rien, ce qui était vrai quand elle se tenait droite, mais dès qu’elle se penchait en avant, la robe baillait et on pouvait nettement distinguer ses gros globes mammaires, presque jusqu’aux auréoles. Elle finit de se préparer avec un maquillage léger. Déjà les premiers invités arrivaient et la soirée se lançait. Le père de mon ami, quant à lui, avait une autre soirée chez des amis, et nous abandonnait donc le chalet. Avant de partir, il complimenta toutefois mon épouse sur sa tenue. Ce petit homme de 70 ans un peu bedonnant ne se priva pas pour jeter un coup d’œil appuyé et lubrique au décolleté de ma femme en prenant congé.

L’ensemble des invités étaient maintenant arrivés, et le champagne coulait à flot. J’avais en permanence un verre à la main, faisant semblant de boire beaucoup mais ne trempant que les lèvres. Je m’arrangeais pour que le verre de ma femme ne désemplisse pas lui non plus. La salle à manger servait de piste de danse, les alcools et les toasts étaient sur le bar de la cuisine et le salon servait à ceux qui voulaient un peu s’isoler. Ma femme et moi alternions passages sur la piste de danse et retour vers la cuisine. Chaque fois qu’elle se penchait en avant pour prendre un toast ou un verre, elle dévoilait une partie importante de sa poitrine, qui n’échappait pas aux mâles postés en face d’elle. Je surpris même mon pote lui servir un verre de champagne un peu trop loin de l’autre côté du bar et elle dû se pencher profondément pour l’attraper. Il eut certainement à ce moment-là une vue imprenable sur ses seins.

Le père de mon ami revint de sa soirée vers 2h30 du matin, et tout naturellement se joignit à notre groupe. Il nous fit trinquer plusieurs fois, sortant de sa cave de bonnes bouteilles de champagne. Il remplissait plus souvent qu’à son tour le verre de mon épouse, qui commençait à être clairement saoule. A ce moment fût servi un granité de citron vert à la vodka, auquel je rajoutais les somnifères réduits en poudre. J’avais doublé la dose par rapport à la fois précédente, pour plus de sécurité. Une fois l’entremets englouti, nous sommes retournés danser. Certains invités commençaient à partir, la piste se clairsemait. Au bout d’une vingtaine de minutes, ma femme commença à montrer des signes de fatigue visibles. Je l’emmenais donc se reposer sur le canapé. Je m’assis à côté d’elle, lui caressant doucement le genou. Très rapidement, elle sombra dans une léthargie totale. Je continuais à lui caresser le genou, mais mes caresses montaient de plus en plus haut, jusqu’à la lisière des bas pour effleurer sa peau à l’intérieur des cuisses. Doucement, je lui écartais un peu les jambes pour faciliter mon accès à sa culotte. De la piste de danse personne ne pouvait se douter de mon manège. Je caressais son sexe à travers le fin tissu, doucement dans un premier temps, puis de manière muğla escort plus appuyée. L’absence totale de réaction m’incita à écarter la culotte et à insinuer un doigt entre ses lèvres légèrement humides. Je ressorti mon doigt mouillé de ses secrétions et lui essuyais sur le visage. Je remontais la robe pour qu’elle dévoile le liseré des bas, en faisant une minijupe indécente. De la même manière, je tirais dessus pour qu’elle dévoile encore plus la poitrine de mon épouse. Le tissu s’arrêtait maintenant à la limite de ses auréoles. Ces préparatifs réalisés, j’allais m’installer dans le fauteuil en face, distant d’à peine 1 mètre.

A peine dix minutes après, je vis s’approcher le père de mon ami. Je faisais bien sûr semblant de dormir. Il se dirigea vers moi et me secoua doucement, en disant « hé mon gars ça va? ». Pas de réponse de ma part. Il me secoua alors vigoureusement. Pas plus de réponse. Je le senti s’éloigner. Je l’observais à travers mes paupières mi close. Il vint s’asseoir à côté de ma femme et comme il l’avait fait pour moi, il la secoua en lui demandant si ça allait. Il continua à la secouer, mais cette fois en lui mettant la main sur un sein, que je le vis pétrir à travers le tissus de la robe. Il se releva alors et à ma déception il se dirigea vers la cuisine. De loin, je le vis discuter avec son fils. Quelques secondes plus tard, ce dernier éteignait la musique et prenait congé des derniers couche-tard qui n’étaient pas encore partis. Puis les deux hommes, une fois la porte verrouillée, se dirigèrent vers le salon. Le père dit alors à son fils :

– Regarde-les, ils sont tous les deux ivres morts. Ils ne réagissent plus du tout.

Et joignant le geste à la parole, il me secoua violemment sans que je bronche.

– Et elle c’est pareil, tout à l’heure j’ai attrapé son nibard et elle a pas bougé d’un centimètre. On ne peut pas laisser passer une opportunité comme ça.

– Mais papa, si un des deux se réveille?

– Pas de risque, ils sont complètement bourrés. Si ils se réveillent ils croiront qu’ils ont rêvé…va plutôt baisser un peu la lumière.

Pendant que le fils s’exécutait, le père se rassit à côté de ma femme, et tirant sur la robe, en fit sortir les deux seins.

– Putain ces nibards qu’elle a…Depuis que j’ai vu que cette salope n’avait pas de soutif, j’ai eu envie de les lui bouffer…Je pensais pas que ça serait possible.

Il n’avait pas terminé sa phrase qu’il se penchait sur elle et gobait ses tétons, les aspirant goulument tout en malaxant le sein de sa main.

– Tu vois, elle capte rien du tout, allez enlève lui sa culotte, qu’elle nous montre sa chatte.

Mon ami se positionna à genou devant elle, souleva la robe jusqu’aux hanches, et, en passant les mains sous ses fesses, lui retira sa culotte de dentelle noire. Il repositionna ma femme les jambes largement écartées, offrant ainsi aux deux hommes une vue imprenable sur son sexe ouvert.

– Ahhh, j’adore les chattes poilues, dit le père, en plus c’est une vraie rousse.

Mon ami lui ne dit rien, mais il plongea son visage entre les cuisses de mon épouse et commença à lui prodiguer un cunnilingus endiablé. Afin de faciliter son accès, il avait positionné les jambes de ma femme, toujours vêtues des bas et des bottes, sur ses épaules. De mon poste d’observation, je le voyais clairement donner de larges coups de langues, allant de son clitoris à son anus. Il lui introduisit un doigt dans le sexe, en faisant de petits mouvements de plus en plus amples. Un deuxième doigt vint accompagner le premier, le mouvement devenant de plus en plus fort et rapide. De là ou j’étais je pouvais entendre le clapotis que faisaient ses doigts dans le sexe de ma femme.

– Elle mouille cette chienne…Mais c’est vrai qu’elle est dans le coltard complet, j’ai beau la doigter à fond elle réagit pas

– Pousse toi, je vais la baiser, dit le père qui entretemps avait baissé son pantalon et exhibait un sexe de taille honorable déjà bandé.

Il la positionna sur le dos, au bord du canapé, lui releva les jambes et nevşehir escort présenta son sexe à l’entrée de celui de ma femme. Un autre homme que moi allait la baiser et j’allais pouvoir assister au spectacle.

D’un seul coup de rein il l’embrocha jusqu’à la garde, le fourreau bien préparé par l’intromission des doigts de son fils.

Ce dernier en avait profité pour poser son pantalon et son caleçon et s’assoir sur le visage de mon épouse. Pendant que son anus frottait contre son nez et sa bouche, il faisait coulisser son sexe entre les deux seins.

Le père donnait à présent de violents coups de butoir, s’enfonçant toujours un peu plus profond.

– Putain ce qu’elle est bonne, il y a bien longtemps que je me suis pas tapé une pute pareille. Enlève-toi, je vais lui gicler sur le visage.

Disant ça il prit la place de son fils et rependit de larges trainées de sperme sur le visage de ma femme, le recouvrant de sa liqueur blanchâtre. Il insistait bien avec son gland sur les lèvres pour en faire rentrer dans sa bouche.

– A mon tour de la baiser maintenant. Je vais la prendre en levrette.

Il la retourna sur le ventre, les genoux sur le sol et le corps sur le canapé. Il se positionna derrière elle et c’est à ce moment que je pu voir que son sexe était sensiblement plus gros que celui de son père. A son tour il présenta son gland et contrairement à son père, poussa tout doucement, faisant rentrer la colonne de chair centimètre par centimètre dans la vulve de ma femme.

Quand il fût au fond, il commença à la labourer par des coups de reins contrôlés, ressortant pratiquement tout son sexe à chaque fois. En même temps, il avait craché sur son anus et la pénétrait avec son pouce.

– J’aimerais bien l’enculer, mais elle est trop étroite et avec mon gros chibre je vais la déchirer…et demain elle va s’en rendre compte

– Oui déconne pas, rétorqua le père

Toutefois il continua ses coups de reins et son pouce était maintenant totalement fiché dans l’anus un peu distendu. A l’accélération de la cadence, j’ai compris qu’il allait bientôt jouir. Il se retira du sexe pour poser son gland sur la rondelle de ma femme et y lâcher sa semence.

– Voilà, je n’ai pas pu l’enculer, mais je lui ai quand même mis du foutre dans le cul. Bon maintenant il faut la nettoyer et la remettre comme elle était.

C’est ce qu’ils firent, essuyant le sperme avec du papier essuie tout et la rhabillant, tout en la caressant une nouvelle fois. Puis ils partirent se coucher.

J’attendis un bon quart d’heure avant de me lever, et de porter ma femme jusqu’à notre chambre. Là je la déshabillais complètement, lui caressant les seins, le sexe et l’anus. La mettant sur le côté, je la prenais en cuillère pendant quelques minutes. Je m’arrêtais, sentant la jouissance proche. Je titillais son anus avec un doigt, qui rentrait facilement, puis deux. Cette intromission était facilitée par les restes du sperme de mon ami, qui n’avaient pas été nettoyés. N’y tenant plus, je collais mon gland à la rondelle et poussait d’un coup. Celui-ci fut comme absorbé par le fondement de ma femme, et enfin je pouvais la sodomiser, ce qu’elle m’avait toujours refusé. L’excitation trop forte eu rapidement raison de moi et je me retirais juste à temps pour lui jouir sur le visage. Ça aussi elle me l’avait toujours refusé…C’était cette fois à mon tour de la nettoyer, de lui mettre sa chemise de nuit et de la coucher convenablement.

Le lendemain, elle se réveilla vers 1h de l’après-midi. J’étais déjà éveillé. Elle me dit qu’elle ne se souvenait pas de la fin de la soirée. Je lui racontais qu’on était tous les deux fatigués, qu’on s’était mis sur le canapé et endormi. Que je m’étais réveillé au petit matin, l’avais réveillée pour qu’on retourne à la chambre. Là on avait fait l’amour puis on s’était endormis. Ce qui expliquait l’état de son sexe me dit-elle. Elle me dit aussi qu’elle préfèrerait dans le futur que je ne profite pas du fait qu’elle soit saoule pour lui faire l’amour…Si elle savait…

Nous nous sommes préparés et sommes aller manger avec mon ami et son père. Ceux-ci firent comme si de rien n’était, même si j’ai bien capté quelques regards complices entre eux.

En partant nous les avons bien remerciés…pour tout!

De mon côté cette histoire m’ouvrait plein de nouvelles possibilités de réalisation de fantasmes…

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Souvenirs 02

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Babes

Assis sur le canapé, le pantalon descendu à mes pieds, ma bite molle reposant sur une cuisse je réfléchis. Mes rêves et fantasmes les plus fous sont en train de se réaliser. Depuis ma puberté, j’ai toujours eu des envies de domination. Je dois être un peu sadique car je ne perçois pas les relations sexuelles autrement qu’en dominant ma partenaire. Le pouvoir d’humilier et de commander m’excite.

J’ai eu un coup de chance. Le destin a mis sur ma route ma tante Nicole sur laquelle je viens de prendre l’ascendant. Actuellement elle est dans la cuisine en train de préparer le diner. Elle est dans la même tenue que le jour de sa naissance, elle est complétement nue. Toutefois en 40 ans ses formes ont changé. Je la regarde s’affairer. Ses gros seins lourds ballotent et son gros cul est magnifique. Je la regarde et je recommence doucement à bander. Elle est si excitante ma tante.

Je me masturbe lentement en pensant à ma chance. J’ai eu vraiment peur de ne pas arriver à la soumettre mais je crois que la peur de la prison ou du déshonneur dans la famille a eu raison de sa résistance.

Elle est devant l’évier et j’ai une belle vue sur ses fesses. La queue raide, je me lève du canapé et je la rejoins. Je pense qu’elle sait que j’arrive derrière elle mais elle ne bouge pas. Je lève ma main et l’abat brutalement sur son cul.

– Aie! Crie-t-elle en s’écartant et en mettant une main sur sa fesse endolorie.

– Remets toi comme tu étais! Ordonné-je d’une voix qui n’admet pas la résistance.

Elle se replace devant l’évier mais garde la main sur sa fesse comme si ça suffisait à supprimer la douleur.

– Enlève ta main!

Après un instant d’hésitation elle m’obéit. J’ai frappé fort, ma main reste imprimée sur sa fesse, une belle marque rouge sur la peau si blanche. Je me déplace légèrement et je donne une grande claque sur son autre fesse. Cette fois-ci elle ne fait que crier et s’avancer sur le bord de l’évier en reculant les épaules, geste instinctif pour échapper à ma main.

Je continue à la fesser, pour mon seul plaisir. Ses fesses bougent au rythme de mes coups. Sa peau rougit. Maintenant elle pleure et me supplie :

– Snif, s’il te plaît Didier arrête… S’il te plaît, ça fait mal… s’il te plaît…

Je croie qu’elle en a assez. Je pose ma main sur son cul et je caresse ses fesses douloureuses. Sa peau douce m’excite, la rondeur de son cul m’excite.je descends ma main entre ses cuisses et je tapote l’intérieur en lui disant :

– Ecarte les jambes!

Elle renifle et obéit sans poser de questions. Je pense qu’elle a peur que je la fesse à nouveau. Ma main commence à s’aventurer plus en avant et aborde les poils pubiens de son sexe. « Il va falloir qu’elle se rase » Pensé-je. Mes doigts commencent à explorer…

– Oh! Dis-je complétement surpris.

Sous le bout de mes doigts, je sens une certaine humidité. Je les envoie plus en avant et je trouve ses petites lèvres que j’écarte. Sa chatte est humide! Je n’en reviens pas. Je dis :

– Tu mouilles ma tante!

– Non. Dit-elle, ne voulant pas accepter l’inacceptable.

– Si si salope! Regarde!

Je retire ma main et je mets mes doigts devant son visage.

– Tu vois bien que tu mouilles.

Ses yeux recommencent à se remplir de larmes. Elle me répond :

– Je ne sais pas… Je ne comprends pas… C’est mon corps qui ne m’obéit plus.

Moi je comprends très bien. Sous ses airs de bourgeoise sévère et prude se cache une femme qui aime surement qu’on la maltraite un peu. La suite me donnera raison.

Je remets ma main entre ses cuisses et trouve bientôt son clitoris que je commence à titiller. Nicole ne dit rien, mais sa respiration commence à s’accélérer. Je continue pendant un moment puis je glisse un doigt dans l’ouverture de sa petite chatte. Sa grotte est complétement humide. Je suis vraiment content que son corps réagisse de cette façon.

– Recule un peu, penche-toi et écarte bien les jambes! Dis-je.

Elle m’obéit sans se douter de la suite (ou alors elle fait semblant de ne pas comprendre). Je m’approche d’elle la queue tendue. Avec une main, j’écarte ses petites lèvres alors que l’autre présente ma bite à l’entrée de son intimité. Puis je la pénètre d’un coup sec. Mon membre entre sans problème dans son vagin bien lubrifié. Je vois ma tante tourner la tête vers moi, avec une expression bizarre sur son visage, à la fois outrée et effrayée, mais aussi, il me semble, avec un certain plaisir. Je commence lentement des va-et-vient dans son antre chaude. Elle tourne son visage vers l’avant et commence à se pincer les lèvres. Sa respiration devient lourde. J’accélère le mouvement et essaie de m’enfoncer le plus profondément en elle.

Et, alors que je ne m’y attendais pas du tout, Nicole a un orgasme qui la fait ouvrir ses lèvres et crier :

– Mmmmm… AAAAAAAHHHHHHH!

Elle baisse la tête, ses épaules s’affaissent et elle tremble de tout son corps. Ne sachant trop que faire, j’agrippe ses hanches et j’attends qu’elle se reprenne. Après quelques secondes, elle relève la tête, de kütahya escort la sueur sur son front. Je crois que je peux reprendre. Alors je recommence à la pilonner, ma bite étant maintenant noyée dans son jus. Je décide de l’humilier encore plus :

– Alors ma tante, c’est bon de jouir? J’ai l’impression que tu aimes bien te faire mettre par ton neveu. En fin de compte, sous tes airs coincés se cache une chaudasse. Tu aimes la bite non? tu aimes qu’on te prenne violemment n’est-ce pas? Tu aimes les vrais hommes, ceux qui arrivent à te dresser?

Elle ne répond pas mais je la vois rougir de honte. Je pense qu’elle n’arrive pas à croire qu’elle ait joui sous les assauts de son neveu. Attendant une réponse je claque son cul en lui demandant :

– Réponds Salope! Tu aimes ma bite ou non?

– Euhh… Ou… No… Oui…

Je vois qu’elle est gênée, qu’elle ne sait que répondre. Manifestement son corps prend du plaisir, mais son cerveau refuse de l’avouer. Je claque son cul une nouvelle fois :

– Alors quoi tu ne sais plus?

– Ce n’est pas normal Didier, nous n’avons pas le droit…

Je prends cette réponse comme un « oui » et je la pilonne encore plus violemment. Je sens que je ne vais plus tenir encore longtemps. Ma tante n’arrive plus à retenir ses petits gémissements de plaisir et bientôt elle a son deuxième orgasme. Je jouis en même temps et inonde son ventre de mon foutre.

Après m’être bien vidé, je me retire et je la laisse pantelante sur l’évier. Je lui dis :

– Bon, ça m’a ouvert l’appétit. Donne-moi à manger!

Elle se redresse lentement, me regarde m’assoir à la table, prend la salade sur le plan de travail et vient la poser à côté de mon coude. Puis elle fait mine de s’asseoir en face de moi.

– Que fais-tu? demandé-je

– Je m’assois pour manger.

– Tu te crois où? Tu as oublié que tu es mon esclave? Tu vas me servir et attendre debout à côté de moi. Tu mangeras quand j’aurais fini.

Sans rien dire, elle vient se positionner à côté de moi. Je la détaille. Je vois mon sperme et son jus couler un peu le long de sa cuisse. D’une main je mange et de l’autre je tripote ses seins et ses fesses. Puis je prends une feuille de salade que je passe sur sa chatte pour essayer de récolter le plus possible de nos fluides mélangés. Je lui tends en disant :

– Mange de la salade c’est bon pour le corps!

Je rigole devant son air déconfit et dégoûté. Mais elle prend la salade, la met dans sa bouche, mâche une ou deux fois et l’avale en faisant la grimace.

– Il va falloir t’y habituer ma salope.

Elle ne dit rien. Je finis mon repas et je lui dis :

– Je vais regarder la télé, tu peux manger. Ensuite tu débarrasseras et tu iras te laver. On dirait une pute en fin de journée. Fais toi belle et propre, et rejoins-moi.

Je vais sur le canapé, allume la télévision pour regarder un film sans plus m’occuper d’elle.

Une heure plus tard, lavée, elle vient s’assoir à côté de moi sur le canapé. Elle a entouré son corps d’une grande serviette éponge. Je la regarde méchamment et je lui dis :

– J’ai l’impression que tu n’as rien compris!

Elle me regarde, intriguée. Puis rapidement elle comprend. Un air désolé et effrayé s’affiche sur son visage. Elle se lève, enlève la serviette qu’elle laisse tomber sur le côté puis elle se rassoit sur le canapé.

– Voilà c’est mieux. Je ne te punis pas cette fois-ci mais fais bien attention la prochaine fois.

Je passe un bras autour de son cou et ma main commence à jouer avec sa poitrine. Je lui dis gentiment :

– Je crois que tu as oublié quelque chose tout à l’heure.

Elle me dévisage, ne comprenant pas ce que je veux dire. Je me rends compte qu’elle réfléchit et qu’elle est anxieuse. Je continue :

– Tu es mon esclave maintenant. Et en tant qu’esclave tu dois t’assurer que je me sente bien. Mais là, ma bite est toute poisseuse. Je suis mal à l’aise.

– Veux-tu que je te lave mon neveu?

– Bon, déjà on va établir une règle sur laquelle je serai ferme. Quand nous sommes tous les deux, tu vas me vouvoyer et m’appeler Monsieur. Est-ce clair?

– Oui Did…

Je la stoppe en tordant violemment un de ses tétons.

– Aie… OUI MONSIEUR!

– C’est mieux comme ça. Bien entendu quand nous serons en famille ou en public, je serais toujours Didier ton neveu et tu seras Nicole ma tante. Sauf si je te dis le contraire. OK?

– Oui Monsieur.

– Revenons à ma bite! Si je te dis qu’elle est sale, comment dois-tu réagir?

– Euhhh… je ne sais pas Monsieur.

Je recommence à tordre son téton en criant :

– TU LA NETTOIE AVEC TA LANGUE SALOPE!

– Oui Monsieur. Dit-elle en recommençant à sangloter.

Je relâche son sein et elle baisse la tête pour commencer à lécher ma bite pour la rendre propre. Des larmes gouttent sur ma cuisse. Tout en la laissant à son travail, je recommence à tripoter son corps. Je malaxe ses seins, les soupesant, les pressant puis je caresse ses fesses avant de les serrer dans mes mains. manisa escort Et bien sûr, sous l’effet combiné de sa langue et de mes palpations, je recommence à bander.

– Tu vois ce que tu fais? Il va falloir me soulager une nouvelle fois. Et débrouille toi pour ne pas en mettre partout.

Elle comprend très vite. Elle lèche mon gland puis l’engouffre dans sa bouche. Elle essaie tant bien que mal de s’appliquer dans sa fellation. Elle s’aide de sa main pour tenir la base de ma queue et me masturber. Il ne me faut pas longtemps avant que je jouisse. Sa bouche se remplit de mon sperme mais elle garde les lèvres fermées et avale le tout. Ensuite elle s’applique à bien nettoyer mon membre. Quand elle a fini et qu’elle se relève, je lui dis :

– Tu peux aller te coucher! Demain nous allons avoir une longue journée. Nous irons à Lyon. Et même si c’est dimanche je crois que nous trouverons certaines boutiques ouvertes.

Elle part dans sa chambre sans rien dire. Deux heures plus tard, j’éteins la télé et je me dirige vers sa chambre. Je finis de me déshabiller et je me couche dans son lit. Elle me tourne le dos et j’ai l’impression qu’elle sanglote. Mais je me colle contre elle, ma bite entre ses grosses fesses et je passe mes mains autour d’elle pour agripper ses seins. Je m’endors ainsi, au chaud contre une bourgeoise plantureuse.

****

Le lendemain matin, lorsque je me réveille elle n’est pas là. Je suis déçu car j’ai une érection d’enfer. Je me lève et je rejoins la cuisine, complétement nu, la bite en avant. Ma tante est là, complétement habillée, couverte des pieds à la tête, une jupe très longue, un sweet sur une chemise. Elle a mis la table pour le petit déjeuner : deux bols, du beurre, de la confiture, du pain grillé. Elle a fait du café. Elle me regarde, ses yeux glissant un court instant sur mon membre dressé. Puis elle s’éclaircit la gorge et me dis :

– Bonjour mon neveu! Il faut que l’on parle!

Je la dévisage mais je ne dis rien. Je veux savoir ce qu’elle a en tête. Confiante, elle continue :

– j’ai beaucoup réfléchi cette nuit et je pense que ce que nous avons faits hier n’est pas bien. Tu es mon neveu et je suis ta tante. Ce n’est pas…

Elle s’arrête de parler alors que je m’assois à table sans rien dire mais toujours en la regardant. Elle me sert du café et continue :

– Ce n’est pas possible. Je sais que j’ai volé mon entreprise mais ce n’est pas grave, elle fait beaucoup de bénéfices. Nous pouvons partager si tu le veux. Je pense que tu as besoin d’argent pour continuer ta vie…

Je continue à la regarder sans parler. Je sens le malaise qui commence à s’installer dans son esprit. Elle avait dû se motiver toute la nuit pour pouvoir me parler ce matin. Elle continue :

– il faut que tout redevienne comme avant, que nous oublions ce qui s’est passé hier. Je n’ai pas vraiment joui tu sais. J’ai simulé pour te faire plaisir…

Je lève un sourcil et je la fixe froidement. Mais je ne dis rien. Elle commence à être inquiète, elle s’enfonce les ongles dans la paume de la main et elle commence à se demander si elle n’a pas été trop loin. Alors elle essaie de se rattraper :

– Euhhh… Je suis désolée. Tu m’as vraiment fait jouir hier. J’ai eu deux vrais orgasmes. C’était bien et nous pourrons peut-être de temps en temps le refaire quand nous nous reverrons. Mais il faut que tu rentres chez toi et que tu me laisses tranquille. Tu veux bien s’il te plaît?

Je ne réponds toujours pas. Au contraire, j’arrête de la regarder et je prends le beurre pour tartiner du pain. Je le fais lentement avant d’étaler de la confiture. Puis je trempe le tout dans mon café avant de le manger. Dans la cuisine c’est le silence. Du coin de l’œil, je vois ma tante se dandiner sur ses pieds tout en se tordant les mains. Il est évident qu’elle ne sait plus que faire. Toutes ses résolutions de la nuit ont disparu. Je crois qu’elle commence à pleurer.

Je continue à la torturer en continuant de manger en silence. Je finis ma tartine et m’en fais une autre que j’avale lentement aussi. Ensuite je sirote mon café. Enfin je m’essuie les lèvres et je la regarde. Des petites larmes coulent le long de ses joues. Je devrais me sentir coupable mais ce n’est pas le cas. Je sais qu’elle a besoin d’être dominée pour se sentir femme. Ma fessée l’avait faite mouiller hier. Je lui dis alors :

– D’accord, je m’habille et je m’en vais.

Je vois l’espoir s’afficher sur son visage. Elle pousse presque un « ouf » de soulagement. J’attends un peu qu’elle se sente mieux avant de dire :

– Mais dis-moi où est la gendarmerie s’il te plaît, il faut que j’y passe avant de partir.

Ses épaules tombent, elle est découragée. Je continue de la fixer pour qu’elle comprenne bien que je ne me laisserai pas attendrir. Je la vois réfléchir et se demander ce qu’elle doit faire. Elle est perdue. Et enfin elle fait ce que je sais depuis le début qu’elle ferait. Elle attrape le bas de son sweet et elle le fait passer au-dessus de sa tête. Puise elle déboutonne son mardin escort chemisier, dézippe sa jupe, ôte les deux vêtements. Elle se retrouve en collant sur une grosse culotte et un soutien-gorge pas vraiment sexy si ce n’est qu’il comprime ses deux seins qui veulent s’échapper. Elle roule son collant le long de ses jambes et l’enlève. La culotte suit et je peux voir sa touffe de poils pubiens. Elle finit par le soutien-gorge qu’elle laisse tomber. Puis elle reste debout, les bras le long du corps, immobile, incapable de me regarder en face.

Satisfait se son comportement, je lui dis alors :

– Approche et mets-toi à genoux!

Lentement elle vient se placer à côté de ma chaise et s’agenouille. Je me tourne vers elle, pose mes mains sur ses seins et les caresse. Puis subitement, je saisis ses deux tétons que je pince et tord fortement.

– Aie aie aie aie, arrête! Crie-t-elle, le visage déformé par la douleur.

Je lâche ses tétons et je commence à gifler ses seins. Elle grimace sous les coups. Ses seins ballotent de gauche à droite sous mes claques. Mais j’arrête avant de lui faire trop mal. Et je lui ordonne :

– Mets ta main entre tes jambes et touche ta chatte! puis montre-moi tes doigts!

Elle m’obéit. Elle glisse sa main sur son sexe. Je remarque tout de suite qu’elle commence à rougir. Quand elle remonte sa main pour me la montrer, nous pouvons voir tous les deux que ses doigts luisent de son jus.

– Que t’arrive-t-il? Tu n’aimes pas ce que je te fais subir? Ta chatte dit le contraire. Alors explique-toi?

Elle est rouge pivoine. Elle comprend que son corps aime le traitement que je lui impose malgré le fait que son esprit refuse cette relation hors norme. Elle ne sait quoi dire. Alors je réponds pour elle :

– Ton corps aime être possédé. Et ton subconscient aussi. Ton éducation, ta fierté de bourgeoise font que tu n’acceptes pas qu’un gamin comme moi te commande et t’exploite. Mais ton corps ne demande que ça. Et ta vie va continuer comme ça : tu détesteras être humiliée et dégradée mais tu adoreras être baisée violemment et rudement. J’ai quelques mois pour t’apprendre ta nouvelle condition. Je ne veux plus que tu me joues la comédie de ce matin. D’accord?

– Oui Monsieur.

– Très bien. Alors commence ta journée de salope en me faisant plaisir. Et mets-y de l’entrain! Sans les mains!

Elle a compris. Elle met ses mains dans le dos et se penche sur ma queue, l’attrape avec la langue et la met dans sa bouche. Elle me suce en s’appliquant le mieux possible. Elle commence à devenir habile avec sa bouche. Je me détends, les mains derrière la tête et apprécie la caresse buccale de ma tante. Après quelques minutes, j’éjacule dans sa bouche. Comme une bonne soumise, elle avale le tout, presque sans grimace. Puis elle lèche ma queue pour bien la nettoyer et elle relève la tête et attend.

– Bonne petite chienne! tu as été obéissante alors je vais te remercier! Tu vas t’assoir dans le canapé et tu vas te faire plaisir. Et je veux voir comment tu te mets un doigt dans le cul. Fais-toi jouir! Et pas de simulation je le verrais!

Elle me regarde un peu abasourdie, hésitante.

– ALLEZ!

Elle se relève et part dans le salon. Elle s’assoit sur le canapé, écarte ses jambes et remonte ses pieds sur le bord des coussins. Sa main droite descend sur sa chatte poilue et elle commence à titiller son clitoris. Je la suis et je reste debout devant elle pour admirer le spectacle. Je lui dis :

– Je n’aime pas cette touffe de poils. Dans la semaine tu prends un rendez-vous chez une esthéticienne pour qu’elle t’enlève tout ça. Je veux que ta chatte et ton cul soient sans poils. Tu as compris?

– Oui Monsieur.

Je suis content qu’elle n’essaie pas de refuser. Je pense qu’elle comprend sa situation et que même si elle est humiliée, elle ne déteste pas ça complétement.

Ses doigts s’activent sur son clito. Sa main gauche descend vers son cul, passe dessous sa cuisse. Elle tend le majeur et l’enfonce doucement dans son petit trou du cul. Sa main droite accélère sur sa chatte. Elle respire de plus en plus lourdement. Ses yeux se ferment et je commence à entendre des petits gémissements.

Je la regarde tout en me caressant la bite. Elle recommence à durcir et à se dresser. Je veux humilier cette femme qui pendant de nombreuses années m’a regardé avec fierté :

– Alors salope, tu prends du plaisir non? Espèce de grosse vache! Et oui tu as de mamelles et un cul de grosse vache. Et comme tu ne sais pas exploiter tes charmes, je vais t’apprendre. Tu vas devenir une bonne chienne obéissante, une grosse vache que je baiserai à ma guise. Tes trous de salope sont à moi maintenant.

Elle n’a pas rouvert les yeux, mais, au début de mon discours, j’ai vu de l’indignation s’afficher sur son visage puis petit à petit elle s’est détendue. Elle a continué à frotter sa chatte tout en tournant son doigt dans son cul. Elle gémit. Je continue à l’insulter. Je veux qu’elle comprenne qu’elle est à moi et je veux savoir si elle a encore le courage de se rebiffer.

– Je vais faire de toi une bonne pute ma tante. Je vais te préparer à des séances de sexe dont tu n’as même pas idée. Je vais inviter des copains et nous te baiserons à la chaîne. Tu nous lècheras les pieds et tu avaleras des tonnes de sperme. Est-ce que tu comprends grosse vache?

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Wüstengarten 03

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Als sie sich wieder auf den langen Weg nach hause machte, war ihr Herz schwer vor Besorgnis, auch wenn ihre Schritte leicht waren vor neu gefundener Liebe. Sie hatte doch nicht die Frucht von dem Baume entdeckt, der in der Mitte der Wüste wuchs, die einzige Frucht, die noch im Garten der Kaiserin fehlte. Stattdessen hatte sie den Baum wieder in eine Frau zurück verwandelt und für immer verloren. Doch sie hatte Liebe gefunden, Glückseligkeit und Freude, wenn auch nur für eine kurze Zeit dort, unter diesen mächtigen Felsen auf dem steinigen Grund zwischen den Beinen der Prinzessin.

Der Weg zurück nach Hause war leichter und kürzer als sie in Erinnerung hatte. Lag es daran, dass sie sich endlich an den rutschigen Sand unter ihren Füßen gewöhnt hatte? Lag es daran, dass sie einfach nur ihre Richtung wieder gefunden hatte? Oder lag es daran, dass sie von der lustvollen Begegnung und der Leidenschaft, die sie mit der Prinzessin geteilt hatte, erfrischt worden war? Sie wusste es nicht, aber sie hing diesen Gedanken auch nicht lange nach. Denn schon bald sah sie die vertrauten Türme und Minarette der Stadt, deren Straßen wie Gold in der Nachmittagssonne glänzten, deren Parks und Paläste viele Meilen weit geschätzt wurden, und deren Menschen so schön und stolz waren, und mit ihren Leben fortfuhren, als sei nichts geschehen.

Denn nichts war geschehen, jedenfalls nicht ihnen, oder der Stadt Gurganj, oder dem Reich von Xvarazm. Nur Nilgün schien verändert und war eine andere Frau zurück gekehrt, als sie bei ihrem Aufbruch gewesen war. Auch wenn die Häuser, an denen sie vorbeikam, und die Gesichter, die sie sah, ihr irgendwie bekannt vorkamen, so war ein Teil von ihr nun verändert. Es schien ihr, als erinnere sie sich an eine andere Stadt, aus einer anderen Zeit, durch fremde Augen, und sie wandelte unter ihnen wie in einem Traum.

Sie hatte jedoch noch eine Aufgabe zu erfüllen, und ihre Pflicht erforderte, dass sie die Kaiserin sah, der sie ihr Leben verdankte, und deren Vertrauen sie nicht verdient hatte. Nilgün trauerte, als sie dem Palast näher kam; nicht so sehr um ihr eigenes Leben, denn selbst, wenn sie dies verlieren würde, so wusste sie doch, dass ein kleiner Teil von ihr woanders überleben würde, wo er einen Thron wieder erlangte, der lange verlassen war, und mit Ruhm und Macht nach hause zurückkehrte. Nein, sie trauerte um ihre Kaiserin, deren Garten nun für immer die eine Frucht vermissen würde, die nirgends gefunden werden konnte, außer tief in der Wüste, an einem Ort, wo keine Pflanze wachsen dürfte, und an dem auch keine Pflanze mehr wuchs.

Als sie das Palasttor durchschritt, fragte sie sich, wie die Frucht wohl ausgesehen haben mochte. Golden, wie die glänzenden Früchte, die sie im Palastgarten gesehen hatte? Glühend und pulsierend, wie die tropfenartigen Dinge, die dort von den Bäumen hingen? Oder klein und glitzernd, wie die Sterne am Himmel, und mit einem süßen Duft? In ihrer Vorstellung nahm sie alle möglichen Gestalten und Formen an. Manchmal änderte sich die Blüte in eine Unzahl von Farben und Mustern, ihr Geschmack war bald sauer, bald süß, dann beides zusammen. Wenn sie es doch nur mit ihren Gedanken zum Leben erwecken konnte, çorum escort dachte sie. Vielleicht, wenn sie nur lange genug darüber meditierte? Vielleicht, wenn sie nur genug betete, denn Gott war sicherlich gnädig und groß und hatte bereits reichliche Wunder über sie ausgeschüttet.

Nein, dachte sie, das war nicht richtig. In ihrem Herzen fühlte sie, wahrer als jede Wahrheit die sie jemals gekannt hatte, dass nichts davon gelingen würde. Billige Gaunereien und dunkle Magie würden ihr bei ihrer Aufgabe nicht helfen. Sie hatte versagt, und als Versagerin würde sie zurückkehren, was auch immer geschehen möge.

Die Kaiserin erwartete sie bereits in dem Garten, wo sie sich zuerst getroffen hatten. Sie trug nicht mehr das leuchtende Gewand, dessen Steine wie Sternenlicht glitzerten, sondern ein einfaches weißes Kleid, welches dennoch glühte als wäre es von einem inneren Licht erleuchtet, was ihre Haut noch weißer aussehen ließ, als sie ohnehin schon war, machte ihr Haar noch schwärzer und glänzender und ihre Augen noch stechender und feuriger als Nilgün sie in Erinnerung hatte.

Plötzlich fühlte sich die Diebin sehr schmutzig, sehr verstaubt, sehr heruntergekommen und müde von der Reise. Ihre Haut war tief gebräunt und ihre Haare waren zu einem hellen Braun ausgebleicht, nachdem sie so lange in der Sonne gewandert war. Ihre Lippen waren trocken und ihre Finger rau. Sie fühlte sich, als würde sie es nicht einmal verdienen, in der Gegenwart der Kaiserin zu weilen, und schon gar nicht, von ihr mit einer Aufgabe betreut zu werden.

„Du bist zurückgekehrt,” sagte Turkan und lächelte sie milde an, während ihre Augen bis in den Grund von Nilgüns Seele zu sehen schienen.

„Ich bin wohl zurück, meine Kaiserin,” antwortete Nilgün demütig und fiel vor ihr auf die Knie.

„So sag mir,” verlangte die Kaiserin, „wie ist es dir ergangen? Was hast du gefunden?”

Und Nilgün erzählte es ihr. Sie erzählte von der Frucht allen Lebens, von Irsiyah und den Magi, und wie der Zauber sie am Leben erhielt, von der Wüste, und den seltsamen und wundersamen und furchtsamen Dingen darin, und dem steinigen Ort, und den Felsen, und dem Baum in deren Mitte. Sie erzählte von der Frau, die der Baum war, und von ihrer Heimat, jener weit entfernten Stadt, in jener weit entfernten Zeit, von der sie ausgestoßen wurde und wohin sie eines Tages zurückkehren würde. Sie endete damit, wie sie geträumt hatte, und alleine aufgewacht war, und dann in die Stadt Gurganj zurückgekehrt war, um ihrer Kaiserin von all diesen Dingen zu berichten.

Nilgün weinte, denn sie wusste, dass sie in ihrer Aufgabe versagt hatte, und dass ihre Suche erfolglos war; sie weinte nicht um sich selbst, sondern um ihre Kaiserin, die weiterhin die eine Frucht vermissen würde, die nicht in ihrem Garten war, und auf immer missen musste. Sie fiel auf Hände und Knie und warf sich vor ihr in den Staub, denn sie verdiente es nicht, anderswo als dort zu sein. Und dann spürte sie eine sanfte Berührung an ihrer Wange, ein leichtes Streicheln, und als sie aufsah, lächelte Turkan sie mit dem strahlendsten, lieblichsten Lächeln an, das sie je gesehen hatte. Ihre Zähne waren denizli escort weiß und glänzten wie Alabaster, und ihre Augen glitzerten mit einem warmen Glimmern.

Sie nahm Nilgün in die Arme und wiegte sie sanft. Die junge Diebin zitterte vor Scham, denn sicherlich würde ihr schmutziges, verstaubtes Gesicht das schöne weiße Kleid besudeln, das die Kaiserin trug? Aber dann küsste Turkan sie, und es war ein sanfter, liebevoller, zarter Kuss. Und als die Lippen der Kaiserin sich an ihre eigenen drückten, vergaß Nilgün all ihre Sorgen und fühlte einen Moment lang wieder Freude und Glück, wie sie es in jenem steinigen Ort inmitten des Sandes gefühlt hatte.

„Meine liebste, süßeste Freundin,” sagte Turkan schließlich, „wahrhaftig hast du mich nicht enttäuscht. Denn du bist mit der einen wertvollen, süßen und zarten Frucht zurückgekehrt, die meinem Garten all diese Zeit gefehlt hatte. Und hier will ich sie auf immer behalten und mehr als alles anderen in meinem Palast wertschätzen.” Und als sie sich erneut küssten, spürte Nilgün die Hände der Kaiserin auf ihren Schultern, wo sie ihr Reisegewand abstreiften. Diese weichen, wohlriechenden Hände fuhren dann fort, sie aus ihrer staubigen Kleidung zu schälen, bis ihre gebräunte, dunkle Haut alles war, was sie noch trug, und dann spürte sie die weiche, warme, samtige Haut der Kaiserin an ihrer eigenen. Turkan hatte ebenfalls ihr Kleid abgeworfen und ließ nun ihre vollen, schweren Brüste an Nilgüns reiben, was ihre Brustwarzen steif werden ließ.

Sie sanken zu Boden, auf das weiche, üppige Gras zwischen all den wundersamen Blumen und Früchten, die in Turkans Garten wuchsen. Der Gesang der feurigen Vögel und seltsamen Wesen, die durch die Bäume streiften, wog sie in Ekstase, und die Kaiserin küsste jeden noch so kleinen Fleck ihres erschöpften Körpers. Sie leckte die salzigen Schweißperlen von ihrer Haut, und lutschte vorsichtig an den harten, empfindlichen Brustwarzen der jungen Diebin. Mit einer Anmut, die nur dem Adel innewohnte, wanderte sie langsam an Nilgüns Körper hinab, Stück um Stück, bis sich ihre Lippen um ihren Schlitz schlossen und daran sogen, hungrig, leidenschaftlich, eifrig, da sie endlich den süßen, süßen Nektar der einen Frucht kosten wollte, die bisher in ihrem Garten gefehlt hatte.

Und ach, wie süß doch dieser Nektar war, denn Nilgün sprudelte mehr als eine Quelle in der Oase. Ihre Säfte flossen aus ihr heraus und in den Mund ihrer Liebhaberin, tropften von ihren Lippen auf den trockenen Boden unter ihr und bewässerten dort die Erde. Die Kaiserin leckte, schlürfte und lutschte an diesem süßen, süßen Brunnen, und schob ihre Finger dort hinein, um noch mehr, noch immer mehr von den üppigen Säften ihrer Liebhaberin zu erhaschen.

Zunächst war die junge Frau zögerlich und wagte es nicht, einen Körper zu berühren, der so strahlend und makellos war, wie der ihrer Kaiserin, aber als Turkans Liebkosungen weitergingen und sie immer mehr aufrührten und keuchen und stöhnen ließen, spürte sie, wie ihre Bedenken schwanden, ihre Spannungen sich lösten und ihre Seele mit der ihrer Liebhaberin verschmolz. Bald vergrub Nilgün ihr Gesicht zwischen den weichen, düzce escort wohlgeformten Beinen der Kaiserin und schmeckte dort, was noch kein Mann und keine Frau vor ihr jemals geschmeckt hatten — den himmlischen, weiblichen, kräftigen Geschmack ihrer Fotze.

Ihre Feuchtigkeit erfüllte ihren Mund, und Nilgün lutschte es aus ihr heraus so kräftig und stark wie sie nur konnte, trank und schluckte jeden Tropfen, den sie kriegen konnte. Die beiden rollten bald nackt und ineinander verschlungen unter den magischen Pflanzen herum, lachend und streichelnd, küssend und stöhnend, keuchend und leckend, während sie immer begieriger und wagemutiger, immer lustvoller und intensiver wurden. Nilgüns Finger schoben sich hoch in die nasse, tropfende Möse ihrer Kaiserin, wo sie mit Leidenschaft und Nachdruck in sie ein und ausfuhren, während ihre Zunge den Weg zwischen Turkans runde, große Pobacken gefunden hatte. Sie leckte das würzige, heiße Loch, bis es genauso nass und geil wie das andere geworden war.

Und dann schoben sich ihre Finger, nass und glitschig von den Fotzensäften der Kaiserin, hoch in ihren engen Arsch und fickten sie tief, hart und schnell, während ihre Muschi in ihren Mund spritzte. Und Turkans Geist verschwamm, während ihre Sinne nachließen und ihr Körper zu zittern anfing, als ein Gefühl über sie kam, das sie noch nie gekannt hatte, aber welches so süß und mächtig war, dass es sie hinweg trug und mit Liebe, Lust und Leidenschaft überflutete.

Die Kaiserin biss sanft auf den zarten kleinen Lustknopf der jungen Liebhaberin, die ihr Herz gestohlen hatte, und es nun wagte, sie so zu ficken, als wäre sie nicht mehr als eine Hure von außerhalb des Tores, die ihre Fotze für ein paar Silbermünzen feilbot, und sie liebte es. Sie liebte es, und wollte sie doch bestrafen, sie spüren lassen, was sie spürte, ihr geben, was ihr gegeben wurde, und wollte sie in ihrer Kontrolle haben. Turkan zwängte ihre Finger kräftig in die Scheide der jungen Frau, drückte sie alle in sie hinein und fickte sie mit der ganzen Kraft ihrer Hand, während sie mit ihren anderen Fingern in ihrem engen, zarten Arschloch stocherte und sie weit ausdehnte.

Bald wurde Nilgün in beide Löcher gleichzeitig gefickt, was sie noch nie zuvor erlebt hatte. Sie fühlte sich voll, ausgeweitet, wund und rau, aber gleichzeitig auch dreckig und geil, und sehnte sich nach mehr, härter, tiefer, einfach mehr! Ihre Muschi explodierte in einem Feuerwerk der Ekstase und ihre Glieder zuckten unbeherrscht. Ihr ganzer Körper war nicht mehr in ihrer Macht und sie fühlte sich ihrer Liebhaberin völlig ausgeliefert.

Die beiden Liebenden lagen sich schließlich in den Armen auf dem weichen, grünen Gras unter den üppigen Blumen und Bäumen und lächelten nur noch vor Glück und Eintracht. „Du hast mir das größte Geschenk von allen gebracht,” flüsterte Turkan leise, als ihre Finger durch Nilgüns Haare streiften. „Und du hast endlich mein Leben vollendet.”

Die junge Frau nickte und sonnte sich in dem wohligen Glanz von Liebe und Zauber. „Und ich werde nie mehr fortgehen müssen,” antwortete sie. „Denn wonach ich gesucht hatte, war schon immer hier gewesen.” Und sie küssten und hielten einander eine lange Zeit, und liebten sich wieder und wieder, in dem magischen Garten des kaiserlichen Palastes, welches der wundervollste aller Paläste der Stadt Gurganj war, das Juwel bei der See der vielen Inseln, am Rande der Wüsten des Roten und Schwarzen Sandes, im Königreich von Xvarazm.

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Traduction d’un texte de « Anne ».

Avertissement : Ce récit raconte l’humiliation et la dégradation d’une jeune enseignante. Certains passages sont assez durs et peuvent choquer. Si vous avez l’âme sensible, fermez cette page.

*********

15 — L’enculée.

Maxime contourna lentement Anne, savourant ce qui allait arriver. Elle le sentit s’agenouiller derrière elle et relever ses hanches.

– Ce trou est sec! Se plaignit-il.

Anne espéra un moment qu’il utilise plutôt sa chatte humide. Mais au lieu de ça, il cracha plusieurs fois sur son trou du cul, puis il tira un de ses bras en arrière.

– Frotte ton trou du cul et mouille-le. Puis colle un doigt dedans.

Le visage d’Anne devint écarlate. Enfoncer son doigt dans son trou du cul devant tous les garçons? Elle enfouit son visage dans le tapis et obtempéra. Elle frotta son petit trou à plusieurs reprises puis essaya de pousser son doigt à l’intérieur. Elle sentit que le garçon crachait encore sur son cul.

– Assez, maintenant je mets ma bite dans ton cul. Décida Maxime.

L’enseignante sentit le membre dur du garçon contre son ouverture serrée. Elle gémit quand il augmenta lentement la pression. Elle sentit son sphincter céder et elle gémit de douleur.

– S’il te plaît Maxime, va doucement.

Le garçon rigola.

– Doucement? Éric dit que tu es une pute. Je ne suis pas gentil avec les putes. Tu vas aimer que je t’encule durement, tu vas voir.

Il sembla hésiter un moment, puis il poussa en avant et Anne cria quand son cul fut transpercé.

– Ouais c’est ça, baise cette garce. Je parie qu’elle va avoir un orgasme avec ça.

– Allez Maxime ; encule-la bien profond.

Le garçon n’avait pas besoin d’être encouragé. Après avoir ouvert son cul avec sa queue, il la poussa tout au fond puis commença à la pilonner. Elle entendit le claquement de ses hanches contre ses fesses, mais tout ce qu’elle sentait c’était son cul douloureux. Elle gémit bruyamment, mais cela sembla encourager le garçon.

– Aowww, ce trou est très bien, vraiment serré. Dit Maxime en deux coups de rein.

Il attrapa les cheveux de l’enseignante et lui releva la tête.

– Tiens, regarde putain, je vais te faire jouir en t’enculant. Cria-t-il en donnant des coups plus profonds.

Il n’en fallut qu’une douzaine avant que le garçon gémisse tout en déchargeant sa semence dans son cul.

– Aaaahhh c’était bon. Gémit-il à bout de souffle tout en se retirant.

Anne s’effondra sur le sol en essayant de garder ses jambes jointes pour éviter la honte du sperme coulant de son cul. Mais elle ne put se reposer. Robert se leva de sa place.

– Allez enculée, je vais te montrer comment ton cul va bien se faire défoncer.

Trop fatiguée pour résister, Anne rampa. Il la plaça face sur le canapé et remonta son derrière. Sa queue aurait dû glisser facilement dans le trou du cul distendu, mais sa bite était plus grosse que celle de Maxime. Robert lui attrapa les cheveux comme une bride.

– C’est comme ça qu’une salope comme toi devrait être traitée. Siffla-t-il.

Il enfonça brutalement sa queue et commença à la pilonner. Anne était sûre qu’elle aurait des bleus le lendemain matin. Toutefois, la douleur disparut après un moment. Elle était impuissante alors que Robert l’utilisait comme une pute bon marché.

Emme espéra que c’était terminé quand il éjacula, mais David était déjà en train d’attendre, nu, souriant, sa queue bien raide à la main.

– Hé, attends, il faut qu’elle se repose un peu. Elle doit avoir mal partout. Ce n’est pas un jouet et ça risque d’être mauvais pour elle.

Surprise, Anne leva les yeux et vit Pierre, toujours habillé. David Sourit.

– Oh tu crois? Ici salope!

Il montra à Anne l’endroit devant le canapé où Pierre était assis. Avant qu’elle ne réagisse, il l’avait attrapée et jetée sur les genoux de Pierre. Son visage pouvait sentit l’érection du garçon à travers son jean. David explique alors à Pierre :

– Un, mon ami, c’est un jouet, un jouet de sexe et nous ferons diyarbakır escort ce que nous voudrons avec. Et deux, elle a peut-être mal, mais cette salope profite de chaque minute. Je vais te le montrer.

Il releva les fesses de sa professeure et glissa sa queue dans son cul facilement. Anne se dit que son anus devait être béant après avoir été utilisé par les deux garçons précédents. David la baisa lentement pendant un moment, puis il attrapa sa jambe gauche et la retourna sans sortir sa bite de son cul.

– Maintenant regarde bien Pierre. Regarde sa chatte alors que je la sodomise. Regarde comme elle est jolie, humide et avide de bite. Si elle a mal c’est parce qu’elle n’a pas de bite dans sa chatte.

Anne se mordit la lèvre en sachant que c’était vrai. Son cul était douloureux et sa situation dégradante, mais elle était toujours excitée. Et elle le montrait. Allongée sur les genoux de Pierre, les jambes écartées, elle ne pouvait cacher l’humidité de sa chatte. Elle voyait que Pierre regardait et elle sentait son érection sous elle.

– Je la veux! Déclara Pierre.

Il la repoussa et se déshabilla à la hâte. David prit son temps et la baisa lentement. Lorsque Pierre laissa tomber son short, il eut droit à un sifflement élogieux.

– Bel engin Pierre! Cria quelqu’un.

Le garçon ne réagit pas mais se rassit sur le canapé. David retourna de nouveau l’enseignante. Et soudain, elle sentit une bite dure appuyer contre son clitoris.

– OHHHH. Gémit-elle en essayant de capturer la queue entre ses petites lèvres.

Pierre respecta son désir et elle eut alors le plaisir divin d’une bite bien raide qui glissa dans sa chatte nécessiteuse. Le fait que la bite de David soit toujours dans son cul ne diminua pas le plaisir. Au contraire, ça l’augmenta. Et lorsque les deux commencèrent à la baiser, elle perdit tout contrôle.

– Ohhhhh oui, c’est si bon. Oui s’il te plaît, ne t’arrête pas, baise-moi plus profondément.

Elle savait qu’elle se donnait en spectacle, elle en avait honte. Mais elle ne pouvait s’en empêcher. Elle oublia tout à part la sensation merveilleuse d’une grosse bite dans sa chatte. Rien d’autre ne comptait. Elle ne se rendit plus compte du temps qui passait alors que son orgasme se développait en elle. Elle sentit David ajouter son sperme à celui qui était déjà dans son cul. Puis Pierre accéléra et elle jouit en criant, sans même se rendre compte qu’il éjaculait dans son ventre. Elle s’effondra sur le jeune garçon.

– Tu vois camarade, tout ce qu’elle avait besoin c’était une bite dans sa chatte.

Anne entendit vaguement la voix de David, mais elle était trop épuisée pour s’en soucier. La voix suivante pénétra le brouillard de son cerveau.

– Bien Pierre, il semble que tu aies donné à notre chienne un orgasme. Mais elle n’avait pas demandé la permission. Tu n’es pas à blâmer, tu voulais la baiser ce qui est ton droit. Cette chienne aurait simplement dû se retenir. Il semble qu’elle mérite une punition. Mais pas maintenant. Nous allons remettre ça à demain, lorsque nous aurons plus de temps pour en profiter. En outre, je dois admettre que je bande. Je vais donc aller dans l’aile des filles et laisser Belinda profiter de ma bite. Debout salope!

MAURICE entraîna Anne dans sa chambre où il l’attacha pour la nuit.

– Fais de beaux rêves grosse vache! Dit-il en éteignant la lumière.

16 — Habile de la langue.

Au moment où il arriva, le lendemain matin, Anne avait désespérément envie de faire pipi. Mais il prit son temps pour la délier et lui expliquer ses tâches du jour.

– Ecoute bien salope, je ne le dirais qu’une fois. Ce soir à 20 heures, tu viendras dans la salle commune et tu demanderas ta punition. Jusque-là, tu ne quittes pas le bâtiment et tu seras disponible pour tout. Si tu veux quitter ta chambre, tu demandes la permission à l’un des gars. Compris?

– Oui Monsieur. Mais s’il vous plaît Monsieur, puis-je aller dans l’aile des filles, j’ai besoin de faire pipi et de me laver.

MAURICE edirne escort sourit.

– Je devrais te garder ici et te laisser te pisser dessus. Mais je suis un gars sympa, tu le sais n’est-ce pas? Alors vas-y.

Il finit de la libérer et la regarda alors qu’elle se dépêchait d’enfiler des vêtements et de prendre une serviette. Ironiquement il lui tint la porte. Anne se précipita dans l’escalier pour rejoindre l’aile des filles et arriva aux toilettes juste à temps. Ce fut un énorme soulagement pour elle. La dernière chose qu’elle voulait était de donner au garçon la satisfaction de la voir se pisser dessus. Quand elle eut fini et qu’elle sortit de la cabine pour aller aux douches, elle tomba nez à nez avec Katia ANNIEL qui avait un sourire radieux sur le visage.

– Oh merveilleux Mme POISTOUT! Vous savez que vous m’avez énormément manqué. Je m’étais promis de ne plus jouer avec ma chatte, mais j’étais tellement excitée que je l’ai fait deux fois.

La jeune fille sourit malicieusement.

– Mais maintenant, je ne vais pas avoir à le faire. Vous allez lécher ma chatte à nouveau n’est-ce pas? Elle est toute propre, je viens de sortir de la douche.

Anne ne voyait aucun moyen de s’échapper sans expliquer sa situation. Alors elle se contenta s’acquiescer. La jeune fille s’exclama :

– Génial, ma chatte me démange déjà. Elle sera complétement humide quand nous arriverons à ma chambre. Oh merde, on ne peut pas. Lydie dort et on ne peut pas le faire devant elle ou elle voudra que vous la léchiez aussi.

Elle avait l’air malheureuse alors qu’Anne poussait un soupir de soulagement silencieux. Mais les yeux de Katia s’illuminèrent.

– Vous savez quoi? Nous pouvons le faire ici Mme POISTOUT. Nous pouvons verrouiller la cabine pour que personne ne nous dérange. Je vais m’asseoir et vous pourrez me faire jouir avec votre merveilleuse langue.

– Mais Katia, ici? Dans les toilettes?

Un regard irrité traversa le visage de Katia.

– Et alors? Vous avez bien fait des pipes à tous les garçons ici.

Résignée, Anne respira profondément et ouvrit la porte d’un box. Le sourire revint sur le visage de la jeune fille. Elle entra, laissa tomber son peignoir et s’assit sur la cuvette. L’enseignante ferma soigneusement la porte derrière elles. Elle n’avait pas besoin d’être découverte avec Katia dans les toilettes. Quand elle se retourna, elle vit Katia plisser le nez.

– Whaou, vous sentez le sexe Mme POISTOUT. C’est ce que je sens quand je joue avec ma chatte. Et c’est ce que sent Lydie quand elle se fait baiser. Qu’avez-vous fait la nuit dernière? Baisé tous les garçons?

Anne ressentit un moment de panique, mais se mit rapidement à genoux et poussa son visage dans la chatte odorante de Katia. Celle-ci commença tout de suite à gémir et Anne espéra qu’elle oublierait ses questions. La jeune fille avait raison, sa chatte était inondée et elle jouit sous la langue de Anne, répandant son jus sur le visage de la professeure. Celle-ci nettoya la chatte avec diligence pour en finir au plus vite. Être à genoux dans des toilettes publique en train de lécher son élève n’était pas quelque chose qu’elle aimait. Cette pensée la fit sursauter. Servir ses élèves semblait être ce qu’elle allait faire tout le week-end. La voix de Katia brisa sa rêverie.

– Ohhh Mme POISTOUT, vous savez, j’ai eu un fantasme. Oh oui c’est tellement bon, mais moins vite, je veux vraiment en profiter.

Anne ralentit légèrement.

– Oui un fantasme vraiment vicieux. Je n’osais pas le dire mais comme vous m’avez dit que ça ne vous dérangeait pas de me lécher la chatte après que j’ai fait pipi, maintenant que je suis toute propre, pourriez-vous me lécher le cul aussi?

Sans attendre de réponse, elle changea de position et leva les jambes. Anne était sur le point de refuser avec indignation, quand elle se retrouva tout à coup en train de lécher le cul de Katia.

– Ahhhhh, c’est tellement excitant.

Les doigts de la jeune fille se posèrent sur sa chatte edirne escort bayan et la frottèrent vigoureusement. Anne hésita puis continua à lécher. Au moins comme ça, ce serait bientôt fini. Katia continuait à se doigter devant les yeux de l’enseignante.

– Oui, léchez mon trou du cul, ça me fait tellement du bien. Pourquoi n’avez-vous pas deux langues pour me lécher le cul et la chatte en même temps? Ce serait parfait. Oh oui oui, plus vite maintenant, je jouis, ouuiiiiii!

La jeune fille eut un nouvel orgasme, projetant un peu de son jus sur le visage d’Anne. Puis elle se détendit, haletante. Anne attendit à peine que son orgasme soit terminé pour se relever de cette position humiliante. Mais Katia était épuisée et elle ne pouvait sortir de là en laissant la jeune fille avec les jambes écartées. Il lui fallut une minute pour récupérer et elle fit un grand sourire.

– C’était incroyable Mme POISTOUT, je n’aurais jamais pensé pouvoir réaliser mon rêve et trouver quelqu’un qui lèche mon trou du cul. C’est trop vicieux n’est-ce pas? Mais vous l’avez fait si habilement, surtout à la fin quand vous avez enfoncé le bout de votre langue dans mon petit trou.

Elle souriait alors qu’Anne rougissait. C’était déjà assez pénible de le faire, mais entendre la fille en parler la faisait trembler.

– Allez Katia, je dois prendre une douche.

A regret l’étudiante se leva et Anne ouvrit la porte. Lydie était appuyée contre un mur et souriait autant que Katia.

– Vous avez enfoncé votre langue dans son petit cul Mme POISTOUT? Allez-y, prenez une douche. Mais ensuite, vous viendrez dans notre chambre et ça sera mon tour. Je suis sûre que vous voudrez faire un peu plus de travail parascolaire pour rendre vos étudiants heureux. Dépêchez-vous!

Elle resta appuyée contre le mur, tandis qu’Anne, muette, la tête penchée, se dirigeait vers les douches. Lydie la regarda se déshabiller et se laver. La professeure était engourdie et se la va sans réfléchir. Après s’être séchée, Lydie lui désigna la porte et elle suivit la jeune fille dans la chambre qu’elle partageait avec Katia. Lydie laissa tomber sa robe de chambre et s’assit en écartant immédiatement ses jambes.

– Bon, voyons comment après la mignonne petite chatte de Katia, tu aimes en lécher une vraie, une qui baise régulièrement. Tu lécheras d’abord ma chatte puis tu pourras essayer mon trou du cul.

– Lydie, s’il te plaît… Essaya de discuter Anne.

– Tais-toi! Katia et moi partageons une chambre, et maintenant nous te partageons. Je préfère sa langue, mais je vais me débrouiller avec la tienne ; Mets-toi au travail!

Que pouvait-elle faire d’autre? Elle était de plus en plus humiliée. Elle s’agenouilla devant Lydie et regarda sa chatte bien poilue avant de commencer à la lécher. La jeune fille avait un goût amer et fort, et ses poils épais entraient constamment dans sa bouche. Mais elle savait qu’elle n’avait pas d’autre choix. Quand sa langue entra plus profondément dans la chatte, elle pensa avoir détecté le goût du sperme. Elle se souvint de Katia disant que Lydie avait souvent des relations sexuelles avec ceux qui voulaient. Les mains de la fille attrapèrent sa tête et la poussèrent plus profondément entre ses lèvres poilues et humides. Elle la tint comme ça un moment puis elle dit :

– Voyons maintenant à quoi ça ressemble de se faire lécher le cul.

Anne était sur le point d’étouffer. Lydie n’avait clairement pas encore pris de douche et elle goûta à sa sueur. La fille la garda sur son cul pendant quelques minutes puis elle tira sa tête pour plus de léchage de chatte. Anne perdit le compte du temps qu’elle passa aux pieds de son étudiante. Celle-ci ne semblait pas pressée de jouir et elle bougeait sa tête alternativement sur son sexe et son cul. Finalement, les mains se crispèrent sur ses cheveux, et Lydie jouit dans la bouche d’Anne. Immédiatement après, elle la relâcha. Puis elle sourit et dit :

– Pas mal. Je ne te prenais pas pour une lécheuse de chatte, mais plutôt pour une salope avide de grosses bites. Mais à partir de maintenant, je suppose que tu vas être notre lécheuse de chatte à Katia et moi. Katia t’utilisera surement plus souvent que moi. Généralement je trouve assez de bites pour me satisfaire. Mais j’avoue qu’une bonne langue après une bonne baise est plutôt agréable.

A suivre…

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Tanja und Laura 09

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Amateur

Am nächsten Morgen wurde ich von Miriam ziemlich früh geweckt. Sie erlaubte mir weder, zur Toilette zu gehen, noch mir etwas überzuziehen. Sie nahm mir aber den Keuschheitsgürtel ab. So verließ ich splitternackt, nur mit meinen high heels bekleidet und mit hochrotem Kopf mein Zimmer und folgte ihr bis zum Speisesaal. Dort war neben dem Frühstücksbüffet eine sechseckige, um etwas 10 cm vertiefte Fläche mit weißen Fliesen ausgekleidet, und in die Decke darüber waren 2 Eisenringe eingelassen, an denen Messingketten herunterhingen.

“Stell dich bitte in die Mitte der gefliesten Fläche und halte die Hände hoch, du weißt ja, daß heute dein Prangertag ist.” sagte Miriam in einem sachlichen Ton.

Ich gehorchte ihr. Miriam holte aus einer Ecke ein Holzbrett, das in der Mitte geteilt war. An einem Ende waren die Hälften mit einem Scharnier verbunden. Zur Innenseite hin hatten beide Hälften jeweils eine große halbkreisförmige Aussparung für den Hals und zwei kleine für die Hände. Miriam legte mir das Teil behutsam an, schloß die beiden Hälften und sicherte sie mit einem kleinen Vorhängeschloß.

Schließ verband sie das Holzbrett an beiden Seiten noch mit den 2 Ketten, die von der Decke herabhingen, so daß ich mich weder fortbewegen noch hinsetzen konnte. Ich sah meine Hände seitlich, ebenfalls wie mein Hals hilflos eingeklemmt, und bemerkte, daß ich meinen restlichen Körper jetzt nicht mehr sehen konnte. Aber damit noch nicht genug, Miriam befahl mir, mich breitbeinig hinzustellen und legte mir an meine Fußgelenke eine Spreizstange an.

Schließlich öffnete sie meinen Mund und schob mir ein sperriges Drahtgestell in den Mund. Mit so einem Ding hatte ich schon einmal Bekanntschaft gemacht.

Miriam stellte die Mundklemme so ein, daß ich meinen Mund halb geöffnet halten mußte.

So hilflos und gedemütigt hatte ich mich noch nie bitlis escort gefühlt. Ich fing an zu weinen und konnte mir noch nicht mal die Tränen abwischen.

Miriam streichelte meine Wangen und leckte mit ihrer Zungenspitze meine Tränen auf. Diese zärtliche Berührung elektrisierte mich und gab mir wieder Mut.

Miriam flüsterte mir zu: “Alles wird gut, mein Schatz. Wenn du den heutigen Tag überstanden hast, werde ich mich um dich kümmern.”

Ohne noch ein weiteres Wort zu sagen, ließ sie mich alleine, als schon die ersten Mädchen zum Frühstücksbuffet an mir vorbeigingen.

Zuerst kamen eine rothaarige und eine brünette Frau vorbei, beide so mitte 20, ziemlich gutaussehend, mit Minirock und ärmellosem Top bekleidet.

“Oh schau mal, Sabine, die ist aber hübsch! Komm, laß uns etwas unseren Appetit anregen”, sagte die rothaarige. Sie nahm vom Obstbuffet eine Banane, schälte sie und leckte die Spitze genießerisch mit ihrer Zunge ab. Dann führte sie die Banane in meine Richtung, unter das Holzbrett, und ich spürte an meiner linken Brustwarze etwas feuchtes. Sie kitztelte mich mit der feuchten Banane abwechselnd an meinen beiden Brustwaren. Schließlich wurden meine Nippel immer härter, ohne daß ich es eigentlich wollte.

“Du armes Ding, du kannst ja nicht kauen, aber hier hast du wenigstens was zum Riechen.” Die rothaarige biß ein Stück von der Banane ab, zerkaute es und spuckte dann vor meinen Augen den Brei in ihre zusammengelegten Hände. Sie ging auf mich zu, legte ihre vollgesabberten Hände auf meine Wangen und fing an, ihre Rotze in meinem Gesicht zu verteilen.

Ich roch das Aroma von Banane und den süßlichen Speichelgeruch. Ich versuchte, meinen Kopf wegzudrehen, aber es war zwecklos.

Die beiden kicherten und ergötzten sich an meiner Hilflosigkeit. Sie setzten sich an einen Tisch und beobachteten bolu escort mich noch eine Weile.

Schließlich kamen Elke und Maike zum Frühstück. “Hallo Schätzchen, wir haben doch gesagt, daß wir uns heute um dich kümmern.”

Elke ging zum Buffet, nahm sich eine kleine Dessertschale und füllte sie mit Kirschyoghurt. Sie nahm sich einen großen Löffel, hockte sich vor mich hin, so nah, daß ich sie fast nicht mehr sehen konnte, und spürte plötzlich kaltes Metall auf meinen Oberschenkeln. Gleichzeitig wurde ich gewahr, daß sie mit dem Löffel zärtlich den Yoghurt auf meinen Oberschenkeln verteilte. Als der feuchte Löffel an der Innenseite meiner Schenkel ziemlich weit oben angekommen war, zuckte mein Becken zusammen. Maike blieb vor mir stehen und beobachtete meine Reaktion mit Gefallen. “Wer soll dir die Beine ablecken, Schätzchen, Elke oder ich? Aha, ich verstehe schon, du kleines Luder, wir sollen es gleichzeitig machen.” Maike ging um mich herum und setzte sich anscheinend hinter mich. Plötzlich merkte ich 2 zärtliche Berührungen an meinen Beinen. Es mußten ihre Zungen sein, die sich langsam von unten nach oben vorarbeiteten. Gleichzeitig streichelten sie mit ihren Händen meine nackten Beine. Ein warmer Schauer durchlief meinen Körper, und ich wurde feucht. Ich spürte schließlich eine Zunge an meinen nassen Schamlippen. Sie spielte mit meinen Piercingringen. Mein Mösensaft fing an, an der Innenseite meiner Schenkel hinunterzulaufen. Die andere Zunge leckte die Flüssigkeit auf.Eine warme feuchte Hand spielte jetzt an meiner Muschi herum und näherte sich meinem Pissloch. “Wir haben gehört, daß du heute noch nicht zur Toilette warst! Du kannst es bestimmt nicht mehr lange aushalten.

Oh, da kommt ja schon deine Toilette.” Elke und Maike standen auf und gingen ein Stück zurück.

Miriam kam herein, in ihrer Hand burdur escort eine Kette, an deren anderem Ende, an einem Halsband, eine junge Frau, die nackt war, aber eine Ledermaske trug, die nur die Augen und die Nasenlöcher freiließ, so daß man ihr Gesicht nicht erkennen konnte. Vor dem Mund hatte sie eine Art Schnorchel, der in einem Trichter endete. Ihre Hände hatte man hinter dem Rücken gefesselt.

“Diese Schülerin hat sich eines besonderen Vergehens strafbar gemacht und braucht eine Sonderlektion”, sagte Miriam.

So, du wirst dich jetzt unter unsere Prangersklavin setzen und ihren Morgenurin aufnehmen,” befahl sie der Unbekannten.

Diese gehorchte und setzte sich zwischen meine gespreizten Beine.

Miriam rückte den Trichter zurecht und befahl mir:”Jetzt wirst du deine Blase entleeren, aber schön langsam, damit der Trichter nicht überläuft und unsere kleine Schlampe alles schlucken kann.”

Mich erregte die Vorstellung, daß eine wildfremde Frau meine Pisse trinken sollte. Ich ließ meinen Urin laufen und bemühte mich, es stoßweise abzulassen. Mit jedem Schwall hörte ich dieses sprudelnde Geräusch, mit der die Pisse im Trichter herunterlief und die Schluck- und Schmatzgeräusche der Frau.

Als ich fertig war, wurde die maskierte Frau weggeführt. Anschließend hängte Miriam wieder die Gewichte in meine Schamlippenpiercingringe ein.

Als ich so noch ein paar Minuten dastand, kam Victoria zu mir. Sie befreite mich von meinen Fesseln und sagte: “Deine Erziehung ist vorerst unterbrochen. Du wirst in deinem Zimmer erwartet.”

Ich ging in mein Zimmer, und dort saß Tanja. Ich konnte es kaum glauben. Wir begrüßten uns, umarmten und küssten uns. Tanja sagte: “Laura, ich habe deine weitere Erziehung auf einen späteren Zeitpunkt verschoben. Ich habe erstmal etwas anderes mit dir vor. Stell dir vor, uns hat jemand geschrieben, der von uns verwöhnt werden will.”

Tanja erklärte mir, daß sie das zusammen mit mir unbedingt ausprobieren wollte und mich deshalb abholte.

Ich machte mich frisch, zog mich an, packte meinen Koffer, und wir fuhren nach Hause.

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Lederhose

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Ass

…oder der Tod des Kälbchens…

Wie glücklich wäre das Kalb in den Tod gegangen, hätte es gewusst, dass sich seine weiche Haut dermaßen sexy über diesen knackigen Po spannt.

Nein, meine Gedanken hängen nicht dem Kälbchen nach, welches sein Leben geben musste und dieses Beinkleid zu fertigen. Meine Gedanken kreisen im Moment einzig um allein um diesen Po, ich wollte mir vorstellen, wie die Beine in die Hose hinein steigen, sich das Leder immer fester auf die Haut legt und selbst zu einer Zweiten wird. Ich wollte mir vorstellen, wie sich der Knopf und der Reißverschluss schließen und die Hose unverrückbar an ihrem Platz halten.

War es möglich, darunter noch etwas zu tragen? Sah ich verräterische Spuren? Eine Naht oder aber eine kleine Erhebung? Nein, ich konnte nichts erkennen.

Wie war das Gefühl, so ohne Unterwäsche darin zu stecken? Beim besten Willen, ich konnte es mir nicht vorstellen. Wie wird es sein, berührt zu werden?

Ich glaubte die Nähte würden reißen, als sich die Verkäuferin bückt, ich stehe hinter ihr, mein Blick haftet auf ihrem Po. Ich weiß nicht, ob es Einbildung ist oder nicht, doch denke ich, sie bleibt länger gebückt als es wirklich notwendig gewesen wäre. Ich sehe nicht nur, wie ihr Po das Leder dehnt, nein, ich kann auch sehen, wie sich die Naht scheinbar zwischen ihre Lippen zu zwängen scheint und die ihrerseits das Leder dehnen.

„So, da haben wir sie” Ihre Worte bringen mich zurück, ich schrecke auf und löse meinen Blick von ihr. Das nächste was ich sehe, sind ihre strahlenden Augen, die mich verschmitzt anblicken.

„Die sollte ihnen passen”

Sie reicht mir eine schwarze Lederhose. Als meine Hände sie berühren, spüre ich das weiche aber dennoch narbige Material. Ich streiche sanft darüber.

„Unsere Umkleiden sind da hinten, wenn sie Fragen haben, rufen sie mich bitte. Ja?”

„Ja, werde ich machen”

Mit der Hose in der Hand ziehe ich den Vorhang hinter mir zu. Bevor ich mir nun meine Jeans ausziehe will ich nochmals das Leder in meinen Händen spüren, ich streiche sanft darüber, knete es mit meinen Händen, vergrabe mein Gesicht darin und nehme den Duft dessen in mich auf. Wie berauscht fühle ich mich.

Ich öffne die Reißverschlüsse meiner Stiefel und streife sie mir ab, dann die Knöpfe der Jeans, einer nach dem anderen, ich greife in den Bund und schlängle bursa escort mich wie ein Aal aus den Stretchmaterial. Nur noch mit meinem Slip und den Socken stehe ich da, greife nach der Lederhose. Ein Bein nach dem anderen finden ihr Ziel. Langsam ziehe ich mir die Hose immer höher, das raue Innenleder reibt über meine Haut. Mit ein wenig Kraft schaffe ich die letzten Zentimeter, bis die Hose über meiner Hüfte sitzt. Ich ziehe den Bauch ein uns schließe den Knopf und auch sogleich den Reißverschluss.

Meine Hände gleiten über das glatte Leder, erst über meine Oberschenkel, dann über meinen Po. Wie eine zweite Haut schließt mich die Hose ein. Ich spüre die Hitze, die von meinen Fingern ausgeht. Ein Kribbeln überzieht mich.

So benommen registriere ich kaum, wie sich der Kopf der Verkäuferin am Vorhang vorbei den Weg in meine Kabine bahnt.

„Alles in Ordnung? Passt die Hose?”

„Ja, alles bestens” ist das einzige was ich erwidern kann.

„Lassen sie sich doch mal richtig anschauen!”

Ich ziehe den Vorhang zur Seite und trete hinaus, die Verkäuferin geht einen Schritt zurück, sie weist mich an, mich zu drehen, was ich auch mache. Dann kniet sie sich vor mich hin, sie greift an die Hosenbeine und zieht sie etwas nach unten. Als sie sich erhebt lässt sie ihre Finger meine Beine entlang gleiten, über die Unterschenkel, meine Knie, die Oberschenkel bis hinauf zu meinen Po. An der Naht, die mein Slip unter dem Leder abzeichnet bleibt sie hängen. Sie schaut mir in die Augen, ich weiß nicht, was sie vor hat, als sie von mir ablässt und wieder zurück in den Laden geht. Ich stehe wie versteinert vor der Kabine.

Wenige Augenblicke später erscheint sie wieder, in ihrer Hand hält sie einen String und reichte ihn mir. Verwirrt sehe ich sie an, der String war nur ein Stoffdreieck das durch dünne Bänder verbunden war.

Die Verkäuferin legt ihre Hand wieder auf meinen Po, genau an die Stelle, wo sich die Naht meines Slips abzeichnet. Ich verstehe, was sie meint.

„Entweder den, wobei sie auf den String in meiner Hand deutete oder…”

Fragend sehe ich sie an. „Oder was?”

„Oder du verzichtest ganz auf die Unterwäsche” Erschrocken schaue ich sie an, schon der String war für mich eine Herausforderung aber ganz ohne? Ich merke dabei gar nicht, wie die Verkäuferin mich çanakkale escort geduzt hat, in meinem Kopf kreisten die Gedanken. Ich hatte noch nie…., aber warum nicht? Alles wirre Gedanken.

Die Verkäuferin greift nach meiner Hand und führt sie zu ihren Po, dort hin, wo sich bei mir die Nähte abzeichnen. Sanft lege ich meine Ganze Hand auf ihren Po, ich beginne sie sanft zu streicheln. Ich kann nichts unnatürliches spüren, es füht sich an, als streichele ich direkt ihre Haut. Ohne es zu merken, fahren meine Finger tiefer, der Poritze folgend bis zwischen ihre Beine.

Erst ein leises Stöhnen der Verkäuferin lässt mich wieder zur Besinnung kommen, schnell ziehe ich meine Hand weg.

„Und?” sieht sie mich fragend an.

„Und was?” Ich verstehe sie nicht, was meint sie.

„Willst du das Leder auf deiner Haut spüren oder doch lieber den String dazu anziehen?”

„Hast du einen String darunter?” auch ich habe sie nun unbewusst geduzt und schaue ihr dabei fragend ins Gesicht. Sie lächelt mich an.

„Finde es heraus!”

Wieder lege ich mein Hände, diesmal beide, auf ihren Po, ich muß sie umfassen, so dass wir uns viel näher kommen. Ich streichele wieder über ihre Hose, versuche irgendetwas zu spüren. Ich streichele fester, fast so als würde ich ihren Po massieren, doch nichts. Ich dringe immer tiefer zwischen ihre Beine ein. Sie hat diese nun etwas gespreizt, so dass ich sie mit meinen Händen wirklich überall berühren kann. Ich fahre an der Mittelnaht der Hose entlang. Ganz deutlich spüre ich wie sie ihre Lippen teilt, die sich so deutlich gegen das Leder pressen. Sanft streichele ich die beiden Erhebungen links und rechts der Naht. Wieder und wieder gleiten meine Finger über sie hinweg, wobei sie noch deutlicher hervortreten.

„Und hast du was gefunden?”

„Nein, noch nicht, ich muss wohl deutlicher nach schauen” ohne mich beirren zu lassen mache ich weiter.

„Tue dir keinen Zwang an” Es war weniger ein Reden als vielmehr ein Stöhnen, das sie von sich gibt.

Ich lasse meine Hände nun über die Vorderseite der Hose gleiten, ich presse sie auf ihren Venushügel und lasse meine Finger tanzen. Nur wenige Augenblicke waren nötig um ihrem Mund ein intesives Seufzen und Stöhnen zu entlocken. Nun bin ich es, die sich vor sie hinkniet, meine Hände massieren ihren Po, çankırı escort ich greife ihr zwischen die Beine und reibe fest über ihre Spalte.

„Ahhhh….Jaaaaaa…mach weiter” stöhnt sie hervor.

Ich öffne ihr den Knopf der Hose und gleich darauf auch den Reißverschluss. Als ich die Hose eine Spalt öffne, erkenne ich, dass sie nichts darunter trägt, ich sehe ihren glatt rasierten Venushügel. Ich greife in den Bund und ziehe die Hose ein Stück von ihren Hüften, nur so weit, dass ich ihre Spalte erkennen kann. Ihre Lippen sind schon so geschwollen dass sich ihre Spalte öffnet, ich erkenne wie ihr Liebessaft auf ihren Lippen glänzt und diesen betörenden Duft versprüht.

Die Hände der Verkäuferin vergraben sich in meinen langen Haaren, sie drücken meinen Kopf fest in ihren Schoß. Ihr Duft wird intensiver und instinktiv will ich sie schmecken. Ich taste mit meiner Zunge nach ihr, berühre mit der Spitze ihre Lippen, schmecke ihren Saft. Fester drücke ich meine Zunge zwischen ihre Spalte, ich massiere ihre Lippen, lasse sie hinauf gleiten und sie um ihre feste Knospe kreisen. Ihr Griff in meinen Haaren wir fester, krampfartiger. Immer schneller kreist meine Zunge um ihren Kitzler, ich sauge an ihm. Als ich ihn zwischen meine Zähne nehme und ihn leicht drücke spüre ich das Krampfen ihres Körpers, sie presst ihren heißen Saft aus ihrer Spalte, der dann an ihren Beinen herunter läuft.

Ihre Beine werden schwach und auch sie kniet sich vor mich hin, wir schauen uns tief in die Augen und versinken in einem intensiven Kuss. Sie küsst mein ganzes Gesicht, welches von ihren Liebessaft verschmiert ist.

Waren es auch nur Minuten, so kommt es mir wie eine Ewigkeit vor, die wir beieinander knieen, uns umarmen und küssen.

Erst das Schellen der Türglocke reißt uns aus diesen Träumen. Man kann vom Eingang her diesen Bereich nicht einsehen, so dass sich die Verkäuferin schnell wieder die Hose hochzieht und mit „Ich komme gleich” ihre Anwesenheit deutlich macht.

Ich ging schnell wieder in meine Kabine.

Viele Minuten später stehe ich an der Kasse und wieder schauen wir uns tief in die Augen. Ich lege den String, den sie mir vorher gezeigt hatte auf den Ladentisch. Fragend sieht sie mich nun an.

„Den brauche ich nicht. Und diesen auch nicht!” Wobei ich ihr meinen alten Slip in die Hand drücke. „Ich habe die Hose gleich anbehalten, kann ich aber eine Tüte für meine alten Sachen bekommen?”

Sie kommt um die Kasse herum und reicht mir eine Tüte. Als ich meine Jeans hineinpacke greift sie mir mit einer Hand fest an den Po, die andere drückt sie mir zwischen die Beine und streichelt über meine Spalte.

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