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Une charmante voisineLes appartements étaient séparés par des panneaux de jonc sur les balcons et la plupart était si fatigués qu’on pouvait voir au travers. J’averçu les voisins qui prenaient l’apéritif un soir qu’i faiait beau mais j’ignorais qu’ils avaient une fille. Jamais ils ne m’en avaient parlé. Et pourtant, ce soir-là, quand je suis allé sur mon balcon, j’ai entendu des soupirs., un peu comme moi quand je me masturbais.J’ai regardé par une petite ouverture et ce que j’ai d’abord vu, c’est un sein. Un joli sein avec des aréoles immenses et sombres et j’ai voulu en voir plus mais la fille s’est retournée et j’ai vu son dos et un petit tatouage en fleur de lys sur son épaule puis elle s’est allongée dans son transat et là j’ai pu tout voir, dont son joli visage de brune aux chevaux courts.Je me suis dit que si c’est la fille des voisins, elle est bien mieux que sa mère. La largeur du balcon ne lui permettait pas de se mettre face au soleil et elle était en longueur et face à moi et j’ai eu peur qu’elle ne me voir. Joli visage et jolis seins, un peu trop écartés à mon goût sur son torse mince.La fille a passé ses doigts sur son sein gauche puis elle s’est mise à le palper puis en l’écrasant dans ses doigts, elle a fait jaillir le mamelon qu’elle a porté à sa bouche pour le téter. C’est ce qu’elle a fait pendant un petit moment. Quand elle arrêtait, je pouvais voir la langue qui avait du mal à quitter le mamelon puis la fille recommençait avant de passer à l’autre sein.Même motif, même punition mais je me demandais quand elle allait se décider à se caresser le bas du ventre qu’elle avait poilu. Oh, pas tellement, une repousse d’une quinzaine de jours sans doute.La fille a donné un dernier baiser à ses seins puis elle les a abandonnés à sa main gauche pour que sa main droite puisse descendre sur son ventre. L’ongle de son index a tourné autour de son nombril avant de s’enfoncer dedans. Elle faisait durer le supplice mais elle a passé son ongle dans sa toison renaissante. C’était comme si elle se retenait mais tout à coup, elle a ouvert les cuisses et son doigt est descendu entre ses lèvres pour farfouillier son clitoris et elle a fait tomber sa tête en arrière.La fille a passé sa langue sur ses lèvres puis elle a mouillé son doigt qu’elle a replongé dans sa chatte et elle s’est mise à l’ouvrage. Sa tête a penché sur le côté et sa chevelure s’est répandue sur son épaule puis elle a fait des grimaces.Elle enfonçait son doigt entièrement dans bahis siteleri son vagin. Un vrai piston. J’ai pensé qu’elle devait avoir de l’expérience quand elle a joint un autre doigt pour se pénétrer puis elle s’est penchée pour que ses doigts viennent par l’avant entre ses cuisses. Maintenant, c’était un vrai piston qui la pénétrait. La fille gémissait de plus en plus.- Maman, a gémi la fille dans une longue plainte !Elle a ressorti ses doigts et elle s’est renfoncé dans le transat puis elle s’est penchée à nouveau en avant pour regarder et elle s’est touchée un peu partout avec le bout de son doigt, d’abord autour de sa chatte puis à l’intérieur de ses cuisses et sur son ventre.- Maman, a encore gémi la fille avant de se lever et de disparaître dans son appartement. Quand elle est revenue, elle avait un gode énorme dans la main droite. Elle s’est rassise et elle s’est mise à l’embrasser comme si c’était un vrai pénis. Elle l’embrassait et elle le léchait. Je me disais que c’est impossible qu’elle puisse s’enfoncer un truc aussi gros mais c’est ce qu’elle a fait et, en un clin d’œil, l’énorme gode a disparu dans le vagin.- Oh, a gémi la fille !Il n’en sortait que quelques centimètres et le travail a commencé.- Oh ! Oh ! Oh, faisait la fille ! Salope, t’aime ça !Après avoir dit ça, la fille a accéléré. Elle agitait ses pieds dans tous les sens et elle n’oubliait pas de caresser sa poitrine avec son autre main.Je me suis demandé si elle faisait exprès parce qu’elle était juste en face de moi, un pied sur la rambarde et l’autre pied sur le bas de la porte-fenêtre.- Oh ! Oh !Ses cris devaient s’entendre à des kilomètres à la ronde. La course du godemichet ne faisait que quelques centimètres mais elle s’allongeait parfois que le gode allait presque sortir mais il disparaissait à nouveau. La fille se courbait en avant de plus en plus puis tout à coup, elle a explosé en poussant un rugissement et elle s’est étalée sur le transat, cuisses et bras ouverts, le godemiché abandonné dans son vagin et elle est restée là un bon moment avant de se lever de son siège puis de tituber vers la porte-fenêtre.Le gode est tombé tout seul sur la terrasse et il a roulé vers le vide. Heureusement, il s’est bloqué mais la fille ne s’y intéressait plus. Elle avait disparu et elle n’est revenue que beaucoup plus tard pour ranger. Elle a plié le transat et elle l’a appuyé sur le mur et elle allait disparaître à nouveau quand elle s’est souvenu du godemiché et elle canlı bahis l’a ramassé puis elle a disparu à nouveau dans l’appartement et elle a refermé la porte-fenêtre. De toute façon, il allait faire nuit. Je suis rentré moi aussi et je me suis allongé sur le lit et j’ai commencé à me branler. J’avais la fille devant les yeux. C’était terrible, mais je me suis quand même endormi.Le lendemain matin, en allant travailler, j’ai dépassé les voisins dans l’escalier de l’immeuble. Je les ai salués et la femme m’a interpellé pour me prévenir que leur fille est chez eux. Je me suis étonné qu’ils aient une fille. Ils ont continué leur chemin.Ce jour-là, je suis rentré en début d’après-midi mais en arrivant sur mon palier, la fille sortait de son appartement. J’ai pensé qu’elle n’avait qu’une petite robe sur elle car ses seins étaient bien moulés dans le tissu. Elle m’a fait un sourire puis elle m’a demandé si je suis le voisin.- J’allais chercher un truc, mais vous avez peut-être ça, m’a demandé la fille ?- Et ce truc, c’est quoi ?- Bah, vous savez bien, pour les vis…- Un tourne-vis, mais lequel, lui ai-je demandé ? Entrez ! Je dois bien avoir ça !Elle m’a suivi et j’ai fouillé dans ma boîte à outil.-Ah, oui, c’est ça, a fait la fille en tendant le bras !En faisant ça, elle a collé sa poitrine sur mon bras et je me suis retourné et j’ai empoigné son sein gauche. Son visage n’était plus qu’à quelques centimètres du mien.- Je vous ai vu hier après-midi, ai-je ajouté ! Vous êtes très belle quand vous faites ça !Elle n’a rien dit et je l’ai embrassée sur les lèvres puis j’ai enfoncé la langue pour lutter avec la sienne. Quand elle m’a laissé respirer, je lui ai dit que j’ai envie d’elle et je l’ai emmenée dans mes bras jusqu’à ma chambre. Je lui ai retiré la robe et la petite culotte puis je l’ai assise sur le bord du lit. Elle a basculé en arrière.Par acquit de conscience, je lui ai demandé si elle veut bien. Elle m’a souri. Je me suis enfoncé dans son vagin. Une fois bien au fond, je lui ai dit que je ne peux pas lutter avec son godemiché et elle m’a répondu que c’est très bien.J’ai limé pendant un bon moment puis je lui ai demandé si elle ressent quelque chose. Elle m’a répondu de ne pas m’affoler puis elle a ajouté que ça vient.- T’aime ça, faire l’amour, lui ai-je encore demandé ?Elle a fait la moue avant de m’avouer que, qu’elle préfère le gode.- Et tes doigts aussi, ai-je ajouté ?- Et mes doigts aussi, a ajouté la fille !- Tu es une égoïste güvenilir bahis !Elle m’a répondu que c’est de notre faute puis elle a ajouté qu’elle a toujours aimé ça et que c’est rare de tomber sur quelqu’un qui pense à vous.- Et je suis quelqu’un de bien ?- Oui, toi, ça va, m’a répondu la fille, mais pousse un peu plus parce que j’aime bien quand ça fait mal !J’ai poussé plus et elle s’est mise à gémir. Elle m’a encore demandé si j’aime ses seins et je lui ai répondu qu’ils sont mignons.- Alors, tu peux les embrasser, m’a fait la fille !J’ai dû arrêter ma saillie pour m’exécuter. Elle a passé ses mains derrière ma tête. Quand j’ai pu me libérer, je lui ai demandé si elle a déjà fait l’amour avec une fille. Elle a rougi avant d’avouer.- Et tu as aimé ça ?- Oui, mais je suis pas lesbienne, m’a répondu a fille !- Et la sodomie ?Elle m’a répondu que je suis un cochon. J’ai passé les bras sous ses genoux et j’ai relevé ses fesses.- Je peux ?Elle a haussé les épaules. J’ai commencé à enfoncer ma bite dans son anus Je l’avais presque enfoncée en entier quand elle a poussé un soupir.- Oui !J’ai commencé à l’enculer. Elle me regardait dans les yeux et elle se laissait faire sans réagir.- Oui !Ses seins gigogaient dans tous les sens. Alors, j’ai fait « Oui », moi aussi. Tout à coup, nos cris se sont synchronisés. Je lui ai dit qu’elle aime ça et tout à coup sa main droite est descendue sur son clitoris et elle a commencé à le masturber.- Oui !J’ai joui presque sans le vouloir, au fond de son cul et j’ai dit à la fille d’aller jusqu’au bout. Elle continuait à me regarder dans les yeux et c’était moi qui l’encourageait. Tout à coup, elle m’a donné un coup de pied. J’ai écarté sa main et j’ai collé mon visage sur sa chatte et j’ai léché et elle m’a joui sur le visage. Après tout ça, la fille m’a reparlé de la vis et je lui ai dit qu’on s’était plutôt occupé du clou. J’ai ajouté que j’ai envie de le replanter et je lui ai proposé de passer la nuit avec moi. Elle a alors décidé de dire à ses parents qu’elle passera la soirée avec d’anciens amis.Je lui ai proposé de venir avec une fille.- T’es pas jaloux ?Je lui ai répondu que je serai content de les regarder faire. Elle n’a rien dit mais ce soir-là, elle est arrivée avec une copine. L’autre fille a demandé à haute voix si je vais rester. La fille des voisins lui a répondu qu’elle m’a promis. J’ai commencé par regarder mais quand elles ont été plongées dans leur stupre, je les ai filmées avec mon téléphone et j’ai posté tout ça sur un site. Sur les trois heures du matin, j’ai pu enfin baiser avec ma petite voisine puis elles sont parties non sans m’avoir dit que l’autre fille était une vraie lesbienne.Je ne les ai jamais revues.
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