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Traduction d’un texte de Usm1carbine.
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Ce texte comprend de la soumission féminine, de la contrainte, de l’esclavage et des relations interraciales. Si votre esprit est en contradiction avec ces thèmes, ne perdez pas votre temps à le lire.
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Gia, une fois de plus, essaie de se concentrer sur sa classe du matin, mais son esprit repense constamment à l’épaisse et grosse bite noire de Buck. Elle a du mal à enseigner et à attendre l’heure du déjeuner. Elle est devenue totalement accro à sa queue noire, à toutes en fait, ça ne la dérange pas d’être forcée de sucer celle des garçons, elle en a besoin. Mais Buck est son homme et elle a besoin de la sienne plus que toutes les autres. C’est vendredi et jour de paie. Elle a l’impression de marcher sur un nuage quand elle se dirige vers la salle de musique où, bientôt, Buck remplira sa chatte humide avec sa grosse queue.
L’aile du bâtiment est pratiquement déserte à l’heure du déjeuner. Elle n’entend que les talons de ses chaussures dans le couloir. Mais quand elle tend la main vers la poignée de la porte de la salle, un bras la saisit à la taille et l’emporte vers une autre salle. Une autre main couvre sa bouche pour étouffer toute protestation. Ils passent une porte et elle entend qu’on la verrouille derrière elle. Puis elle voit Julius qui attend. On la repose sur ses pieds. Elle se retourne et voit que c’est Robert qui l’a portée.
– Quoi de neuf professeure? Dit-il en la poussant vers le bureau au fond de la pièce.
Elle pense à Buck. Elle veut un homme, son homme, pas ces deux étudiants. Une main se pose sur un de ses genoux et remonte le long de sa cuisse sous sa jupe. Elle peut sentir sa chatte s’embraser.
– hé Gia, mon copain et moi étions en train de nous dire que ce serait agréable de nous faire à deux une petite chienne blanche. Et vous passiez par là.
Ils rient. Elle dit alors :
– Attendez que Buck le sache et vous le regretterez!
Elle sent la main se poser sur sa culotte. Le désir la brûle.
– Je ne crois pas que nous ayons à nous soucier de Buck ma petite Gia. Il baise cette chienne de Denise en ce moment.
Gia ne le croit pas, ça ne peut être vrai. Un gémissement s’échappe de ses lèvres alors qu’un doigt pousse le tissu mouillé de sa culotte dans sa chatte.
– Je ne vous crois pas.
Involontairement, elle écarte les jambes pour permettre un meilleur accès à la main.
– Vous me dites ça parce que vous voulez me baiser.
Le doigt vient de trouver son clitoris. Il frotte la culotte en tissu dessus et exacerbe son désir. Elle essaie de se contrôler pour ne pas leur montrer ses réactions à ce qu’ils font.
– il faut qu’on le montre à cette chienne blanche. Dit Robert.
Sa main se retire de sa chatte dégoulinante et il la pousse dans le bureau du chef d’orchestre.
Julius allume un écran de télévision. Gia est choquée de voir Buck et une autre femme noire à l’écran. L’homme est en train de la baiser avec sa belle queue noire.
– Julius, monte le son!
Les voix prennent vie. Gia entend Buck dire :
– Tu es serrée bébé… mmmmm…. Prends ça…. Prends ce gros gourdin dans ta chatte serrée.
Gia sent que les larmes lui montent aux yeux. Gia a vu la femme travailler à la cafeteria. Elle est penchée sur une table alors que Buck la pilonne. Elle peut entendre la force des coups et l’humidité de la chatte quand l’homme se retire et s’enfonce à nouveau. Puis la femme dit :
– Oh oui bébé, je veux sentir ton sperme chaud en moi. Baise-moi Buck, baise-moi bébé.
Gia sent de nouveau la main remonter le long de sa jambe sous sa jupe pour chercher sa chatte humide comme il y a quelques minutes. Les larmes couvrent ses joues. L’écran devient noir et Julius se place devant elle. Elle est figée. Le garçon déboutonne son chemisier et baisse son soutien-gorge. Il tripote ses seins et serre ses mamelons.
– Ils ne sont pas très gros tes nichons, mais ils sont fermes. Dit Julius.
Il se baisse et en prend un dans sa bouche tandis qu’elle ne bouge pas et continue à pleurer. La main pousse sa culotte sur le côté et deux doigts pénètre son intimité. Une morsure sur son téton la fait sursauter et revenir à la réalité. Elle sent maintenant pour quoi elle est faite. Son corps répond aux sollicitations. Ils ont beau être jeunes, mais ils ont de grosses queues et elle en a besoin pour que son esprit oublie Buck.
– Je veux te sucer Julius. Mets ta grosse bite dans ma bouche et je vais te faire jouir comme jamais.
Le garçon enlève sa bouche de son sein et ouvre son jean en disant :
– Mets tes lèvres autour de ma queue! Suce Gia!
Elle se baisse, ouvre la bouche et prend la bite pour la sucer. Elle sent que sa jupe est relevée sur ses hanches, que sa culotte est descendue sur ses chevilles et que les doigts sont remplacés par la grosse queue de robert. Quand il la pénètre, elle avale plus de la bite à Julius. Elle ne pense plus à rien à part les deux bites noires qui la prennent à chaque extrémité. Rapidement elle a un orgasme. Elle bursa escort sent les mains de Julius se poser sur ses seins alors qu’il viole sans pitié sa bouche, ses coups de rein enfonçant sa queue de plus en plus dans sa gorge. Elle lutte pour respirer et faire face aux réactions de son corps et aux vagues de plaisir qui la traversent.
Elle sent son jus couler le long de ses jambes. Robert pilonne sa chatte et elle entend les bruits mouillés qui sortent de son entrejambe. Elle a l’impression de mouiller deux fois plus.
– Putain mon gars, elle aime les grosses bites de noirs. Dit Julius quand il sent la pression monter et qu’il est prêt à remplir sa gorge.
– Ouais, sa chatte est trop humide.
Robert retire sa bite et la pousse dans le trou du cul de Gia qui glapit. Elle l’entend dire :
– C’est beaucoup plus serré.
Les deux garçons rythment leurs coups de rein et tout à coup ils éjaculent en même temps. Elle sent le sperme chaud dans son cul qui a mal et qui essaie de se remettre de l’énorme bite enfoui en lui. Brusquement Julius sort sa queue, la tire par les cheveux et finit de gicler sur ses seins nus. Il regarde son visage congestionné :
– Tu es ma petite salope blanche. Oh oui, mon sperme est bien sur tes petits seins de salope.
Il frotte sa queue sur sa poitrine puis il lui offre pour qu’elle la nettoie. Elle la prend avidement dans sa bouche pendant que Robert se retire et qu’un filet de sperme coule de son cul. Pour le moment, elle a oublié Buck. Les deux garçons l’ont bien abusée. Ses cheveux sont tirés pour que son visage se tourne vers Robert. Elle lui nettoie sa queue aussi bien que celle de Julius. Enfin les deux garçons rangent leur engin et la laisse remonter sa culotte, baisser sa jupe, remettre son soutien-gorge et fermer son chemisier.
– Tu es un bon jouet de baise Gia, mais je pense que tu peux t’améliorer. Tu sais ce qu’on dit, la pratique rend meilleur.
Ils rient. Elle sent le sperme collant sur ses seins et entre ses jambes. Elle se dirige vers les toilettes des enseignants pour se nettoyer. Par-dessus le bruit de ses talons qui claquent sur le dallage elle entend Julius dire :
– A plus tard salope!
Elle a honte et elle a le cœur brisé. Les deux étudiants l’ont utilisée comme la salope qu’elle est devenue. Et l’homme qu’elle voulait vraiment baisait une autre femme. Elle attrape une poignée de serviette en papier qu’elle mouille puis elle entre dans une cabine et ferme la porte.
Elle laisse tomber sa culotte et voit un tas de sperme qui s’est accumulé à l’entrejambe. Elle essaie de l’enlever le mieux possible. Puis elle ouvre son chemisier et retire son soutien-gorge pour nettoyer sa poitrine. Tandis qu’elle s’active, elle ressent un picotement dans ses reins. Elle ferme les yeux et se rappelle ce qui vient de se passer. Le paquet de serviette tombe de sa main qui se pose sur son entrejambe. Elle caresse sa chatte ainsi que ses seins, sa respiration devient plus rapide. Elle gémit doucement sous l’action de ses mains. Elle se maudit d’être une salope mais ses pensées sont verrouillées sur les deux grosses bites noires qui viennent de la ravager. Son doigt trouve son clitoris qu’il titille. Elle a un nouvel orgasme.
Elle enlève complètement sa culotte et la lave dans l’évier, puis elle l’essore et la range dans un plastique qu’elle met dans son sac. Elle lisse sa jupe et sort des toilettes. Elle n’a pas de cours pour le moment alors elle va s’acheter un coca light et s’assoit à une table dans la salle des professeurs.
Elle se retourne quand la porte s’ouvre. Il s’agit de John WALKER, un professeur d’histoire. Elle espérait un homme noir, mais il est blanc lui.
– Salut Gia! Dit-il en se prenant une boisson et en s’asseyant sur la chaise en face d’elle.
– Salut John!
Elle le salue puis se tourne pour regarder par la fenêtre. Elle était sortie et avait couché avec lui quand elle était arrivée à l’université. Mais il n’est pas noir, et lors de ses rendez-vous avec lui, elle désirait déjà être baisée par une grosse queue noire.
Elle peut sentir son regard posé sur elle, et quand elle se retourne pour le regarder, elle voit une bosse dans son pantalon. Elle se rappelle alors qu’elle n’a plus de culotte et ses jambes sont écartées. Nul doute, le regarde de l’homme est posé sur sa chatte nue. Le sourire sur son visage confirme son érection. Elle ferme les jambes pour cacher son entrejambe.
Il essaie d’engager la conversation avec elle. Mais sa bite blanche n’est pas ce qu’elle veut. Maintenant, elle a une soif insatiable de grosses et épaisses queues d’hommes noirs. Tout d’un coup elle est stupéfaite, le professeur d’histoire se caresse à travers son pantalon tout en lui faisant des mimiques suggestives.
Elle réfléchit et se dit qu’elle pourrait crier au harcèlement sexuel mais ça pourrait causer sa perte si on enquêtait sur elle. Alors elle le regarde et, se rendant compte qu’elle ne peut se débarrasser de lui autrement elle dit :
– D’accord, je vais te faire une pipe mais c’est tout.
Elle bursa escort bayan se lève et se dirige de nouveau vers la salle de bain, l’homme sur ses talons. Après qu’elle ait verrouillé la porte, l’homme est sur elle. Il pétrit ses seins et passe une main sous la jupe pour atteindre sa chatte. Son souffle est rapide.
Elle ouvre son pantalon et le baisse ainsi que son caleçon. Une queue de 20 centimètres jaillit. Elle n’est pas mal pour un blanc, pas très épaisse, mais elle va la satisfaire de son envie de sperme en tout cas. Elle tombe à genoux tout en caressant la bite. Elle sent l’homme relever sa jupe sur son cul, puis ses doigts atteignent sa chatte.
Elle glisse la queue dans la bouche pendant que les doigts de l’homme taquinent son clitoris. Et même s’il n’est pas vraiment ce qu’elle veut, elle s’applique sur sa fellation. Elle sent qu’il répond en poussant ses hanches et en accélérant ses doigts sur le clito. Elle caresse et serre ses couilles. Son sexe commence à s’agiter, elle sait qu’il va bientôt gicler. Il lui met un doigt dans le cul juste avant qu’ils ne jouissent ensemble. Gia avale le sperme qui coule dans sa bouche. Puis elle repousse l’homme, délogeant ses doigts de sa chatte. Elle se relève, lèche ses lèvres et lutte pour remettre sa jupe en place tout en le regardant s’effondrer sur la cuvette des WC la bite encore bien raide.
Elle se dirige vers le miroir pour vérifier son visage. Elle essuie quelques gouttes de sperme sur son menton et alors qu’elle va s’en aller, l’homme la saisit et la plie le visage sur les WC. Il relève sa jupe une nouvelle fois.
– Non John, je t’ai dit une pipe, c’est tout!
Elle sent une queue frotter sa cuisse et approcher de sa petite chatte endolorie. Elle sait que son sexe ne pourra la satisfaire. La main de l’homme tient sa tête baissée contre la cuvette et elle sent le sexe entrer en elle. Elle continue de protester. Après les bites qu’elle a prises ces derniers temps, elle sent à peine le professeur d’histoire la baiser. Son bassin tape contre son cul et son emprise sur son cou aplatit ses seins sur le siège des toilettes. Elle agite les mains pour essayer de se défaire de son emprise, mais il la baise rudement. A sa grande surprise elle l’entend dire :
– Tu es une salope! Tu aimes être baisée petite pute non? Tu crois que parce que je suis blanc, je ne peux pas te baiser, alors que tu baises tout le monde.
Gia tremble. Est-ce qu’il sait? Il doit savoir quelque chose pour dire ça. Soudain elle sent la bite sortir de sa chatte et entrer dans son cul. Il la pilonne encore plus sauvagement jusqu’à ce qu’il éjacule dans ses intestins. La main sur son cou desserre son étreinte. Elle peut relever son visage alors qu’il se retire lentement.
Puis l’homme saisit ses cheveux et tire sa tête pour enfoncer sa bite gluante de nouveau dans sa bouche.
– Nettoie salope!
Elle obéit et nettoie bien la bite. Elle n’aime pas la peur qu’il lui cause avec son brusque changement d’attitude.
– Tu te promènes sans culotte, tu écartes les jambes et tu taquines les hommes. Tu es une salope Gia. Et la rumeur dit que tu as développé une envie de bite de noirs. Eh bien, tu sais prendre soin des queues de blancs aussi.
Sa main se serre sur sa chevelure et il baise sa bouche violemment, ses couilles s’écrasant sur son menton. C’est irréel, elle sent le membre grossir de nouveau dans sa bouche. Il va jouir à nouveau.
Mais la quantité de sperme n’est pas très importante cette fois. Elle avale sans problème pendant que la main lâche lentement ses cheveux. L’homme recule, sa queue se balançant alors qu’elle débande. Il lui dit méchamment :
– Petite salope, si tu veux que ton secret en reste un, tu seras à ma disposition à chaque fois que je le voudrais.
Gia comprend qu’elle va devoir prendre soin de lui si elle veut garder son emploi. Elle se sent vraiment chienne. Le professeur remonte son caleçon et son pantalon. Elle se tourne face au mur, s’appuie sur la cuvette des WC et pleure sur la tournure des évènements.
Puis elle se dirige vers le lavabo et se nettoie avec des serviettes en papier. Elle remet sa jupe et part pour son prochain cours. Elle pense que sa vie est changée à jamais avec tous ceux dont elle est forcée de faire plaisir.
La fin des cours n’arrive pas très vite. Mais elle peut enfin ranger ses affaires. Elle prend sa culotte qu’elle avait mise à sécher dans son casier et l’enfile. Son esprit toujours incapable de comprendre Buck à l’heure du déjeuner, elle appuie sur sa clé pour ouvrir sa voiture. Elle ouvre la porte arrière pour mettre ses affaires sur la banquette. Soudain, elle est poussée et tombe en travers sur le sol de l’auto. Elle est tenue dans cette position alors que quelqu’un démarre et sort du parking.
Une main la tient à plat par terre pendant que l’autre parcoure son cul, puis glisse sous sa jupe et trouve sa chatte couverte de sa culotte. Son visage est plaqué contre la moquette tandis que la main caresse sa chatte à travers le tissu. Elle a peur.
Bientôt la voiture escort bursa s’arrête et elle entend le conducteur descendre et ouvrir la porte arrière. Elle est relevée. Elle s’aperçoit que c’est Andrew qui la tenait et Julius qui a conduit. Ils la poussent vers la porte d’une vieille maison. Après qu’ils soient tous entrés, les garçons ferment la porte derrière eux. Gia plisse les yeux pour voir et compenser le faible éclairage.
Les vitres des fenêtres sont peintes et les meubles sont rares. Julius lui sourit :
– Eh bien Gia, ce soir nous allons voir de quoi tu es capable.
Les deux jeunes rigolent. La jeune femme tremble en réfléchissant à ce qui va lui arriver. Ils lui demandent de se déshabiller. Elle se retrouve bientôt en simple culotte au milieu de la pièce. Julius va dans une chambre et revient avec des vêtements de pom-pom girl.
– Mets ça salope! Dit-il en lui jetant les affaires.
Elle commence à s’habiller, se demandant pourquoi ils la déguisent.
– Est-ce que je peux avoir mon soutien-gorge? demande-t-elle.
Ils sourient.
– Tu n’en auras pas besoin. Tu n’auras pas vraiment besoin de vêtements mais c’est mieux avec cette tenue.
Ils continuent de rire pendant qu’elle finit de s’habiller.
Ensuite ils lui demandent de s’asseoir sur le canapé. Les garçons prennent place de chaque côté d’elle et commencent à explorer sa poitrine sous le pull. Ses mamelons durcissent sous leur tripotage. Des mains descendent à son entrejambe, tirent sa culotte sur le côté et la doigtent.
Julius verrouille sa bouche sur la sienne. Instinctivement elle pose la main sur la bosse de son pantalon. Elle ouvre la braguette et caresse la grosse queue. Le garçon pousse sa tête vers le bas et amène sa bouche sur sa bite. Elle avale la queue qui frappe le fond de son palais. Elle essaie d’en prendre le plus possible.
Elle entend une porte s’ouvrir pendant qu’elle suce la bite et qu’elle se fait doigter. Elle n’y fait pas trop attention, seule la queue dans sa bouche lui importe. Les hanches du garçon se soulèvent pour mieux pousser son membre dans sa bouche. Et il éjacule. Elle fait de son mieux pour tout avaler. Enfin elle lève la tête et se rend compte que la pièce s’est remplie de jeunes hommes pendant qu’elle suçait Julius. C’est l’équipe de football!
– C’est qui cette nouvelle pom-pom girl Julius? On dirait bien qu’elle aime les bites noires.
Elle les entend tous rire et elle en voit certain commencer à frotter leur sexe à travers le pantalon.
– Voici Gia. Et c’est sûr qu’elle n’a jamais assez de bites noires.
Ils la regardent tous et elle a un peu peur. Mais elle pense à toutes ces bites devant elle.
– Mais je sais qui tu es! Tu es la petite professeure blanche sévère que j’ai eu l’année dernière.
Elle reconnaît l’homme et a un peu honte que lui l’ai reconnue.
– Je regardais ton cul bouger au tableau et je me demandais ce que ça ferait de le prendre. Maintenant je vais le savoir.
Il la met debout, l’enserre avec ses bras et l’embrasse. Quand il la relâche, Gia recule et dit :
– Julius, je ne peux pas rester. Je vais perdre mon travail avec tous ces gars qui vont savoir.
Elle glisse vers l’arrière alors qu’ils approchent. Julius lui répond :
– Tu n’as rien à dire professeure, on va tous te baiser ce soir.
Gia se tourne et commence à courir vers la porte. Mais Robert la saisit par un bras et la fait tourner. Elle tombe au sol et des dizaines de mains la recouvrent. Certaines s’insinuent sous sa jupe, agrippent sa culotte et l’arrachent. D’autres soulèvent son pull et des bouches couvrent ses seins. Elle crie.
– Vas-y salope, tu peux crier. Nous sommes très loin de la civilisation et tes cris me font bander.
Deux des hommes tiennent ses jambes écartées pendant qu’un autre s’installe entre. Sa tête est prise en étau entre deux genoux et un gros membre noir s’approche de sa bouche. Les mains inexpérimentées griffent ses seins. Deux bites envahissent chacune de ses extrémités. Elle sent sa gorge céder à son envahisseur. Les deux hommes jouissent rapidement et sont remplacés par deux autres. Sa bouche et sa chatte sont utilisées encore et encore. Elle a l’impression qu’ils vont lui arracher ses tétons. Bientôt son corps réagit à la parade des bites noirs qui la remplissent.
Les hommes font une pause après l’avoir baisée, mais ils sont nombreux et Gia ne peut profiter d’un moment de répit. Elle est baisée par deux hommes à la fois jusqu’à ce que chacun l’ait baisée au moins deux fois. Finalement elle est laissée seule, sur le dos, du sperme sortant de ses deux orifices. Elle essaie de retrouver des forces. Elle les regarde se regrouper pour un nouvel assaut. Elle ne sait pas combien de temps son petit corps pourra prendre ces queues noires, mais au fond d’elle, elle sent qu’elle en veut plus.
Elle n’a pas la volonté de résister quand on lui écarte les jambes une nouvelle fois et qu’une bite la pénètre à nouveau. Elle gémit quand il se vide en elle. Une queue se pose sur sa bouche et elle l’avale. En même temps ses deux mains se ferment autour de deux autres engins pour les masturber. Les hommes recommencent à tripoter ses seins une fois de plus. Son corps est parcouru de tremblements alors que des orgasmes la traversent.
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