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TRANNY SECRETARY HIGHT SCHOOL 18SELF DEFENCE – Un coup de talon sur les orteils. Très bien, vous avez destabilisé votre agresseur. Profitez-en pour vous dégager et vous retournez, tout en lui maintenant un bras au niveau du poignet. Voilà, comme ça…..Mme ANTOINETTE et REBECCA prenaient des cours de self defence.Stéphane leur professeur, avait crée une séance hebdomadaire uniquement réservée au sexe prétendument dit “faible”.La demande était forte. De nombreuses femmes voulaient apprendre à se défendre, mais n’avaient pas forcement envie de s’entrainer avec des gros baraqués. De plus, Stéphane avait adapté ces séances particulières à la fois à leurs atouts et à leurs faiblesses. En effet, au lieu d’utiliser la force et la puissance comme avec les hommes, il mettait en avant des caractéristiques plus féminines, comme la souplesse et la ruse.Autre originalité, les entrainements ne se faisaient pas en kimono ou autre tenue de ce genre, mais avec les vetements que les femmes portaient habituellement. On voyait ainsi une cheffe de service en tailleur et talons aiguilles, affronter une jeune étudiante chaussée de bottines, ou une mère de famille se defendre à coup de bottes contre un violeur jouer par une retraitée en mocassins.Bien évidemment, il n’y avait pas de tatami sinon il aurait vite été criblé de trous. Les élèves s’entrainaient sur un sol dur, ici du béton ciré, comme ce serait le cas en cas d’agression dans la rue. Seuls quelques matelas étaient disposés ça et là pour amortir les chutes.Ah oui, je ne l’avais pas précisé mais vous l’aviez déjà compris, toutes ces femmes portaient des talons hauts. C’était même la base de toute la méthoque pédagogique de Stéphane. Il en avait d’ailleurs fait son logo : un homme plié en deux avec l’escarpin d’une femme entre les jambes.Je vous ai un peu menti en disant qu’il n’y avait que des femmes. En fait, il y avait également Philippe, un jeune retraité qui s’était porté volontaire pour servir de sparting partner. Son fétischisme pour les talons et ses fantasmes de ballbusting étaient comblés.Stéphane n’y avait vu aucun inconvénient, bien au contraire. Cela rendait les entrainements beaucoup plus realistes. Les elèves étaient pretes à se battre entre elles pour l’avoir comme punching ball. C’était tellement plus excitant de frapper une paire de couilles pour de vrai.Mais revenons à la séance :L’agresseur finit au sol, un bras maintenu vers le ciel par une clef, et la tète écrasée au sol par un talon aiguille.”Soremade” cria le professeur. Le cours étaient terminé pour aujourd’hui.ANTOINETTE et REBECCA restèrent après le départ des autres élèves.- Pourrait-on vous parlez quelques instants ?Stéphane qui avait l’habitude de recevoir des propositions de la part de ses élèves accepta sans hésiter.- Oui bien sur, à quel sujet ?- J’aurais peut-etre du travail à vous proposer. Si cela vous interesse bien sur.- Quel genre de travail ?- Celui que vous faites actuellement, professeur d’art martiaux. Je dirige une canlı bahis şirketleri école de secretariat d’un genre assez particulier. Mes élèves sont toutes de jeunes garçons travestis.ANTOINETTE lu la surprise sur le visage de Stéphane, mais continua ses explications.- Même si les mentalités ont énormément évoluées ces dernières années, il ya encore de nombreux imbéciles qui s’amusent à faire “la chasse aux travestis”. Je veux que mes filles apprennent à se défendre. Vos méthodes d’entrainement leur conviendraient parfaitement.Connaissant son tempérament “coureur”, Antoinette ajouta :- Et puis, vous pourrez bénéficier de certains avantages. Mme REBECCA n’attendait qu’un signe de sa patronne pour intervenir. Elle s’accroupit sur ses talons et s’attaqua à la fermeture éclair. C’était le genre d’agression contre laquelle le professeur n’avait pas trouvé de parade. Sa queue se retrouva rapidement au chaud dans la bouche de son élève.Pendant que son associée pompait avidement la verge, ANTOINETTE poursuivit son discour.- Mon école comprends 120 élèves réparties par groupes de 20. A raison de 4 heures par semaine et par groupe, cela vous assurez 24 heures de cours par semaines que vous pourriez faire en plus de ceux que vous faites le soir. Je suis prete à vous payer 3000 euros net par mois. Vous serez également logé et nourri au sein de notre établissement.Stéphane travaillait depuis peu de temps et ne gagnait pas bien sa vie. Financiérement parlant, c’était une proposition très interessante.ANTOINETTE enfonça le clou.”Les jeunes travestis qui constituent mon école sont toutes plus salopes les unes que les autres. C’est REBECCA et moi qui les avons choisies et qui les formons” dit-elle alors que Stéphane commençait à gémir sous la lange de sa suceuse. – Je ne doute pas un instant qu’en plus des cours collectifs, vous aurez énormement de demandes pour des séances individuelles.Le jeune homme avait parfaitement compris les sous-entendus cachés derrière cette phrase.Et puis il y avait REBECCA qui lui pompait le dard avec ferveur. Si toutes les élèves étaient comme leurs professeures, il passerait certainement de bon moments dans cette école.”C’est d’accord, je veux bien faire un essai.” réussit-il à dire avant que REBECCA ne le fasse décharger au fond de sa gorge.”A la bonne heure” lui dit Antoinette. “J’étais certaine que vous accepteriez ma proposition.””Cependant, j’ai omis de vous parlez d’un petit détail.””Ah… quand MEME!” répondit le jeune homme.”C’est à prendre ou à laisser” rétorqua la directrice de la TSHS.Quelques semaines plus tard :La classe de Samantha était réunie dans la salle de sport. Toutes les élèves attendaient avec impatience la raison de la présence de Mesdames ANTOINETTE et REBECCA.- Mesdemoiselles. A partir d’aujourd”hui, vous allez recevoir des cours d’art martiaux afin d’apprendre à vous défendre en cas d’agression. Je vous présente d’abord Henri. C’est l’assistant de votre nouveau professeur. C’est lui qui canlı kaçak iddaa jouera le rôle de l’agresseur.Et maintenant, je vous présente votre professeure de self-défence….STEPHANIE.Mme ANTOINETTE désignait une belle jeune femme aux cheveux courts, impeccablemet maquillée, vétue d’une belle robe ample noire avec des motifs rouges, et chaussée d’une magnifique paire de bottines aux talons démesurée. Quand elle vit les plaques dorées sur les talons de ces dernières, Samantha voulut aussitôt avoir les mêmes.C’était le “petit détail” qu’avait évoqué ANTOINETTE lorsqu’elle avait proposé ce poste à Stéphane. Il n’y avait que des travestis où des femmes dans son école. La seule exception qu’elle acceptait était Henry, étant donné le rôle qu’il aurait à jouer.REBECCA lui avait fait part de son étonnement face à cette exigence juste après le cours:- Tout de même! Tu y as été un peu fort. Exiger de lui qu’il se travestisse!- Financièrement, il ne pouvait pas refuser une telle offre. Et puis, tu vieillis ma belle. Tu avais plus de flaire quand tu était jeune. Tu n’as pas remarqué comment il nous reluque sans arrêt, comment il s’occupe spécialement de nous depuis qu’il sait que nous avons une queue. Je suis certaine qu’il revait de se travestir sans jamais oser se l’avouer. Là, je lui ai donné une occasion de pouvoir le faire sans risque tout en étant bien payé. Il ne pouvait pas refuser.”- La vieille te remercie de tes conseils, grand-mère! lui avait répondu REBECCA.La suite allait donner raison à ANTOINETTE. Elle et Rebecca avaient donné des cours accélérés à Stéphane pour le transformer en Stéphanie. Oh, il n’était évidemment pas question d’en faire une secretaire, mais juste un travesti donnant le change et capable de se mouvoir avec aisance perché sur ses talons aiguilles.Durant cette petite formation, non seulement Stéphane n’avait pas rechigné à se transformer en femme, mais il y avait pris beaucoup de plaisirs.ANTOINETTE termina son petit discours.”Bon, maintenant que le présentations sont faites, je vais retourner à mes occupations.””Je vous laisse entre de bonnes mains” dit-elle à Stéphanie avant de partir.Ca c’est sur qu’il était entre de bonnes mains. Il risquait même de se retrouver très vite dans de bonnes bouches! Stéphane voyait en effet certaines de ses élèves passer la langue sur leurs lèvres pulpeuses en lui lançant des regards aguicheurs. Et puis, tous ces talons aiguilles dont il était fou et que remuaient lascivement ces jeunes filles. “Je vais avoir du mal à donner mon cours” se dit-il.Stéphanie remarqua une élève avec un paire de seins énormes. C’était l’idéal pour la première démonstation.- Mademoiselle, qu’elle est votre nom?- Delphine.- Delphine, venez me rejoindre s’il vous plait.- Je vous explique la situation. Vous etes dans la rue et un homme vient vous agresser par derrière en vous attrapant les seins.””Henry, à toi”L’agresseur vint timidement poser ses mains sous les gros seins de Delphine.Celle-ci protesta.- canlı kaçak bahis Mais ce n’est pas une agression ça, je sens à peine ses mains!Henry prit chaque seins à pleine paume. Enfin, quand je dis les seins, c’étaient plus les mamelons tellement ils étaient gros.La jeune fille insista : “N’hesitez pas à les caresser pour que ce soit plus réaliste.”Henry se mits a caresser la pointe des seins. La situation l’excitait terriblement et la jeune fille sentit son sexe pointer contre ses fesses à travers sa jupe.- Ah oui, c’est beaucoup mieux maintenant. Là je me sens effectivement agressée.Delphine se laissait caresser les seins depuis une bonne minute tout en remuant son derrière contre la queue dressée de son agresseur.Stéphanie lui dit.” Il serait peut-etre temps de vous défendre mademoiselle.”Samantha intervint.”Vous avez mal choisie votre volontaire madame. Si quelqu’un agresse Delphine de cette façon, c’est sure qu’elle va se laisser faire.” Toute la classe se mit à rire.”Certe” répondit Stéphanie, “mais j’ai un cours à donner.”Sur les conseils de sa professeure, Delphine frappa le sol avec son talon aiguille juste à coté du pieds d’Henry. Celui-ci, mimant la réaction que tout homme aurait s’il recevait vraiment un tel coup sur le pieds, leva ce dernier et dessera son étreinte.- Maintenant, vous saisissez ses deux poignets et les poussez vers le haut. Ensuite, vous pivotez en passant sous un des bras que vous continuez à maintenir, et vous amenez votre agresseur au sol.Henry se retrouva allongé sur le ventre, avec un bras maintenu à la vertical. Il ne pouvait plus bouger. Delphine posa un de ses escarpins sur sa tête en signe de victoire.- C’est bien mademoiselle. Maintenant, vous vous mettez deux par deux et vous répetez cet exercice à tour de rôle.Les élèves répèterent deux par deux cet exercice durant une trentaine de minutes. Henry passa de groupe en groupe pour servir d’agresseur et eu l’occasion de palper un bon nombre de paires de seins. Est-ce parce qu’elles avaient mal compris l’exercice, toujours est-il que de nombreuses agressées se laissèrent ploter longtemps avant de réagir.”On va passer à un autre exercice” déclara le professeur. “Il me faudrait une volontaire.”Samantha leva le doigt aussitôt. Elle avait toujours aimé se porter volontaire dans cette école. Cela finissait généralement avec une queue dans le cul ou dans la bouche.Il expliqua le scénario :- Maintenant, votre agresseur s’avance vers vous les mains en avant dans l’intention de vous étrangler. Vous saisissez ses poignets et dans le même temps vous projetez votre pieds dans son entrejambe.”Chouette, je vais lui donner des coups de pieds dans les couilles. J’ai bien fait de me porter volontaire” se dit Samantha.Henry se plaça en face d’elle.- N’hésitez pas à frapper fort mademoiselle. J’ai l’habitude.Soit il était vraiment maso, soit il n’avait pas vu l’épaisseur de la semelle de ses escarpins.Il se rendit compte de son erreur quand ses testicules furent violemment écrasées contre son os pelvien. Il se roula sur le sol en se tordant de douleur.Toutes les élèves aplaudirent.”J’adore ce cours” se dit Samantha.Henry servit d’agresseur pour toute les filles de la classe. Il se jura de mettre une coquille la prochaine fois.

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la chance du voyeurJ habite à la campagne , dans un lotissement d ‘ une dizaine de maisons en lisière d un bois .Dimanche dernier en sortant de chez moi au petit matin pour aller faire mon jogging matinal , je me dirige vers le chemin en direction du bois , quand j entends une voix venant de l autre coté du mur des voisins.C “est la voisine qui échange avec son mari , sur le coup je ne fais pas trop attention , meme si cette dernière ne me laisse pas indifférent. C’ est une grande black très pulpeuse malgré de petits seins par rapport aux restes de ses formes. On se cotoit normalement , nos enfants étant très copains et faisant du sport ensembles.elle à une belle chevelure afro la plupart du temps et de grande lunettes blanches , de bonnes cuisses et des hanches larges , sans plus .J ai eu la chance une fois alors qu ‘ elle était accroupi à coté de moi de voir non sans gene le début de sa raie des fesses grace à la taille basse de son pantalon , superbe vue profonde qui vous laisse la gorge seche et vous ouvre votre imaginationDepuis ce jour plus rien et je l avait presque plus revu.Continuant de les entendre sans comprendre ce que ‘ ils disaient je ralentis mes pas et me placa à l angle de leur mur donnant sur les premiers arbres du bois .La voisine était en pareo et son mari en boxer , lui beau black bien dessiné , et apparemment bien monté.Elle était en train d’ étendre le linge sur son sechoir güvenilir bahis sur pied ; je pu apercevoir une belle collection de culottes en dentelle de toutes les couleurs . Au moment de se baisser resonna un bruit sourd et pétaradant , un éclat de rire et un pardon chérie . Avais je bien entendu ; la voisine avait laché une flatulence , son mari lui répondit , tu ne changeras jamais , heureusement que nous sommes que tous les deux ce Week- end , ton fils t ‘aurais encore chambrer.C ‘ est la nature répondit elle. Elle finit de mettre son linge à sécher et rentra en rigolant de plus belle en pincant les fesses de son mari.Mon dieu , jamais je n ‘ aurai imaginer assisté à pareil scène , surtout de la part de cette voisine .Mon jogging fut troublé par cette séquence et j ‘ avoue une certaine excitation monta en moi .A mon retour , je ne pu m ‘ empecher de m ‘ arreter sans bruit pour me rapprocher de mon poste d ‘ observation , au cas ou .C est la que intervient la chance du voyeur ; car oui elle existe , la preuve.La voisine était sur le bord de la porte fenetre et parlait à l ‘intérieur à son mari .Elle tourna les talons et fit face dans ma direction ou j ‘ étais invisible .Son mari arriva sur ses talons et à ma grande surprise lui enleva son pareo en deux temps trois mouvements , elle ria en se retournant , je vis alors son arrière train ; un putain de cul , large et bombé , son mari lui plaqua türkçe bahis ses mains de ssus immédiatement et secoua ses fesses , elle riait de plus belle . c était merveilleux .Se dégageant de l ‘ étreinte de son partenaire , elle se dirigea sur la grande terrasse ensoleillée vers une grande chaise longue en bois.Me donnant toujours le dos , j avais commencé discrètement à ma caresser le sexe , le souffle coupé , sur ce popotin du tonnerre.Elle s ‘ installa sur la chaise réglée , pour qu ‘elle soit à moitié allongée , elle me faisait enfin face .Le soleil l ‘ illuminait et je pu à ma grande surprise et à ma grande joie voir son sexe , une pure merveille pour les amateurs de chatte naturelles .Bien plus meme , car je m ‘ apercu que sa pilosité montait jusqu au nombril.Mes caresses c ‘ étaient transformées en masturbation active et controlée. Son mari l ‘ avait rejoint , il avait enlevé son boxer . Arrivé près d ‘ elle il lui prit les jambes , les remonta et lui écarta sans un mot. Il glissa alors sa tete entre ses cuisses et lecha comme un chat cette minette déjà trempée et brillante au soleil . Une goutte perla de ma queue , mon autre main caressait mes testicules fraiches de sueurs et dures à en avoir mal . Je n ‘ en perdait pas une miette .Il retourna alors sa femme pour qu ‘ elle se retrouve à quatre pattes ; toujours sans un mot , il lui lecha la raie de bas en haut en insistant parfois sur güvenilir bahis siteleri l anus et toutes l intérieur des fesses ,que je découvris tapissé de duvet collé par l excitation et la salive .Ce cul exposé au soleil , poilu à l ‘extreme me fit frissonner comme jamais . J étais gaté , une black , une chatte poilue , 2 fantasmes réunis en meme temps et de plus une voisine .Une chance à ce niveau , cela arrive une fois .L instant d ‘ apres la langue avait fait place aux doigts du chanceux mari .Du cul à la chatte il alternait les pénétrations de l ‘index et du majeur .Madame retenait ses gémissements en mordant la serviette de bain posé sur la chaise .Et puis ce fut le bouquet final , monsieur ce mis en position de levrette , derrière sa femme , son gland tendu frotta la motte de la voisine , je vis à ce moment la les poils de cette dernière s’ herissé légèrement ; la bite la pénétra tout doucement sans se pressé et les va et viens commencèrent . Mon sexe allait exploser et il faillait que je rentre car ma femme allait sans doute s ‘inquiéter.La chance encore fut avec moi ; à un moment, l ‘ étalon écartat gracieusement les fesses de madame , il se retira et éjacula abondamment sur le dos de sa chérie .Elle lui demanda de continuer d ‘ écarter sa croupe et on entendit à nouveau un pet gras accompagné de bruits pétaradants qui résonnèrent assez loin . J éjacula à ce moment ; comme rarement .J’ avais tout vu , tout entendu .Je serrai mes couilles pour me vider au maximum et repartit vers chez moi en sprintant .Chez moi m’ attendait ma femme black , poilue (un peu moins que la voisine) et une bonne douche , de la chance encore………

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CINE FOLIE 3

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CINE FOLIE 3( Préquel de mon histoire CINE FOLIE )Une pluie incessante tombe depuis ce matin. Un jour dans l’eau ce n’est pas le pied. Ce n’est pas aujourd’hui que j’inaugurerais ma nouvelle petite jupe.Pour tromper mon ennui, je navigue sur le web pour me trouver un petit a****l de compagnie. Je ne veux pas de chien, trop encombrant, un chat ? non trop sournois, un poisson rouge ? bof trop con. Un cochon d’inde voilà ce qu’il me faut. Mais en cherchant par hasard, je tombe sur un site de cul ! Ca s’appelle Xhamster ! Par curiosité je commence à regarder, c’est pleins de photos porno, de vidéos cochonnes et il y a même des histoires coquines. Je jette un coup d’oeil par curiosité et sans trop de conviction, je parcours quelques textes sans plus, mais au bout d’un moment, le titre d’une histoire m’interpelle.« CINE FOLIE »Drôle de titre ! Je ne m’attends pas à ce que cette histoire soit mieux que les autres. Je ne me fais pas trop d’illusion. « J’éteins mon ordinateur. Je viens de passer un moment, sur Xhamster, avec un type super sympa. Nous nous sommes chauffés par un dial bouillant, et chacun de notre côté, nous nous sommes donnés du plaisir. Mon excitation est telle, que sans réfléchir et pour avoir une pointe d’humour, je lui ai parler de mon fantasme et que j’avais envie d’aller dans un petit cinéma me faire baiser. Jeannot compris qu’il ne s’agissait pas que de paroles en l’air, et sembla très excité que je puisse le réaliser, et bien sûr de le tenir au courant… »Mince ! On sonne à ma porte.« Bonjour Aurélie, je ne te dérange pas au moins ? »C’est ma petite voisine du dessus. Je dis « petite » parce qu’elle est jeune. Elle s’est émancipée, très tôt, pour pouvoir quitter le nid de ses parents qu’elle ne supportait plus.« Mais non, Lily, bien au contraire. Je m’ennuie un peu là ! Entre. »Je n’ai pas pris le temps de quitter ma page internet. Et naturellement elle tombe dessus…« Hey dis-moi ? C’est quoi ça CINE FOLIE ? Hihi »« Ho ! Ca ? C’est rien ! C’est une histoire. Je suis… »« Tombée dessus par hasard, je parie ! Haha»« Bah oui, c’est vrai. »« Mais Ouiiii ! C’est çaaa bien sûr ! »Elle s’amuse de me voir gênée.« T’inquiètes pas ! Moi aussi je visite des sites de cul ! Y a pas de honte entre nous hihi. Allez, viens on peut la lire ensemble haha. »Un peu honteuse tout de même, je me pose près d’elle.Elle trouve amusant de la lire à haute voix. Elle y met même l’intonation. Je la laisse faire.« … La caissière lit toujours « Voici ». Je marche rapidement jusqu’à un café et descend aux toilettes pour vérifier ma tenue. Avant de reprendre le métro, je déguste un bon crème. Dans la rue, des hommes passent et me regardent.Et si l’un d’eux… »Elle souffle.« Haha ben dis donc ! Ce n’est pas une sainte cette fille là, hihi ! »« Oui. En même temps, elle n’existe pas. Je reconnais que le type qui a écrit ça à beaucoup d’imagination. Tu veux un café ? »« Oui, je veux bien. En même temps, je ne crois pas qu’il a tout inventé. »« Que veux-tu dire ? »« Ben, ce ciné…je crois bien savoir où il se trouve, il existe vraiment. »« Ah bon ! Tu crois ça ? »« Tu sais des cinés de quartier, il n’y en a pratiquement plus. Je n’y suis jamais entrée dans celui-là, mais je pense savoir où il se trouve. »« Vraiment ? »« Ca te dirais d’aller vérifier ?! Je te parie un restau. »« Haha oui pourquoi pas ! Je tiens le pari hihi ! »Lily fini à peine son café, elle se lève et excitée comme une puce retourne se changer chez elle. Je fais de même et……C’est ainsi que nous nous retrouvons au métro « Strasbourg saint Denis ».Je ne suis pas mécontente d’avoir opté pour mon imper. Il illegal bahis tombe des cordes. Ca aura au moins le mérite de protéger mon pull en mohair et finalement… ma jupe toute neuve.Lily a voulu jouer la maligne avec son petit blouson en cuir. Sa jupe est encore plus courte que la mienne, et même si elle ne le dit pas, je suis sur qu’elle se gèle.« Viens vite, c’est par là ! »Alors bien sûr, elle me fait marcher au pas de course.Mince ! Elle avait raison. Elle s’arrête devant un petit ciné. Je vois la caisse, la porte qui doit mener aux escaliers, tout comme dans l’histoire. Il passe deux films que l’on ne connait pas.On en choisi un au hasard et nos tickets à la main, nous poussons la porte. Il y a bien un escalier qui descend et en bas nous trouvons la porte au hublot.« Alors, tu vois ? Tu es convaincue ? »« Si derrière cette porte il y a encore trois marches, je le serais. »Je pousse la porte. Elle grince comme dans l’histoire. C’est incroyable, il y a trois marches. Nous ne parvenons pas à nous retenir de pouffer de rire.Le film est déjà commencé.« Chuttttt ! »Des personnes nous demandent de nous taire.Pour faire une entrée discrète, c’est raté.Nous ne voyons rien de la salle et pas de chance, c’est le film le plus sombre qui soit.Lily me prend la main et nous nous glissons dans la première rangée venue. Elle va jusqu’au bout et se cogne au mur. Nouvel éclat de rire, nouvelles remontrances des spectateurs mécontents.Nous reculons de deux sièges et nous nous installons. Je retire mon imper que je plie consciencieusement et le pose sur mes genoux une fois assise. Lily ouvre son blouson, mais ne le retire pas. Dessous, elle ne porte qu’un fin chemisier. Je le savais, elle doit être glacée.Sur l’écran, le film se déroule, mais je regarde plutôt ce qu’il se passe autour de moi.Sur la gauche de l’écran il y a la porte qui mène aux toilettes. Un homme en sort et reste au haut des marches. Sans doute pour habituer ses yeux à la pénombre.Il descend, semble hésitant, puis il se dirige droit sur notre rangée et y pénètre.C’est un homme d’une quarantaine d’années. Pas vraiment laid. Pas vraiment beau, non plus. A sa façon de s’habiller, je dirais qu’il tente de se rajeunir. En tout cas, il aime le parfum. Je le sens d’ici.Étrangement les six sièges libres à ma gauche n’ont pas sa faveur. Sa préférence se porte sur les deux derniers de la rangée, près de mon amie.Nous sommes obligées de nous lever pour le laisser passer. Je maintiens mon imper contre mes cuisses pour qu’il ne tombe pas. Lily, elle, cherche son équilibre et se tenant du bout des doigts aux accoudoirs.L’homme semble être à l’étroit pour passer. Beaucoup plus, à mon avis, qu’il ne devrait.Je sens le revers de sa main frotter la mienne. En un éclair je comprends et le regarde manœuvrer avec Lily.Avec le strapontin replié derrière ses jambes, elle se retrouve légèrement cambrée. Elle semble s’offrir et se tendre vers cet homme. Alors qu’il n’en est rien bien sûr. Mais cette position est une aubaine pour le type.Je le vois frotter son épaule contre les seins de Lily et sa main se coller à son entrejambe. Je ne sais même pas si elle y a prêté attention. Mais il ne s’arrête pas là. Alors qu’elle commence à se rasseoir, il se tourne vers elle et lui chuchote « Excusez moi, je crois avoir laissé tomber mon portefeuille. »Lily n’est pas relevée, qu’il est déjà penché entre elle et le fauteuil de devant.Nous nous regardons, interrogatives.Puis il se relève, mais pas de profil, non ! Mais face à elle. Je vois très nettement son manège.Son nez accroche le bas de la jupe de la jeune fille, qui remonte un illegal bahis siteleri peu avec lui. Puis il frotte son visage au ventre et à la poitrine de celle-ci avant de se retrouver le visage à quelques centimètres du sien, le corps plaqué contre elle. Il s’excuse gentiment et passe.Nous sommes stupéfaites. Tout cela c’est passé si vite que Lily n’a pas eu le temps de comprendre ce qu’il lui arrivaitCela ne nous empêchera pas d’éclater de rire une nouvelle fois lorsque le type se cognera contre le mur.Du coup il est calmé et s’assoit. Nous essayons de reprendre le cours de notre film.Pas pour longtemps. Il se lève et s’installe sur le strapontin près de ma petite voisine.Elle le regarde et il se sent obligé de se justifier. Désignant le siège près du mur.« Il est cassé ! »Il se passe cinq minutes sans incident, mais soudain, Lily me donne des petits coups de coude. Pas besoin d’explications. Je me penche légèrement pour observer le type.Bien enfoncé dans son siège, il se doit d’écarter les jambes pour ne pas être gêné par le dossier de devant et de ce fait son genou frôle celui de ma copine.Elle se tourne légèrement vers moi et me fait un clin d’œil agrémenté d’un grand sourire.Du coup, c’est moi qui me sens gênée. J’espère que cette histoire ne l’a pas excitée au point de se laisser faire. Pourtant…Il l’a caresse maintenant du bout de l’auriculaire et devant son manque de réaction devient plus pressant. L’annulaire, le majeur. Désormais sa main entière est posée sur le genou.Avec la plus grande prudence, je chuchote à Lily.« Tu veux qu’on change de place ? »Et elle de me répondre :«Non ! Laisse faire, ça m’excite ! »« T’es folle ou quoi ? »Je n’en crois pas mes yeux. Elle se laisse glisser dans le siège. Du coup, la main de l’homme, qui elle n’a pas bougée, se retrouve sur sa cuisse.« Arrête Lily ! Arrête ! Rhooo !»Je n’aurais jamais cru ça d’elle. Je la savais excentrique et libérée, mais là…Le type continu sa progression et sa main passe presque sous la jupe de la belle.« Allez ! Viens ! On s’en va ! »« Sûrement pas ! Ça me plaît bien, moi. T’as qu’a partir si tu veux, moi je reste ! »Et là, elle fait une chose d’une inconscience totale. Elle écarte les jambes.« Mais t’es complètement folle ! Arrête ça tout de suite, merde ! »Mais je parle dans le vide.Le type doit être aux anges d’avoir trouvé une jeune salope.Sa main passe sous la jupe, dévoilant le haut des cuisses de la déséquilibrée. Nouvelle surprise. Mademoiselle porte des bas, mais pas de culotte. C’en est trop !« Tu l’auras voulu, je me tire ! Tant pis pour toi ! »Je me lève. Elle ne tourne même pas la tête.Elle rentre quatre heures plus tard et sonne chez moi.« Ho, toi, t’es fâchée ! »« Non, pas du tout. C’est ta vie, tu en fais ce que tu veux. Je trouve juste que tu as pris des risques inconsidérés, et pourquoi ? Je te le demande ? »« Mais noonnn ! Qu’est-ce que tu voulais qu’il m’arrive, hein ? »« Mais merde à la fin ! Tu as écarté les cuisses à un homme qui t’es totalement étranger ! »« Et alors ? Il m’a fait jouir ! C’est ça le principal ! »« Tu t’es donnée à un vieux dégueulasse ! »Elle éclate de rire et me prend dans ses bras.« Ben oui, je me suis donnée ! Tu ne voulais quand même pas que je le fasse payer ? Tu sais ça porte un nom et c’est interdit hahaha ! »« Mais c’était un vicelard, un salaud qui profite des jeunes filles ! »« Pas du tout ! Je pouvais partir ! Et puis tu sais, je suis sûre que ce n’était qu’un pauvre type célibataire, sans aucun doute en manque de femmes et d’affections. Allez, Aurélie ! Fais-moi un beau sourire hihi. »J’aime beaucoup cette fille canlı bahis siteleri et il n’est pas question que je me fâche avec elle. Alors, pour lui montrer que je ne suis plus en colère, j’honorerais mon pari perdu et je l’inviterais au restaurant.Trois semaines se sont écoulées depuis cet « incident ».Trois semaines que je dors mal, que je n’arrive pas à me concentrer sur mon travail. Trois semaines que je ne pense qu’a ça ! J’ai tourné et retourné cette histoire dans ma tête des centaines de fois. J’en ai même rêvé.Mais le plus étrange, c’est qu’aux fils des jours je m’approprie cette histoire abracadabrante.Je m’imagine à la place de Lily et ça ne m’offusque plus beaucoup. Je crois même capter l’essence même du plaisir que l’on peut en retirer. Je crois pouvoir ressentir cette douce crainte, cette douce peur qui doit prendre au ventre. Je crois…On sonne. C’est elle.« Ha ben tu tombes bien ! Je voulais te demander quelque chose. »« Si je peux te rendre service… »« Me rendre service, non, mais m’expliquer, oui. »« J’espère que ce n’est pas encore cette histoire de cinéma, dis ? »« Heuu ! Bah en fait, si. Un peu. »« Ha non ! Là c’est bon ! On va encore s’engueuler ! »« Mais non ! Je voulais juste te demander si après coup, tu étais toujours d’accord pour dire que c’était sans risque. C’est tout. »« Évidement ! Il n’allait pas m’égorger ou me … Tu vois ce que je veux dire. »« Oui, bien sûr. Tu ne me dirais pas ce qu’il c’est passé quand je suis partie ? »« Il m’a dit qu’il regrettait de t’avoir fait fuir, et qu’il aurait aimé que tu restes. »« Et ? »« Et quoi ? »« Bah, alors qu’est-ce qui c’est passé ? »« Mais c’est quoi cet intérêt soudain pour tout ça? Pffff ! Il m’a caressé. Il m’a touché. Je l’ai sucé et puis voilà. C’est bon ? C’est tout ce que tu voulais savoir hihi ! »« Ah bon ? Mais il a éjaculé ? »« Ben oui il a joui dans ma bouche hihi ! »« Beurk ! Mais tu trouves pas ça dégueulasse ? »« Ben non mais bon j’ai dû tout avaler. Et je peux te dire que vu tout ce qu’il a éjaculé dans ma bouche, ça devait faire un bon moment qu’il n’avait pas craché hihi. »« Baaaah c’est dégoûtant ! »« Ben nan, moi j’adore le sperme hihi ! »« Mais t’as jouis toi ? »« Ben oui grave ! Rhooo bon, allez, on se revoit plus tard, quand tu seras redevenue normale. Salut ! »Elle claque la porte.Oups ! Je reste surprise de sa réaction, je crois que je l’ai fâchée, là.Assise sur mon lit, je finis de me sécher les cheveux, songeuse. Mais de toute façon, voilà trop longtemps que j’y pense et j’ai pris une décision… Je veux savoir, je veux me rendre compte de moi-même et me mettre en situation.En fait, je me cherche des excuses, alors que c’est tout simplement parce que j’ai envie de le faire. Mais quand ? Là, je ne suis pas encore vraiment décidée.Nue devant le miroir, je me contemple.Je suis plutôt pas mal foutue. J’arrive à comprendre que les hommes se retournent sur moi.Oups ! Trêve de prétention. Ce n’est pas mon genre.J’écarte un peu les jambes et je me caresse tout doucement. J’aime faire ça devant mon miroir. Ainsi je vois ce que les autres pourraient voir et ça m’excite terriblement.Je fantasme sur des situations que je pourrais vivre si j’étais une salope.Comme par exemple enfiler mon imperméable sur mon corps nu et m’imaginer m’exhibant dans la rue devant tout le monde.Ho, il m’est bien arrivée, deux ou trois fois, de descendre chercher mon pain ainsi, mais au grand jamais je n’aurais osé ouvrir mon manteau. C’est évident.Par contre, je me souviens très bien de l’état d’excitation ressenti en remontant chez moi. Je m’étais masturbée comme une forcenée.Il me semble être fiévreuse. Je tremble et j’ai le feu aux joues, enfin pas que là.En fait je suis comme une petite fille qui se prépare à faire une grosse bêtise…( Faites moi part dans vos commentaires si vous aimeriez qu’elle retourne au ciné. )

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La petite voleuse

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La petite voleuseRevenant des courses, le téléphone sonne. C’est Christian.« Dis, Michèle, t’es dispo tout de suite ? J’ai un truc à te demander. »« Heu… Oui c’est quoi ? »« Rejoins moi au travail tout de suite ! »Christian est vigile dans un complexe commerciale à quinze minutes de chez moi. Je saute dans ma voiture et quand j’arrive, aussitôt je file à son bureau. Il me sourit en me disant toujours aussi coquin :« Huuum !! C’est bien Michèle ! Je claque des doigts et tu es là aussitôt ! »« Alors quel est le problème ? »« Tu vois ? Cette cliente a volé des articles de lingeries. Mais elle ne veux pas avouer et je n’ai pas le droit de la fouiller, même si l’envie m’en démange. En attendant que les flics soient là, peut-tu la foutre à poil pour constater ses vols ? Il y a une cabine derrière.»«  Tu parles d’un boulot ? C’est bien pour te dépanner. J’vais m’occuper d’elle ! »Apparemment la jeune fille est très intimidée. Je la conduis dans le vestiaire et je constate qu’elle est prête à craquer.«  Alors, donnes moi ces sous-vêtements et on prévient pas les flics ! »«  Je vous assure Madame ! Je n’ai rien volé ! »« J’aime pas les voleuses et encore moins les menteuses ! Tu vas te mettre à poil et s’il s’avère que tu nous a menti, la punition n’en sera que plus cuisante pour toi. Alors ? »«  C’est tout réfléchi ! Je dis la vérité. »D’un ton autoritaire, je lui ordonne :« Fout-toi à poil et vite fait ! Sinon j’appele mon copain et son pote. Il n’attendent que ça ! »« Mais vous avez pas le droit ! »« Ha oui ? T’es certaine de vouloir jouer à ça ? »«  A non ! Jje ne vous permettrais pas de me fouiller, ça ne va pas se passer comme ça !Je ne veux pas me mettre nue devant vous ! »«  Ok ! Christian, appelle les flics ! Ils pourront lui faire une fouille approfondie ! »La fille aussitôt supplie de ne pas appeler la police.«  Non n’appelez pas illegal bahis la police je vous en prie ! Je préfère que ça se passe à l’amiable. » Là la fille commence à se déshabillée, tremblante et rouge de honte. Les yeux au sol, la voilà devant moi en string et soutif. « Enlèves le reste que je vérifie si les articles volés correspondent bien. »Elle ôte les dernier barrage de son intimité et me tend les deux morceaux de tissus. J’en profite pour la déshabiller de yeux et la trouve bien roulée la petite salope.Elle reste muette quand je lance à mon ami :« Tu ne sais pas ce que tu perds. Elle est canon la nana. »Je vérifie les deux articles et constate qu’il s’agit bien des produits volés. Je lui met sous les nez en demandant :« Alors ? Qu’a-tu à dire de ça ? »« Heu…bien oui ! J’avoue les avoir volé. Je m’excuse c’est la première fois. Mais je voulais plaire à mon petit copain et j’avais pas assez de tunes pour me les payer ! »« C’est vraiment n’importe quoi ! »Alors qu’elle tente tant bien que mal de cacher sa nudité, vicieuse, et pour l’humilier un peu plus, je lui ordonne de mettre ses main sur la tête. Elle hésite un instant et s’exécute, rouge de honte. Je demande à Christian :« Viens voir la donzelle ! »Il ouvre le rideau et siffle la belle en voyant sa plastique.«  Tu ne t’étais pas trompé, elle avait bien dérobé ces deux pièces de lingeries. »«  Ah mais dis-moi Michèle, je vois que tu as employé les grands moyens, tu l’as mis complètement nue ! »«  Il n’y avait pas d’autre solution pour qu’elle restitue la marchandise volée. Mais je pense qu’elle mérite une bonne punition, tu ne crois pas, Christian ? »« Oui une bonne fessée lui ferait le plus grand bien ! »Elle s’insurge :« Une fessée, mais vous êtes cinglé ? »« La ferme ! C’est les flics ou la fessée ! »« Mais….., vous ne pouvez pas me fesser, vous n’avez pas le droit ! »« Parceque illegal bahis siteleri tu avais le droit de chaparder ? Tes jérémiades sont inutiles. C’est trop tard maintenant pour revenir en arrière ! »Je prends un chaise et la couche sur mes genoux de telle façon que Christian et son pote aient une vue imprenable sur le postérieur de la jeune fille. Avant de commencer, pour l’humilier un peu plus, je caresse ses fesse et passe une main furtive sur son pubis glabre. Elle ne bronche pas et ne dit mot certainement de peur que sa punition soit alourdie. Ma main frappe chaque fesse à un rythme régulier. La fille se cambre à chaque coup mais serre les dents pour ne pas crier.Maintenant ses fesse sont aussi rouge que ses joues. Les deux hommes se délectent de la voir gestiler sous leurs yeux. J’arrête la fessée et elle en profite pour se frotter les fesses. Sans le vouloir, elle montre sa fente humide à Christian et son pote qui je le remarque bandent comme des ânes. Christian prend alors l’initiative en lui disant :« Ma cocotte, outre l’humiliation, la fessée a pour but de faire mal et te faire passer l’habitude de voler. Je peux te dire que t’es pas prête de l’oublier. Maintenant à genoux, et suce ! »La jeune fille certainement anéantie et soumise par la fessée qu’elle vient de recevoir, ouvre la bouche et se met à pomper mon ami. Pour me faire plaisir, Christian la met à quatre pattes. Je peux ainsi contempler sa vulve pendant qu’elle se fait baiser la bouche par Christian. Ses fesses sont rouge cramoisies et contraste avec la délicatesse de sa chatte où perle une goutte de cyprine. Je me baisse et remonte ma main de sa chatte, jusqu’en haut de sa raie des fesses en effleurant sa rosette. Au contact de mes doigts, elle fait un mouvement de recul avec sa croupe.« Oui creuse bien tes reins ! » Lui dis-je.Je fais canlı bahis siteleri un signe au pote de Christian qui pige aussitôt pose son gland dans l’abricot de la fille en poussant d’un coup pour la pénétrer jusqu’à la garde. Un cri étouffé s’échappe de sa bouche. Mais l’effet est immédiat. Elle creuse sa croupe et semble commencer à apprécier le traitement. Embrochée de la sorte, le spectacle est d’un érotisme qui ne me laisse pas froide. Je me caresse en les regardant. Puis je prend la ceinture d’un des deux vigile et me met à la fouetter. Elle crie, pleure, gémit, mais je continue jusqu’à ce que les deux mecs éjaculent. Les lanières de cuirs ont marquées des zébrures rouges sa peau. Les mecs se rajustent et reprennent le cours de leur travail me laissant seule avec la fille. Je lui dit :«  Regarde-moi dans les yeux ! Tu as compris la leçon ? »« Oui Madame. Mais c’est trop cruel. J’ai les fesses et le dos en feu. »Je rigole en lui disant :« C’est quand même préférable aux conséquences que t’aurez eu, si on vt’avait dénoncé à la police, n’est-ce pas salope ? »«  Oui , mais c’est dur Madame ! »« Oui ! Mais désormais avant de commettre une bêtise, tu y réfléchira davantage. »Je me penche et doucement je caresse sa poitrine, sa peau est veloutée, puis je saisis un téton et le tire doucement vers vers moi en lui disant :« Avant de partir, fais moi jouir. Bouffe-moi le minou ! »« Mais je ne suis pas une gouine ? »« Je te demandes pas si t’es un gouine ! Je te demande de me faire jouir petite conne ! »Elle se met à me sucer le clito et même si elle n’est pas habille je joui rapidement. Magnanime, je lui dit :«  Lève-toi ! J’ai été suffisamment cruelle avec toi mais tu le méritais. Allez rhabille-toi. »J’assiste avec un plaisir certain sa séance d’habillage. Elle enfile à la hâte ses vêtements. Une foi rhabillée, je lui donne une claque au fesses et lui dit :« Allez file maintenant. »« Merci Madame. »Je lui emboîte le pas et une fois dans la salle des vigiles, je m’adresse à Christian ;«  Merci Christian pour ce petit divertissement. Tu peux me faire signe quand tu veux. Bisous ! »

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alain un fermier perversBonjour , je suis un homme bi a tendance de soumis avec les hommesIl y a quelques années je suis parti faire un remplacement a valence , j avais vingt ans , je suis brun je fait un mètre soixante neuf et soixante cinq kilos environsLes premiers jours j avais pris une chambre dans un petit hôtel puis j avais trouvé un studio dans une ferme a l extérieur de la ville , Alain était mon propriétaire un gars d une centaine de kilos et de presque un mètre quatre vingt , les cheveux dégarnis et assez sympa.Cela faisait deux semaines que j étais dans la ville et je ne connaissais aucun lieux de rencontres , il n y avait pas encore internet et j étais en manque , je passe dans un magasin faire des courses , j arrivais aux légumes et la je vis un joli concombre , long, de fines nervures et d un beau diamètre je l achetais déjà tout excite .Je rentrais au studio , me lavais, mangeais puis je m installais sur le canapé nu , je passais mes mains sur tout mon corps pour me chauffait puis j allais chercher mon beau légumes , une capote et de la vaseline , de retour je passais le concombre entre mes cuisses sur mon torse , le léchais ,je bandais a fond , je commençais a me doigter avec un puis deux doigts et de la vaseline , je mis une capote sur ce membre vert et assis au bord du sofa ,je m appuyais sur mon dos ,relevais les jambes et je le présentais sur mon rondelle , le faisant tourner dessus , j étais bouillant et je commençais a me le rentrer , je lâchais de petits cris a chaque poussées en moi, transpirant je le retirais puis le remis arrive a sa moitie ma position n était pas pratique donc je migrais vers la chambre , je pu caler mon god naturel sur le lit et appuyer sur mes genoux je descendais canlı bahis şirketleri dessus , il me remplissait a fond , je gémissais ma queue était raide et gonflée de sang ,puis malgré moi je m empalais trop d un coup et je lâchais un long cri , je restais dessus le souffle coupe dix bonnes minutes puis mon cul se détendit et je recommençais mes va vient et je le pris tout entier , j allais de plus en plus vite profitant d au moins vingt cinq centimètres en moi , chaque fois que je descendais a fond mon sexe tressautait , j accélérais mes mouvements de ma main libre je m astiquais et d un coup je sentis le plaisir venir je montais le plus possible pour redescendre d un coup et la d un long cri de plaisir je crachais mon jus avec puissance .le sang battait a mes tempes , j étais dans les vapes , je m allongeais toujours rempli , je commençais a m endormir et j allais me lever pour éteindre la lumière quand j entendis un bruit , c était a ma fenêtre dans mon excitation je n avais pas ferme les volets , c était Alain qui tapait au carreau , je devins rouge de confusion , je m étais contracte et le concombre sorti de moi et je ne pus réprimer un gémissement- ouvres moi dit Alain a travers la vitreje pensais qu il allait me virer de l appart , je me levais et tout penaud j allais ouvrir la porte , il était devant moi en tee shirt et short , ou je devinais une bosse- alors on s’amuse tout seul mon salaud- euh oui , excusez moi je ne savais pas trop quoi dire- je t ai entendu crier et je suis venu voirtout en disant ça , il m’attrapa la queue et les couilles en même temps en serrant , je couinais- aie ça fait mal Alain s il vous plait- ta gueule en me retournant pour me mettre une grosse claque canlı kaçak iddaa sur les fesses qui me fit avancer de deux mètres , il ferma la porte , me poussa dans le dos vers la chambre – je vais te donner de la vraie bite , moi – tout ce que vous voulez Alainil enleva son short et me présenta sa queue toute dressée =maintenant , un gros gland , assez longue épaisse et un plus large au milieu- a genoux et sucej obéis et le p-ris dans ma bouche , je m appliquais le mieux que je pouvais et la situation me redonnais de la vigueur- hum mm je vois qu elle te plait ma biteje m arrêtais pour lâcher-oui je lui passais ma langue sur toute la longueur , ses couilles pour revenir sur son gland et la gobais complètementil me baisa la bouche en me tenant fort la tète puis s arrêta- a quatre pattes sur le lit de suite , chienneje me mis en position et au lieu de me prendre de suite il se mit a cote de moi , m enserra autour de mes hanches d un bras et me mit une grosse fessée , je ne pouvais bouger il était trop fort , j avais des larmes qui coulaient- arretez , j ai mal- tais-toi , c est ta punition salopeil s arrêta enfin , j avais les fesses en feu , il me les caressa , bougea pour se positionner derrière, je bombais mon cul- hum c est bien , tends bien tes fesses , écartes lesla tète appuyée sur le lit, le cul tendu que j écartais de mes mains , il passa son gland tout le long de ma raie puis m attrapant les hanches et il s enfonça d un coup puissant j en eu le souffle coupe , et il commença a bouger moins fort que ce que j aurais pense mais a chaque fois il venait bien au fond , il me caressait le dos et je reparti en transe , creusant mes reins pour l accepter au maximum , je gémissais de plus en plus mes canlı kaçak bahis râles étaient de plus en plus fort-hummmmm tu aimes vraiment ça dis donc ,tu veux que je te baises bien- oui Alain baisez-moi , enculez-moi a fondil se pencha sur moi , posa un main sur le cote de mon visage pour le faire tourner vers lui, me regarda- tu vas être complètement a moi , dis le- je suis a vous Alainil accentua ses assauts- voila c est bien tu vas être ma chienne et j en connais qui vont être contentil se remis bien en position , me rattrapa aux fesses et se déchaîna dans mon cul , j étais a sa merci complètement et je sentis du jus sortir de ma queue a moitie tendue et je partite dans une longue jouissance anale pendant qu il me pilonnait- je vais jouir ma chienne , je vais bien te remplir le cula ces mots mon cul devint devint indépendant de moi et il allait a la rencontre de la bite d alain pour en prendre le plus possible , Alain ne bougea plus plus et c est moi qui me déchaînait sur son dard-oui oui je veux le jus , je veux le juspuis d un coup je le sentis exploser en moi , je m empalais a fond sur lui serrant mon anus autour de lui pour lui faire bien sortir toute la semence , et ma queue coulait encore , je tremblais de tous mes membres , il se retira , je me tournais et je me jetais sur sa queue pour la nettoyer- ho ça c est très bien , tu as bien compris ce que je veux d une bonne chienne il me claqua les fesses , il me prit le visage le remonta et déposa un doux baiser sur mes lèvres avant de se rhabiller- demain quand tu arrives de boulot tu viens chez moi de suite .ok- oui Alainet il partit , je restais sans bouger quelques minutes perdus dans mes pensées , comme j avais aime et ce petit baiser a la fin m a fait fondre, je veux être a lui depuis yahes ça ne m était plus arrive , je pars prendre une douche puis je me couche apres avoir jete le concombre dont je n aurais plus besoin je pense , et je m endors paisible et le cul tout chaud

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Marie voulait aller danser.

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Ahegao

Marie voulait aller danser.Il est 7h30 du matin, je viens d’arriver au bureau, j’ai une tasse de café à la main quand mon mobile bipe, un sms vient d’arriver. Je me saisi de mon Erikson GH337, rien à voir avec les smartphones d’aujourd’hui, et je lis :« Coucou mon cœur, serais tu dispo pour m’emmener danser samedi soir. Marie »Cela faisais environ deux ans que notre relation avais commencé, et savais que Marie adorait danser, qu’Henry n’aimait pas ça, et que cela faisait parti des nombreux reproches qu’elle lui faisait. Il était devenu, après avoir été le père de leurs deux enfants, le colocataire. Elle avait surtout pitié de cet homme qu’elle avait profondément aimé et qui aujourd’hui n’était plus que le père de Laura et Vincent. Elle acceptait malgré tout, quelques rapports occasionnels, toujours par pitié, mais disait qu’il s’agissait du devoir conjugal. Il n’aimait rien de ce qu’elle aimait, ni la danse, ni les sorties randonnées, ni les soirées entre amis, ni même le sexe et cela depuis toujours.Jusqu’à notre rencontre, ou plutôt jusqu’au le début de notre relation, Marie s’organisait avec quelques amies, puis sa sœur depuis leurs mutations, pour aller marcher, danser, sortir. Mais pour le sexe, rien, malgré les incitations de quelques copines moins farouches, elle s’y refusa. Pourtant elle lui reprochait systématiquement de ne pas avoir eu de plaisir, que leurs rapports étaient trop court et que même si son sexe n’était pas très gros, il n’était surtout pas très dur. Les rapports duraient quelques minutes, ne comportaient pas de préliminaire, si ce n’est les courtes fellations que Marie lui prodiguait pour lui permettre d’avoir une érection acceptable. Courtes, car les fois ou elle essayait d’obtenir mieux, il éjaculait sans crier gare dans sa bouche. Non pas que l’éjaculation buccale la dérangeait, mais le manque d’attention envers elle, le fait qu’il s’endorme comme un bébé après son biberon, sans lui faire le moindre câlin, lui devenait insupportable. Comme elle disait, « c’est moi qui tète, c’est lui qui dort ! ». Donc, ce matin là, à la réception de son message, je lui répondais :« Ok, je m’organise et passe te prendre vers 20h, je t’emmène diner avant d’aller danser »« Génial, je n’en espérais pas tant, mais avec grand plaisir. Doux baisers. Marie. »Je devais m’organiser, car comme le savait Marie, j’entretenais une nouvelle relation avec une copine dite « la régulière » depuis quelques mois et je devais trouver un prétexte pour sauter un week-end. Le week-end étant les seuls moments ou nous pouvions nous retrouver puisque Valérie travaillait à la Capitale. Je n’ai pas eu besoin de mentir, c’est elle qui m’appela, alors que je tentais d’élaborer un plan, pour m’annoncer qu’elle serait bloquée à Paris le samedi et ne descendrait pas à Marseille pour une journée. Cet imprévu m’arrangeait bien, mais je faisais mine d’être déçu en lui disant qu’il me tardais d’être le week-end suivant. Le samedi, après une journée de travail au bureau, je passe à l’étage pour me préparer. Depuis mes débuts professionnels, les affaires marches correctement et grâce à mon travail, j’ai réussi à acheter la petite maison de ville où était mon bureau et y avais élu domicile après quelques gros travaux. Une fois douché, rasé, parfumé et habillé, je saute dans ma Golf et file vers le domicile de Marie. Je décide de me garer sur le parking dans le village et lui envoi un message lui donnant ma position. Trois minutes plus tard, elle arrive avec sa voiture, se gare et en descend. Elle m’apparaît resplendissante, maquillée comme rarement je ne l’ai vu, sans exagération, un maquillage fin et délicat qui met en valeur canlı bahis şirketleri ses immenses yeux de biche. Elle porte un ensemble, blouson et jupe de cuir noir, un chemisier rouge très décolleté laissant entrevoir la dentelle de son sous vêtement de la même couleur, des escarpins assortis ainsi que des bas noirs. Elle me sourit, monte dans ma voiture, me pose un baiser sur les lèvres, attache sa ceinture de sécurité et me dit :« Je suis aux anges, tellement heureuse, c’est notre première soirée ensemble. »Tout en prenant la route, je me dis qu’effectivement notre relation n’était basée que sur les rencontres du mercredi après-midi. Je lui dis :« Puisque c’est notre première soirée, qu’est ce qui te ferait plaisir ? »« Tout ce que tu voudras, ce soir je me sens libre, femme et tienne. Henry sait que je ne rentrerai que demain.»« Tu lui as dis que tu ne dormais pas chez toi ? »« Oui, je n’en pouvais plus de mentir, je lui ai dit que j’avais un amant avec qui je prenais mon pied et qui me faisais me sentir femme. »« Oh merde, ça a dû être un choc pour lui, non ? »« Non, il n’a dit qu’il s’en doutait, qu’il était désolé, qu’il me comprenait car il m’aimait plus que tout au monde mais qu’il ne savait pas me rendre heureuse. Il m’a fait pleureur ce con ! »« Il t’a demandé qui était ton amant ? »« Non, rien, il n’a simplement souhaité de prendre du plaisir et de revenir, au moins pour les enfants. Je l’ai rassuré et lui ai dit que pour moi, comme pour toi,sans te nommer, il n’est pas question de briser notre couple. Pour moi, aller voir ailleurs, c’est combler le manque sexuel et rien d’autre.»Je la regarde d’un air dubitatif, elle me regarde et reprend avant même que je n’ouvre la bouche.« Là, j’ai un peu menti, au fond de moi je sais que je t’aime, mais nous savons tous les deux que ta vie est ailleurs, avec une femme, des enfants, pour moi c’est fait et je n’imagine pas séparer mes enfants de leur père. »Elle sort un mouchoir en papier, rabat le pare-soleil et essuie délicatement les larmes qui font couler son rimmel. Elle me regarde avec un sourire un peu forcé et me dit :« Voilà, je ne ressemble plus à rien, moi qui m’était faite belle pour toi. »« Tu es belle au naturel, tes yeux n’ont besoin d’aucun artifice »Nous roulons tranquillement en direction du bord de mer, par des petites routes sinueuses au milieu des bois, Marie une main posée sur ma cuisse, le regard vague, fixé sur la route qui défile. Elle me regarde et me dit de but en blanc :« Arrêtes toi dès que tu peux, je veux que tu me baises tout de suite »Je la regarde, interloqué, elle ne m’a pas habitué à de telles paroles. Marie est d’un naturel timide et réservé, jamais un mot grossier, sauf peut-être pendant l’amour, et un ton toujours bien à-propos. Là, tout était bien différent.« Tu veux faire l’amour maintenant ? » lui dis-je comme pour corriger son dérapage verbal.« Non, je ne veux pas faire l’amour. Je veux que tu me baises comme une salope, comme une trainée, comme une pute. » Me répondit-elle avec un regard noir et un ton très directif.Je quitte donc la route principale pour un petit chemin forestier sur lequel j’immobilise la voiture, devant une barrière DFCI. Marie retrouve lentement le sourire et ses yeux recommencent à pétiller. Je sort de la voiture, la contourne, et viens ouvrir la portière passager. Marie se lève et remonte sa jupe jusqu’à la taille, me faisant découvrir son petit string rouge qui dissimule avec peine son abricot gonflé. Elle claque la portière, pose une main sur le capot de la Golf, de l’autre, écarte son string et d’un signe de la tête me fait comprendre que c’est à moi de jouer. Je dégrafe canlı kaçak iddaa ma ceinture, déboutonne mon 501, le fait glisser en même temps que mon caleçon jusqu’aux genoux. Impatiente, Marie me lance :« Aller, dépêches toi un peu, j’ai envie de me faire défoncer, aller viens, prend moi directement, viens vite. »Et, c’est sans autre forme de procès que je me suis introduit violemment dans sa petite chatte serrée, la faisant hurler de douleur. Malgré son excitation bien visible et une lubrification naturelle abondante, Marie était particulièrement étroite, en temps normal, il me fallait de longs préliminaires pour la détendre suffisamment et la pénétrer sans douleur. Là, je forçais les chairs intimes et fragiles de son fruit d’amour. Comprenant bien que j’étais inquiet sur son état, elle me regarda par dessus son épaule et me dit :« Mon chéri, ne t’inquiètes pas, ça va aller, vas y, défonce moi à fond, fait moi jouir comme jamais »Rassuré par ces quelques mots qui m’excitaient autant qu’ils me surprenaient, je posais mes mains sur ses hanches et commençait à manœuvrer en profondeur. Elle criait, criait et criait encore à chacun de mes déplacements en elle. Son sexe était si crispé que j’avais l’impression de la violer. Sans cesse, elle me regardait et me demandait d’accélérer. Je la prenais comme jamais, de plus en plus vite, de plus en plus profond, de plus en plus violemment. Son corps était secoué, chacune de mes pénétrations la soulevait du sol, ponctué par un cri, des cris dont la tonalité était en train de changer, ils n’étaient plus les mêmes. La douleur avait quitté son corps, elle avait fait place au plaisir. Les cris étaient devenus des gémissements, son sexe s’était détendu et son fruit de plus en plus juteux facilitait encore mes allers retours. Puis tout à coup, son corps se crispa de nouveau, ses jambes se raidirent, son sexe se rétracta comme pour thermoformé ma queue plantée en elle, elle releva la tête violemment pour regarder le ciel qui s’assombrissait en hurlant son plaisir :« Putain, je jouiiiiiis……. Putain, que c’est bonnnn…. »Je restais planté là, sans bouger, à la regarder jouir, à voir trembler son corps, à la sentir se liquéfier autour de mon pieu profondément fiché en elle. Je ne savais quoi faire, je la laissais reprendre ses esprits. Quelques instants plus tard, elle me demanda de me retirer, regarda mon membre toujours tendu et me dit sur un ton toujours aussi directif, mais avec un sourire très coquin :« Mon cœur, je veux te sentir jouir en moi, mais pour ça…. » elle se repositionna, une main sur le capot de la voiture et écartant la ficelle du string de l’autre et tendant ses fesses vers moi, ajouta :« Encules cette pucelle qui s’offre à toi, aller viens, encules la. »« Mais, Marie, tu m’as toujours dit que par là, ce ne serait pas possible, je ne veux pas te faire mal. »« Aller, viens, ne te fais pas prier, tu en meurs d’envie et moi aussi, alors….. Et puis pour moi souffrir par ta queue, c’est jouir, alors fais nous jouir, prend moi. »Je m’avance vers ce magnifique petit cul tendu vers moi et près à s’offrir, à s’ouvrir, enfin je l’espère. C’est avec quelques réticences que je commence à récolter, avec deux doigts, un peu de cyprine s’écoulant encore de son sexe écarlate, comme tuméfié par mes coups de boutoir, et enduire l’extérieur de son anus. Avant que j’introduise mon index pour la préparer, elle se relève et me dit :« Je te demande de m’enculer, pas de ma caresser la rondelle, alors vas y déchires moi le cul, s’il te plait, déchires moi. »Décidément, je ne reconnaissais plus ma Marie. Mais puisque c’est ce qu’elle souhaite. Je pose ma main gauche canlı kaçak bahis sur sa fesse droite, avec le pouce, j’écarte un peu plus ses globes, admire sa rosette à laquelle j’ai jusque là rêvé, et avant de venir m’y écraser, je crache rapidement dans ma main droite et recouvre mon gland de salive. Je présente mon sexe gonflé à bloc devant l’offrande et commence à pousser. Son œillet résiste et voyant la taille de mon gland écraser cette minuscule fleur, j’ai peur, peur de la blesser irrémédiablement, de commettre l’irréparable. Sentant mon appréhension, Marie m’encourage et me demande de s’enfoncer en elle sans réfléchir. Je lui demande alors de m’aider en forçant elle aussi, comme pour déféquer, pour ouvrir ses sphincters et éviter le déchirement. Je relâche un peu la pression, et constate qu’elle suit mes conseils, son petit anus devient saillant, le petit bourgeon éclot pour devenir fleur, c’est le moment que je choisis pour la butiner. Je pousse d’un coup, mon gland s’engouffre dans cette faille et disparaît, suivi par plus de la moitié de mon membre. Marie, gémit lors de ce dépucelage, je suis surpris de ne pas l’entendre hurler sa douleur à toute la forêt. Elle me regarde par dessus son épaule, un petit sourire illumine son visage et me dit :« Je n’avais jamais imaginé que tu puisses entrer si facilement par là, tu aurais dû me forcer la main il y a bien longtemps. Tu dois être rassuré maintenant, alors lâches toi, je veux que tu me casses le cul bien comme il faut. » et sans me regarder ajoute, comme pour m’encourager:« Aller en avant mon cœur, fais toi plaisir, encules la petite salope que je deviens pour toi. »Sur ces mots, je retire la partie de ma queue déjà en elle, ne laissant que le gland distendre sa fleur, puis par un violent coup de rein vers l’avant encouragé par un râle d’homme des cavernes, je m’enfonce en elle jusqu’à la garde lui faisant lâcher un puissant gémissement de bonheur. Aucune résistance, ma queue glisse en elle comme dans une motte de beurre, la sensation est aussi agréable qu’inattendue. Je m’active en elle et les seuls sons qu’elle émet sont des gémissements. Marie est plus large du cul que du vagin, c’est incroyablement délicieux. Je peux même dire que je suis très alaise, mes vas et viens vont bon train, je la pilonne puissamment et mon plaisir est décuplé par ses gémissements. Je regarde mon pieu s’enfoncer entre ces petites fesses, je me retire et découvre son anus ouvert, bien rond, bien large tel un gouffre dans lequel je replonge aussitôt. Mes bourses se tendent, la chaleur monte de mon sexe jusqu’à mon cerveau, la sève file dans mon manche jusqu’à l’éruption finale en se répandant par plusieurs jets de lave brulante dans l’intestin de Marie. Le raz de marrée qui l’inonde lui fait atteindre un orgasme encore inconnue et d’une puissance rare, elle hurle de plaisir, insulte tous les dieux, supplie pour que le plaisir ne s’arrête jamais puis s’effondre sur le capot de la Golf, les sphincters crispés et resserrés autour de ma queue qui semble vouloir rester bien au chaud jusqu’à ce que mort s’en suive. Il me faut attendre plusieurs minutes dans cette position et attendre que mon sexe retrouve un repos total pour enfin l’extraire de cet anus qui a reprit sa taille originelle. Je repositionne la ficelle du string entre les deux fesses de Marie, remet en place sa petite jupe de cuir noir, relève la belle et l’embrasse tendrement. Elle est vidée, totalement détendue, me rend mon baiser et me dit :« Mon cœur, j’ai vraiment adoré cette baise »« Moi aussi ma puce, je t’ai connu clitoridienne par défaut, je t’ai rendu vaginale et te voilà maintenant annale. »« Me voilà parfaite » me dit-elle avec un immense sourire.« Oui, je crois qu’on peut le dire. Et maintenant, allons diner. »« Avec plaisir, tout ça m’a ouvert l’appétit. »Nous nous installons dans la voiture et reprenons la route vers le restaurant.A suivre….

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L’Offre et la Demande (Claudette)

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L’Offre et la Demande (Claudette)De retour avec les deux dames pour faire de nouvelles commissions un samedi après midi. Danielle et Claudette m’amenant dans un magasin à grande surface pour s’acheter des sous vêtements. Me demandant mon avis sur leurs choix sans pour autant faire perdurer les conversations sur le sujet. Je sentais les deux madames un peu plus calmes qu’à l’habitude. Fort probablement parce qu’elles savaient que je m’étais envoyé en l’air avec leur amie Louise. Une chaleur quand même assez intense s’émanant de leurs corps de sexagénaires. Les deux femmes qui gravitaient dans mon espace avec plus d’aisance. Me sachant alors en très bonne compagnie à présent…Claudette – Ce sera mon tour ou bien ton tour…Danielle – Je dirais le tiens Claudette…Tu m’en donneras des nouvelles…Intégrant un deuxième commerce étant un sexe shop celui ci. Une nouvelle fois les deux femmes ne s’attardant pas trop longtemps dans l’endroit. Danielle s’achetant un vibrateur disco bunny de couleur rose et Claudette un vibrateur classique blanc de grosseur moyenne. Un peu mal à l’aise d’accompagner ces deux vieilles dames dans ce genre d’endroit. La caissière par contre impassible semblait elle déjà avoir tout vue.Une dernière escale apparaissant au super marché. Le panier comprenant du yogourt à la vanille et un autre au café, un filet de porc, du fromage pied de vent, mozzarella et bocconcini, du prosciutto, du jus de pomme, des tomates, un long pain baguette, des oignons jaunes, du persil, une bière güvenilir bahis rousse, un gâteau au fromage New-Yorkais et une bouteille de champagne. Arrivant à la résidence Claudette m’invitant chez elle pour prendre un café…Claudette – Aimerais tu manger quelque chose…Moi – Enfin…Je sais pas trop…Claudette – J’ai envie d’une soupe à l’oignon…En voudrais tu une…Moi – Ah…Ok…Si vous voulez…Claudette préparant la soupe. Notant que Danielle était repartie chez elle avec le fromage bocconcini, le prosciutto, les tomates, la bouteille de champagne, le yogourt au café et le filet de porc. Claudette était une très belle femme de 67 ans. Blonde aux yeux bleus portant des lunettes. Habillée d’un pantalon corsaire et de sandales beiges. Ajouté d’un chandail moulant agencé aux couleurs de ceux ci. Les lèvres rougies, de taille moyenne avec de gros seins tombant. Une élégante femme de 5 pieds 3 fort sympathique. Avec le regard lumineux veuve depuis 5 ans déjà…Claudette – J’ai envie d’être habillée autrement…Alors attend moi un instant…Si tu le veux bien…La madame revenant 15 minutes plus tard habillée telle une secrétaire passablement sexy. Portant une chemise blanche à l’ouverture entrouverte faisant ressortir ses gros seins. Puis un pantalon noir pouvant voir la forme imprégné de sa moule sous celui ci. Observant une partie de sa brassière de dentelle blanche dans l’échancrure déboutonnée. Une demi érection apparaissant de mon côté la voyant ainsi. Une autre madame âgée qui avait visiblement türkçe bahis envie de s’assouvir de ma fervente jeunesse. Les soupes à présent prêtes dégustant le tout. Notant que Claudette était aussi une remarquable cuisinière…Claudette – Alors…La soupe…Moi – Vraiment très bonne…Claudette – Qui se dit bonne cuisinière…Se dit aussi bonne au lit…Moi – Ah…Hey bien…Claudette – Louise…Elle paie bien n’est-ce pas…Moi – Oui…Très bien…Claudette – Tu me trouves belle habillée ainsi…Moi – Oui…Très belle…Claudette – T’aimerais voir un peu d’action dans ma chambre…Moi – Enfin…Si vous le voulez…Claudette – L’achat du vibrateur…C’était pour penser un peu plus à toi en passant…Moi – Ah…Est-ce que Louise vous a…Claudette – Oui…Nous disant aussi que si tu pouvais t’assouvir d’une femme de 78 ans…Alors…Moi – Disons qu’à 23 ans…Je m’attendais pas à coucher avec femme aussi vieille…Claudette – Louise à beaucoup d’expérience de vie…Alors elle savait pertinemment comment s’amadouer un jeune homme comme toi…Avec un peu de tact et d’intuition féminine…Moi – Alors elle était un peu comme mon premier contrat…Claudette – Si tu le dis ainsi…La résidence à une très bonne acoustique…Alors si tu fourres bien…Il doit sûrement y avoir quelques personnes tout près qui t’attendent…Entrant dans la chambre la madame était visiblement en feu. Voulant se faire regarder ses jambes bien ouvertes dans le lit. Gardant mon sous vêtement bleu marin et elle sa brassière. güvenilir bahis siteleri Lubrifiant son vibrateur elle se le passait entre les cuisses d’une cadence soutenue. Remarquant son pubis blanc taillé court. Puis ses gros seins tombant à la pointe dressée ressortant sous son soutiens gorge. Gémissant quelques effluves de mouille coulant de sa fente humidifiée…Claudette – Allez…Viens…Je suis prête…Fourre moi…Abaissant mon caleçon pour venir l’enfourner fougueusement. La madame qui sentait royalement bon prenait mes coups de queue en missionnaire telle une reine. Jouissant en m’agrippant de ses belles fesses rondes mais aussi flasques. Fourrant sa vieille vulve en vitesse pour finalement éclabousser sa fleur de mes semences. Prenant quelques minutes de repos Claudette qui me propose d’aller prendre une douche. Et d’ensuite aller se prendre chacun une pointe de gâteau au fromage. Portant un t-shirt puis mon sous vêtement une fois douché. Claudette revenant ne portant que sa petite culotte blanche avec ses gros seins dénudés. Une fois nos pointes dégustées. La dame m’invitant à chambre pour se faire pénétrer à nouveau…Entreprise en levrette elle voulait que je varie mes rythmes pour accentuer son plaisir. Caressant ses hanches puis ses gros seins mous. Trempant mon pinceau dans sa vieille chatte humide pendant un bon 25 minutes. La madame qui jouissait d’une vive voix. De la cyprine coulant vers l’intérieur de ses cuisses en guise de satisfaction. Des sons de pénétrations mouillées résonnant dans toute la pièce. Espérant voir un jour des photos d’elle 40 ans plus jeune. La madame toujours belle mais avec un corps reflétant trop bien son âge. Une femme qui aimait visiblement être entreprise de cette façon.

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Le club de foot 1/3

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Le club de foot 1/3Cela fait plusieurs semaines que j’ai comme amant Julien un homme d’environ quarante ans, brun, musclé mesurant 1M85 et bien doté question pénis.J’aime bien faire l’amour avec lui car il ne pense pas qu’à lui, il me donne du plaisir.Suivant les circonstances nous nous voyons dans une chambre d’hôtel ou chez lui quand sa femme est absente car elle travaille.C’est un ancien footballeur qui entraîne une équipe dans un bourg situé à une trentaine de kilomètres de chez moi.Je fais l’amour avec lui une ou deux fois par semaine.Question conversation, à chacune de nos rencontres je sature car il dérive rapidement sur le football.C’est un mordu de ce sport et c’est son sujet de discussion dés qu’il en a fini avec les ébats sexuels.Ce lundi après-midi là J’attends Julien sur le parking de l’hôtel bas de gamme ou nous nous retrouvons habituellement.Il arrive, se gare et va directement réserver une chambre à la caisse automatique.Je le rejoins et quand il a retiré une carte magnétique au distributeur je le suis.Nous montons l’escalier extérieur puis il ouvre la porte d’une chambre dans laquelle je pénètre à sa suite.Le mobilier est sommaire mais pour ce que nous allons y faire et vu le peu de temps que nous allons y passer cela suffit.Nous échangeons quelques mots tout en nous déshabillant.Allongés côte à côte sur le lit nous nous embrassons et caressons.Pendant que ses mains passent de ma poitrine à mon sexe en s’attardant sur mon ventre je caresse son torse, son ventre puis ses cuisses avant de finir sur sa grosse queue qui est en érection.Pendant que nos langues se mêlent toujours dans de longs baisers dont il raffole je triture le membre et le masturbe doucement.Je prends l’initiative pour la suite de nos ébats.Allongée sur lui je fais bouger mon corps contre le sien, mes seins frottent contre son torse, mon ventre frotte contre son ventre et mon sexe s’écrase et bouge contre sa queue dure et gonflée. Cela a le don de l’énerver ce qui est mon but.Au bout d’un moment je me positionne tête-bêche accroupie au-dessus de lui, ma chatte au-dessus de sa figure.J’embrasse et lèche ses cuisses, ses testicules et sa verge.Il malaxe mes seins et triture les tétons puis mes fesses avant que je ne sente sa bouche se plaquer contre mon sexe puis sa langue pénétrer à l’intérieur et explorer mon intimité.Après avoir bien léché partout le pénis, je suçote et lèche le gland puis l’aspire faisant sursauter le corps de mon amant qui apprécie ce que je lui fais.Je prends le pénis dans ma bouche et commence une fellation avec des aller-retour d’abord lents puis plus rapides car sa langue qui fouille ma chatte me fait de l’effet.Julien est de plus en plus excité, ses doigts se crispent sur mes fesses et ses ongles pénètrent dans ma peau pendant que j’accélère encore les va-et-vient de ma bouche sur sa grosse queue.Il ne faut pas longtemps avant que son bassin ne se soulève, sa verge gonfle encore et s’agite dans ma bouche pendant que de puissants jets de sperme frappent ma gorge.J’avale tant bien que mal une bonne quantité de liquide.J’ai gardé le membre dans ma bouche et je reprends la fellation.Julien fouille ma grotte et mon anus avec les doigts d’une main pendant que je suce sa queue sans que son érection n’aie diminuée.Avec sa main libre il se met à masturber mon clitoris, d’abord doucement puis de plus en plus vigoureusement.Je fais durer la fellation un bon moment en arrêtant de sucer de temps en temps pour lécher le membre.Le plaisir augmente dans mon ventre qui au bout d’un moment commence à onduler, voyant cela il accentue la masturbation jusqu’à ce que le martyr qu’il inflige à mon clitoris ne soit plus supportable.Mon corps se soulève et se raidit, laissant la queue que je suçais sortir de ma bouche je geins pendant que prise güvenilir bahis de spasmes j’atteins l’orgasme, des giclées de cyprine s’échappent de mon vagin et coulent sur mon amant.Julien me repousse et je me retrouve allongée sur le dos, les jambes écartées, avec lui sur moi.Sans avoir besoin de tatonner pour trouver l’entrée sa queue pénètre dans mon intimité.Elle s’y enfonce en repoussant les chairs jusqu’à venir buter au fonds de mon vagin.La queue de Julien se met en mouvement dans ma grotte, il donne des coups de reins de plus en plus rapides pour faire aller et venir son membre dans mon ventre.Ne voulant pas être en reste j’essaie de faire bouger mon bassin en rythme avec lui.De temps en temps je passe mes bras autour de son cou pour l’attirer contre moi et l’embrasser.Je vois les coulées de ma cyprine sur son visage et en sent l’odeur, ma bouche s’en imprègne quand je l’embrasse.Ses coups de reins sont rythmés par les clapotis de ma mouillure et ses bourses claquent contre mes fesses ce qui est excitant.Je prends du plaisir pendant qu’il me défonce puis son corps se cabre pendant que sa queue s’agite dans ma chatte et y déverse sa semence.Julien s’est maintenant allongé sur le dos, sa queue a perdu de sa prestance et s’est ramollie.Sans attendre, à genoux entre ses jambes, je me mets au travail pour le remettre en forme.Je caresse ses cuisses, pétris ses testicules puis m’en prends à sa verge que je caresse puis masturbe d’abord doucement puis de plus en plus vite.Dans ma main le membre reprend rapidement de la vigueur et grossit.Tout en continuant la masturbation je lèche la verge, suce et aspire le gland.La grosse verge est maintenant bien en forme, je la prends dans ma bouche et lui fais une fellation enfonçant le maximum de sa longueur jusque dans ma gorge.Julien me demande de me déplacer, ce que je fais sans que le pénis ne quitte ma cavité buccale.Mes fesses sont maintenant tournées vers lui et pendant qu’un de ses doigts puis deux s’agitent dans mon anus il se met de nouveau à masturber violemment mon clitoris.Pendant que excitée je lui fais une fellation de plus en plus rapide il ne ménage pas mon clitoris et le plaisir monte rapidement dans mon ventre.Il s’acharne et je comprends qu’il n’arrêtera pas de me torturer tant qu’il n’arrivera pas à me faire jouir.J’ai de plus en plus de mal à sucer sa queue et j’arrête la caresse buccale de plus en plus souvent.Il accentue encore la masturbation du clitoris pendant que je gémis et que mon corps bouge.Ce n’est que quand des spasmes me secouent et que la cyprine s’échappe de mon intimité qu’il cesse la masturbation.Avec lui je ne retiens pas mes gémissements et râles car c’est ce qu’il apprécie et cela le guide dans les tortures qu’il inflige à mon corps.Je suis toujours à genoux essayant de récupérer.Julien se place derrière moi et pendant que je creuse les reins et pose ma tête sur les draps il me prend en levrette.Sa verge s’enfonce dans ma grotte et y fait des aller-retour pendant un moment avant d’en sortir et de venir buter entre mes fesses.Avec une main je la positionne contre mon anus, il exerce une poussée avec son corps et le membre s’enfonce difficilement et doucement dans mon cul.Je ferme les yeux car je ressens fortement le coulissement du pénis qui pénètre lentement dans mon corps puis qui s’immobilise quand il a complètement disparu à l’intérieur et que les testicules butent contre mes fesses.Julien commence à me défoncer lentement car sa queue qui repousse les chairs est enserrée dans mon cul.Si au début c’est un peu douloureux, les sensations plaisantes arrivent quand le membre commence à faire sa place puis s’accentuent car les aller-retour sont de plus en plus rapides et la queue coulisse de plus en plus facilement dans mon cul qui commence türkçe bahis à être bien humide.Julien malaxe en même temps un de mes seins ou martyrise un téton me faisant gémir ce qui l’excite.Ensuite pendant qu’il continue à me défoncer de plus en plus violemment il s’en prend de nouveau à mon clitoris, le plaisir qui n’avait pas beaucoup diminué dans mon ventre redevient intense.Je jouis de nouveau bruyamment pendant que je subis toujours les assauts de sa queue et il finit par arroser mon fondement de sperme avant de se retirer et de s’allonger sur le lit.Je laisse Julien récupérer un peu avant de commencer à caresser son corps.Sans me presser je commence par son torse puis je descends sur son ventre, je continue sur ses cuisses avant de finir sur son sexe rabougri, mais toujours imposant, que je malaxe pendant un moment.J’entreprends de masturber sa queue de plus en plus vite en serrant mes doigts dessus.Je m’acharne jusqu’à ce qu’il aie de nouveau une bonne érection.A genoux à côté de lui je m’occupe de son pénis que je lèche puis suce pendant un moment avec des aller-retour variant de lents à rapides de ma bouche.Une fois satisfaite du résultat je me positionne au dessus de lui mes jambes de chaque côté de son corps puis je fais pénétrer sa verge dans ma chatte puis je fais bouger mon corps pour faire aller et venir le membre en moi pendant un moment avant de soulever mes fesses et de mettre la queue dans mon anus, je commence à remuer pour me défoncer le cul avec le membre de mon amant.Malheureusement ce que je fais subir à mon amant se retourne contre moi, le plaisir devient de nouveau trop intense et j’ai du mal à continuer les mouvements de va-et-vient de mon corps sur le pénis, je jouis de nouveau et reste sans bouger au dessus de Julien.Il me retourne et se met sur moi.Après avoir relevé et replié mes jambes tout en les écartant il me pénètre, pendant qu’il positionne mes jambes il ne manque pas de jeter un coup d’oeil prolongé à mon intimité totalement offerte à sa vue.Sa queue s’active dans ma chatte amenant de nouveau des clapotis car je mouille beaucoup et je me retiens pour ne pas trop râler, les testicules tapent contre mes fesses à chaque fois que le pénis s’enfonce dans mon intimité.Puis après un moment la queue sort de ma chatte et s’enfonce dans mon anus.Il défonce mon cul en y mettant de l’ardeur. Ensuite il alterne entre les deux orifices indifférent à mes gémissements et au fait que mon visage ne doit plus donner l’aspect d’une personne des plus lucide.Il continue à me défoncer violemment et arrive encore à me faire jouir et sans cesser de donner des coups de reins il finit par se soulager dans mes intestins.Allongés côte à côte sur le lit nous récupérons en silence.Une fois les sens apaisés, nous sommes encore sur le lit qu’il se met à parler et remet ça avec le foot. Il ne me parle que du match que son équipe doit livrer dans trois semaines ce qui me saoule.<>.<>.<>.<>.<>.<>.Mon imagination se met en marche, essayant d’imaginer comment battre plus fort que soi.<güvenilir bahis siteleri avant la match, je peux t’aider>>.<>.<>.<<à quoi penses tu>>.<<à une chose à laquelle les hommes ne résistent pas: le sexe>>.<>.Je lui expose mon plan qui est encore vague car c’est une idée que je viens d’avoir.Julien est sceptique mais accepte que j’essaie pourvu qu’il ne soit pas impliqué.Il m’indique qui sont les meilleurs joueurs de l’équipe adverse car je veux en faire mes cibles prioritaires.Le mardi en fin d’après-midi je me rends dans le bourg que Julien m’a indiqué et aux abords du stade je guette la fin de l’entraînement.Les joueurs sortent des vestiaires avec leurs sacs de sport à la main, ils montent dans leurs voitures.Je les suis pour voir où ils vont.Certains s’arrêtent sur un parking devant un bar et y pénètrent.J’en fais autant et je vais m’asseoir à une table en face de la leur.Des yeux me suivent pendant que je traverse la salle et que je m’installe.Les joueurs discutent et blaguent bruyamment.J’écarte les jambes sans discrétion sans me soucier que ma jupe aie bien remonté en m’asseyant et que mon string rouge soit apparent.Je ne regrette pas d’avoir mis une jupe courte seyante.Rapidement des regards se posent sur mon entre-jambes puis les hommes parlent entre-eux et m’observent de moins en moins discrètement surtout ceux qui me tournent le dos et qui doivent se tordre le cou.Cela ne me gêne pas vu que c’est ce que j’espérais. Je bois un verre et patiente car ils ne semblent pas pressés de se quitter.Enfin je vois qu’ils ne vont pas tarder à quitter le bar.Ils me suivent du regard pendant que je sors avant eux et gagne le parking.Je dégonfle un pneu de ma voiture puis j’ouvre le coffre, en sort le cric que je pose à côté de la roue et j’attends.Les joueurs sortent du bar.Je me penche en avant au dessus de ma roue “crevée” faisant semblant de m’affairer mais surtout montrant le maximum de mes cuisses et j’espère mes fesses ainsi que ma culotte.Leurs regards ne manquent pas de se poser sur ce que je montre et j’entends leurs commentaires. Puis ils remarquent que j’ai un problème.<>.<>.<>.Effectivement ils changent ma roue en un temps record.Je serais quitte à aller la regonfler rapidement dans une station service.<>.Je dois insister et finalement trois d’entre eux me suivent dans le bar qu’ils viennent de quitter pendant que les autres rentrent chez eux.Dans le bar, les verres d’apéritifs et les bières commencent à défiler.Sans pudeur ni retenue, en bonne salope que je suis, je leur fais du rentre-dedans.<>.<>.Ils sont de plus en plus échauffés, j’en profite.<>.<>.<>.Ils sont surpris mais l’alcool et mes encouragements aidant ils me demandent de préciser. <>.<>.<>.<>.<>.<>.J’ai touché la corde sensible, leur orgueil de mâles.<>.<>.

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L’ AMANTESandra a sa petite vie bien rangée. Un job qui lui convient, un adorable petit studio bien décoré et deux mecs qu’elle adore. Elle s’est pomponnée toute l’après midi, mettant un peu plus de noir à ses yeux qu’à l’habitude. Une soirée pas ordinaire se prépare, mais ça, elle l’ignore encore.Tout a commencé la veille, par un coup de téléphone d’un de ses chéris, rien de surprenant à cela, mais quand celui-ci lui a dit ce qu’il désirait, elle fut très surprise. Elle l’écouta avec attention, puis après un moment de réflexion accepta enfin la proposition étrange de Paul. Porte jarretelle, bas, string, bustier moulant soutenant bien sa jolie poitrine, une paire de botte, un maquillage soutenu et un long manteau, voilà ce que Paul lui a demandé de porter, en précisant qu’il passerait la prendre à dix neuf heures.Elle est nerveuse car il n’est pas dans les habitudes de Paul de lui demander de telles choses, mais en revanche elle a une confiance aveugle en cet homme, alors elle s’exécute.Dix neuf heures approche. Un dernier coup de brosse à ses cheveux, un raccord maquillage, et enfin après une attente insoutenable, l’interphone sonne.« J’arrive »Elle enfile un long manteau qui lui donne une silhouette de jeune femme très classe, ferme sa porte à clefs et descend les escaliers. Paul l’attend dans le hall. Après l’avoir félicitée sur sa tenue et sur sa beauté, il lui ouvre la porte et la conduit à la voiture. Un large sourire illumine soudain son visage. Bastien est assit à l’arrière de la voiture. Elle est ravie, car Bastien voyage beaucoup et ne vient la voir que très rarement. C’est Paul qui, il y a quelques mois, avait présenté Bastien à Sandra, et elle l’accepta de suite comme son deuxième amant. Quelques effusions durant et le trio est prêt à partir. Impossible pour la jeune femme de savoir où ces deux matous la conduisent. Après maintes questions la seul réponse qu’elle obtient c’est un : « Fait nous confiance ! ».La voiture roule péniblement dans les encombrements. Feux rouges après feux rouges, elle se fraye un chemin vers sa destination. C’est à Opéra que Paul lui demande d’écarter le bas de son manteau. Elle refuse d’un ton sec. Un autobus est arrêté à leur hauteur, et il est hors de question de dévoiler quoi que ce soit aux passagers qui instinctivement regardent dans les voitures. Bastien s’avance vers le siège avant et d’une voix sèche, lui dit : « Si telle est ta confiance en nous, autant faire demi tour, et rentrons chacun chez nous ! ». Elle baisse la tête, et un peu honteuse fait glisser les pans du manteau. Pas trop, juste pour faire apparaître sa peau blanche au dessus de la couture de ses bas. Paul sourit et essaye de voir dans le bus, mais sa position de conducteur lui interdit d’apercevoir quoi que ce soit. Bastien, lui, du bon coté du véhicule, lève les yeux. Six personnes au moins, on le regard fixé sur les jambes de Sandra. Deux femmes et quatre hommes. Si ces dames ont l’air offusquées, ces messieurs, eux, sont à la fête et ça se voit. De larges sourires et des bouches en rond se dessinent sur leurs visages. L’un d’eux, d’un signe fait comprendre qu’il aimerait voir un peu plus haut. Bastien fait part du désir de ce passager à Sandra, qui n’a toujours pas relevé la tête. Timidement elle défait le premier bouton, et le manteau s’ouvre jusqu’aux hanches, dévoilant ainsi le petit string rouge et le porte jarretelle. Paul lui demande de relever la tête. Elle lève les yeux vers le bus, et sent ses jambes trembler quand elle croise le regard de ces voyeurs involontaires. Jambes que Paul, de sa main droite, écarte doucement, puis d’un doigt expert et rapide, tire sur le petit bout de tissu et dévoile au grand jour une belle fente bien rasée, rose et semble t’il humide. Dans le bus, des pouces se lèvent en signe de satisfaction, mais le feu passe au vert, mettant ainsi fin à cette exhibition improvisée. Sandra, rouge de honte, ne dit rien, et reboutonne son manteau. Paul lui demande si elle est fâchée, mais elle affirme que non et esquisse un léger sourire.Le voyage continu, laissant la belle dans l’ignorance totale de sa destination.C’est dans une petite rue proche de la tour Eiffel que Paul se gare enfin. Bastien se penche à nouveau et doucement, donne les dernières instructions. « C’est le point de non retour. Ou tu suis sans poser de questions, décidée à nous faire confiance à chaque instant, ou tu renonces et nous repartons de suite sans que tu ne saches jamais le pourquoi de cette soirée ».Pétrifiée, elle reste là sans bouger, puis après les avoir regardé tour à tour avec de grands yeux de chatte apeurée, elle descend de la voiture. Les deux hommes la rejoignent et lui prenant le bras se dirigent vers un immeuble cossu du quartier. Dans l’ascenseur illegal bahis personne ne parle. Plus de sourires, les visages sont fermés. L’angoisse qui monte en Sandra fait augmenter son rythme cardiaque. Elle espère se calmer en fermant les yeux et en prenant une longue inspiration, mais sa respiration se bloque au moment ou l’ascenseur s’arrête.Ils descendent. Face à eux une grande porte imposante, la seule sur le palier. Paul lui demande de sonner. Après un très court instant d’hésitation sa main se lève. Bastien lui att**** le poignet. « Attend ! » Il passe derrière elle et lui attache un collier autour du cou, lui expliquant qu’il représente la confiance qu’elle lui porte. Elle n’a pas eu le temps de le voir, et c’est au touché qu’elle le devine en cuir, clouté tout autour et orné d’un petit anneau sur le devant. Sa main quitte le collier et se rapproche de la sonnette. Mais c’est au tour de Paul d’arrêter son geste. « Ce n’est pas tout ! »De sa poche il sort un bandeau noir, du genre de ceux que l’on trouve dans les avions pour se protéger de la lumière quand on veut dormir. Il lui tend et lui demande de le mettre, insistant lui aussi sur le fait qu’il représente la confiance qu’elle lui porte. D’une main elle le pose sur ses yeux et de l’autre glisse l’élastique derrière sa tête. « Maintenant tu peux sonner. ». Sa petite main tremblante tâtonne le montant de la porte et son doigt fini par enfoncer le petit bouton doré. Un léger ‘ding dong’ se fait entendre. Les pas qui approchent, laissent deviner un épais tapis posé sur un parquet grinçant, le tout rajoute à l’ambiance un parfum de mystère. « Ha ! Vous voilà enfin. Tout est près, nous allons pouvoir commencer. » Sandra se laisse guider dans ce qu’elle pense être un long couloir, puis le son devient plus ample mais feutré, comme absorbé. C’est un grand salon très stylé. Aux fenêtres de lourdes tentures vertes semblent bouger suivant la valse des flammes des bougies disposées de ci de là. Dans un coin, sur une table basse d’une taille impressionnante, des verres attendent qu’on les remplissent de ce champagne qui se rafraîchit dans son seau. Un grand canapé d’angle occupe l’autre partie de la pièce et au centre un tapis épais et mœlleux accueille le trio. Sandra toujours dans le noir a dû mal à avoir des pensées cohérentes, et les choses ne s’arrange pas quand elle sent une main défaire les boutons de son manteau. Une fois libéré de ses attaches, la main l’aide à s’ouvrir, à glisser sur ses épaules, puis le manteau tombe à ses pieds. Elle a un sursaut. Deux mains se posent sur ses épaules, et la font tourner sur elle-même. Ces mêmes mains descendent le long de son corps, accrochent les ficelles du string, et continuent vers le bas entraînant le bout de tissus rouge. Le silence le plus complet semble règner dans la pièce. Paul s’approche de l’oreille de Sandra. Son souffle la fait frémir. « Agenouille toi ! »Elle tourne la tête. Deux doigts la prennent par le menton et lui replace le visage droit. La voix résonne encore « Agenouille toi ! ». Elle s’apprête à tourner la tête de nouveau, mais finalement s’abstient. Ses genoux se plient, descendent doucement et s’enfoncent enfin dans le tapis. Assise sur ses talons, les mains au creux de ses cuisses, pour tenter de cacher sa nudité, elle ignore que cinq paires d’yeux la contemplent avec envies. « Faite les présentations »Une fois de plus elle sursaute en entendant la voix de leur hôte. Paul lui relève les fesses pour qu’elle ne soit plus assise, mais que son corps forme un angle de quarante cinq degrés parfait, et lui met les mains dans le dos. Puis avec délicatesse, il écarte ces genoux afin que l’objet de tout les plaisir soit visible de tous. Sa poitrine sous le bustier serré, témoigne de son angoisse, en se soulevant rapidement à chaque respiration. Bastien prend la parole, et d’une voix solennelle déclare :« Voici Sandra, voici sa bouche, voici ses seins, voici sa chatte, voici son cul. Ce soir, elle a acceptée que notre volonté soit la sienne, aussi, nous sommes très fiers de vous offrir une soirée de rêve érotique. Messieurs, elle est à vous. »« Messieurs », ce mot claque à son oreille comme un coup de fouet. Sa poitrine se soulève encore plus, emportée par une respiration qui devient incontrôlable. Des applaudissements retentissent. Ces doigts noués se crispent, et…et… !? Et dans un coin elle entend des murmures, des bouchons de champagne qui sautent, elle croit même reconnaître le déclic d’un appareil photo. Elle est perdue au milieu de tous ces sons, nue, agenouillée, offerte. Les minutes lui semblent une éternité. Puis un nouveau sursaut. Une coupe de champagne touche ces lèvres. Elle boit quelques gorgées et sans savoir à qui elle s’adresse dit un petit illegal bahis siteleri « merci » timide. Une goutte tombe sur sa poitrine. Sans attendre une bouche chaude se pose sur son sein afin de lécher la goutte qui tente de s’échapper dans la gorge profonde, et comme pour éviter une autre évasion, deux mains sortent délicatement les seins prisonniers du bustier. Une petite coulée de champagne, volontaire cette fois, éclabousse sa poitrine. La bouche redouble d’effort pour tout récupérer, et finit sa course en se positionnant sur le téton droit. Le petit bout de chair rose est tout dur, droit, gonflé. Sandra sent cela et culpabilise intérieurement de son état d’excitation. Mais très vite ses pensées sont stoppées par des faits nouveaux. Une caresse dans les cheveux, une légère pression sur la nuque, et un gland brûlant se pose sur ses lèvres. La surprise passée, elle entrouvre la bouche et laisse glisser le sexe gonflé de plaisir. Elle le suce avec application, et ne se rend pas compte que son cœur s’est calmé, que sa respiration a presque retrouvé une cadence normale, et que son plaisir monte, monte…Elle s’en aperçoit, quand une main venant de derrière, passe entre ses cuisses, et que des doigts agiles commencent à la fouiller. Elle se sent grisée, humide et chaude. Son clito lui envoie des secousses à chaque fois qu’un doigt le sollicite. On décroise ses mains, et dans chacune, des hommes déposent leurs queues raides et referment ses longs doigts autour. Dans son monde sans lumière, elle voit des étoiles, elle n’est plus elle, elle n’est plus qu’une immense sensation. Elle semble rentrer en transe. Elle masturbe, elle suce, se fait aspirer les tétons et jouit dans cette main fouilleuse, qui a fini par lui glisser un pouce sans qu’elle s’en rende compte tout de suite. Dans sa bouche tout s’accélère, le mouvement de plus en plus rapide annonce une délivrance. Le sexe gonfle par petites secousses saccadées, et dans un râle puissant l’homme laisse échapper son plaisir en longues giclées de semence abondante.La bouche remplie de cet organe ne peut pas tout contenir, et je le sens, des paquets de foutre s’écoulent à chaque commissure de mes lèvres. Cette gourmandise l’emporte, elle aussi, dans un tourbillon de délices et elle laisse échapper quelques sons entre deux succions, ne laissant aucun doute sur son état. D’un coup, d’un seul, elle se retrouve à nouveau seule. Le sperme aux coins de sa bouche coule sur ses seins. Elle tente de s’essuyer, mais n’y parvenant pas et en désespoir de cause elle remet ses mains dans son dos. Elle sent une présence, et un mouchoir en papier vient l’essuyer délicatement. « Qui est ce ?? » demande t’elle d’une voix tremblotante. « Chuttt !! Tu ne dois parler que si on te le demande ». La voix de Paul la rassure un peu. Après quelques minutes qui lui semble des heures, une nouvelle coupe arrive à ses lèvres. Cette fois-ci ont l’autorise à tenir elle-même la coupe. C’est comme un cadeau pour elle, tant ses sens sont bouleversés. Puis on la lève, et l’assoie dans un canapé, en prenant bien garde que ses fesses soient au bord. Quelqu’un passe les bras sous ses genoux et les lèvent. Une langue experte vient lécher les grandes lèvres roses, puis forçant un peu s’aventure plus profond. Elle rentre, sort, titille le petit clito, redescend et tourne autour de l’anus et remonte encore. Il ne faut pas longtemps à Sandra pour se laisser emporter par une vague de plaisir, et juste au moment ou elle ouvre la bouche pour lâcher un soupir, la langue s’arrête. Elle est très vite remplacée par un membre vigoureux qui pénètre la belle lentement tout d’abord et de plus en plus fort ensuite. Les coups de butoir font soupirer Sandra, les sons qui sortent de sa bouche s’amplifient, et enfin elle lâche un peu de jouissance pendant que le pilonnage continu. Elle sent des personnes monter sur le canapé, de chaque coté d’elle. Un gland force l’entrée de sa bouche, pendant qu’un autre caresse sa joue, attendant son tour bien sagement. Après les avoir pris dans ses mains, elle les dévorent à tour de rôle, les aspirent, les lèchent, les sucent, cherchant à faire monter la chaude liqueur. Elle approche les deux glands l’un vers l’autre, puis quand ils arrivent enfin en contact, elle entreprend de les sucer ensemble. La salive coule de sa bouche qui devient bruyante de sons de léchages et de succions. L’homme qui la prend perd le contrôle et lâche une longue rasade bouillante au fin fond de Sandra, qui ne peut s’empêcher de relancer un cri de satisfaction. Une fois sa vulve libérée de tout assaut, ont la retourne et l’installe à genoux sur le canapé. Les deux glands reviennent aussitôt reprendre sa bouche. Des mains puissantes la prennent par le bassin et une queue canlı bahis siteleri de bonne taille plonge dans l’intimité de Sandra, encore dégoulinante du foutre du partenaire précédent. Le va et vient du membre dans l’orifice outragé fait gémir sa bouche encombrée. Tout va très vite et son esprit déborde de sensations et d’émotions. D’autres mains sont venues à l’assaut de sa poitrine, elle perçoit toujours le son des verres qui trinquent, des bouchons qui sautent, le déclic des appareils photos qu’elle devine nombreux. Tellement emportée dans ce tourbillon, elle ne sent pas les quelques gouttes froides, qui d’un tube coule sur son anus. Elle sent tout le monde s’éloigner, les glands quittent sa bouche et les hommes descendent du canapé. Seul celui qui est en elle continu sa besogne. Elle croise les bras sur le dossier du canapé, et y pose sa tête. Elle gémit de plaisir, et instinctivement se cambre pour relever ses fesses, pour être plus offerte que jamais. L’homme sort doucement son sexe dégoulinant du plaisir de Sandra, et vient le frotter légèrement sur son petit trou, à l’endroit précis ou le lubrifiant sexuel avait fini sa course. Puis d’une lente poussée, il entreprend de faire disparaître son membre dans le trou tabou. 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Sans résister, elle la ferme, grimace, et la réouvre vide avec un sourire triomphant et en passant la langue sur ses lèvres.Plus tard Paul et Bastien s’occupe d’elle, elle est essuyée, lavée avec de l’eau chaude savonneuse légèrement parfumée et séchée. Elle se sent un peu reine, et apprécie tous les petits soins qu’on lui prodigue. Ils vont même jusqu’à lui rincer son minou et ses fesses. On la relève. Ces genoux sont rougis par le frottement du tapis. Paul s’approche d’elle, et replace les deux seins lourds dans le bustier, puis il se baisse et remet le petit string rouge, ajuste les ficelles sur ses hanches et dépose un baisé sur son ventre. Sandra, debout, les bras le long du corps n’ose plus bouger. Bastien s’approche d’elle à son tour, lui donne une coupe de champagne dans les mains, l’embrasse dans le cou et à l’oreille lui susurre un petit « Bravo ! ». Les hommes réunis dans la pièce posent leurs verres et applaudissent Sandra. Elle rougie et avale sa coupe d’un trait. Paul l’aide à enfiler son manteau et leur hôte les raccompagne à la porte en retraversant le long couloir. « Bonsoir et merci. »La lourde porte se referme. Bastien retire le collier, et Paul soulève délicatement le bandeau. Le maquillage qui a coulé ne laisse aucun doute sur le fait qu’elle a pleuré. De honte, de peur, de douleur, sûrement un peu, mais surtout de plaisir et ça elle ne leur avouera pas. L’ascenseur les ramène au hall d’entrée, et comme ils sont venus, ils retournent à la voiture. La nuit est fraîche. Sandra respire à fond et monte dans la voiture. Le retour est calme. A Opéra il n’y a plus de bus depuis longtemps. Paul regarde la belle et lui demande si ça va, alors sans rien dire, elle glisse sur son siège, déboutonne le premier bouton de son manteau, écarte les jambes, ferme les yeux et commence une douce et longue masturbation qui coupe le souffle aux deux hommes. Paul croise le regard de Bastien dans le rétroviseur.Ils sont très fiers de leur amante.

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descente aux enfersce texte magnifique a été ecrit par stl67la premiere version a était diffuser sans sa permission je m’en excuse au pres d’elleDescente aux enfers Cette histoire est une fiction (rassurez vous), âmes sensibles s’abstenir… reprise depuis un ancien site…Voici le début de ma vie et à la fois la fin (quelques parts). Je vous demanderai à toutes et tous indulgences et compréhensions, je vous livre ici mes souvenirs sans filtre ni retenu, mes secrets les plus intimes, vous comprendrez sans doute pourquoi aujourd’hui je suis ainsi et pourquoi certaines choses ne passent pas pour moi. Merci de votre soutien et de votre lecture sans jugement.C’est histoire de mes premiers vrais rapports sexuels et la destruction de mon âme. Volontairement et par sécurité je changerai les dates, les prénoms des personnes de mon histoire, bien que tous les faits, eux, ont été malheureusement réels.(ou pas)L’écriture de mon histoire étant délicate et difficile, je la transformerais un peu en texte érotique plutôt que trash (afin de donner des envies bien que seule la vérité compte). Votre imagination fera le reste pour illustrer mes mots, les scènes, les actes et les situations explicites que je vous détaillerais au mieux selon aussi la volonté de mon psychiatre et de mon mari.Situation: Nous sommes en été: le 28 juillet 2004. Il fait beau et doux. Je suis avec des copains de classes, des copains du village et encore d’autres jeunes plus ou moins connus du coin. Bref on passe une journée et soirée ensemble à discuter et vivre notre jeunesse durant nos vacances.Moi: Je m’appelle Estelle, j’ai tout juste 18 ans. Je suis une petite brune de 1m58, pour 49kg, j’ai les yeux gris vert, cheveux mi long et la peau assez claire, on me dit sympathique et j’adore rigoler…je suis une fille simple, sans histoires, studieuse et réservée. Je suis encore vierge et célibataire. Mais je suis amoureuse de THIERRY un garçon de 20 ans (1m75/80, assez musclé… Style Bad boy et Bcbg mais cool et gentil). On a un peu flirté ensemble durant le printemps puis on s’est séparé sans aller très loin (a peine quelques bisous et pas de sexe). C’est lui que j’ai embrassé pour la première fois. Bref c’est mon chéri sans que je sois avec … mon premier amour.Je traîne aussi avec ma meilleure copine SOPHIE (18ans, grande brune bien faite et jolis seins 90b) et son mec du moment HASSAN. Un beau turc de 1m80. Super bien foutu et très typé oriental. Bref on est tous là à discuter, écouter des musiques, fumer, boire des bières ou jus de fruits, certains jouent les bogoss et les max avec des scooters. D’autres avec leurs voitures tuning. Bref c’est une bonne ambiance de vacances. Un peu mode kéké de cité.Bref, comme il est souvent question à nos âges. On parle de tout et de rien et parfois aussi de cul. On a le principe de la surenchère pour se vanter ou non entre nous avec des histoires débiles .Et donc avec ma meilleure copine. On se raconte tout. Nos rêves, nos fantasmes, nos idéaux. .. Bref tout au point qu’un jour j’avais dis avoir vu un film porno (je ne m’en cache pas, cela arrivait parfois) et que j’aimerai un jour savoir ce que cela fait d’être un peu “bousculée” comme la fille du film. Je lui avais dit ça sans réfléchir ni penser à quelconque suite ou conséquences. Juste pour le fun et rigoler. Savoir ce qu’elle en pensait aussi… avec un bogoss comme nos chéris du moment. Bref du pur fantasme dans un moment de délire.Elle aussi me racontait tout de ces moments intimes. Sa première fois, sa première pipe, et tout ce qu’elle osait ou non avec HASSAN et ses autres mecs d’avant.… Bref on était très proche l’une de l’autre, (comme 2 sœurs) et j’avais confiance en elle et en notre amitié. (Jusqu’à ce jour). Bref on a déliré et plaisanté gentiment ensemble sur le sujet et en parlant des mecs de la soirée…. THIERRY mon chéri qui était distant depuis quelques jours, m’avait invité ce soir pour parler et pour garder le contact, HASSAN le mec de SOPHIE, des blacks, des blancs et des beurs du coin, bref tout le monde s’amusaient bien dans la mixité sociale que faisait notre cité.Elle et moi, on parlait de tout voir de trop. On plaisantait entre filles. On se moquait des mecs.. etc.Sauf que…..ma vie a basculé ce soir la.Histoire: Je m’appelle ESTELLE. J’ai 18 ans. THIERRY mon « ex » copain m’a invité à une journée et soirée amicale entre jeunes. Et à 18 ans, amoureuse, on ne réfléchit pas beaucoup. Bref, j’ai cru son mensonge de soirée sympa et j’y suis allé…J’avais mis une jupe noire légère et courte jusqu’au-dessus du genou avec un t-shirt coloré blanc,rose et bleu très simple et qui me met aussi en valeur et féminine et que j’avais noué sur le devant, laissant mon nombril libre. Des sous-vêtements en coton blanc classique. Culotte et soutien-gorge 85c. Aucunes dentelles. Bref juste moi banale et soft. Et pour une fois des petits talons noirs de 4cm pour danser le soir…J’espérais aussi me rapprocher de Thierry dont j’étais accro, donc j’avais aussi un peu de maquillage autour des yeux mais rien de trop aguicheur.La soirée avançait bien avec de la musique très forte, des pizzas, des bières et autres alcools aidant, tout le monde s’amusait et dansait, moi y compris (un peu pompette aussi). Parfois certains mecs étaient un peu collants en dansant et ca me déplaisait car j’avais l’impression d’être peloter sans arrêt. Leurs mains me tenaient, me touchaient les hanches et le ventre ou me serraient la taille toujours plus prêt pour remonter encore ma jupe sur mes cuisses. J’aurai préféré que ce soit les mains de THIERRY mais bon. Au bout de 20 minutes j’en ai eu marre, je me suis défendu et suis sorti de la piste de danse. Évidemment je n’ai pas eu de soutien des autres et on m’a traité de coincée, bêcheuse, connasse et même de salope car je les aguichais (soit disant) en me tortillant sur la piste sans les laisser approcher, pour moi je dansais juste pour mon plaisir sans autres pensées ni provoques… bref j’étais pas bien de la situation, alors je suis allé prendre l’air, histoire que les esprits se calment et que ça se passe.Je pleurais un peu de cette injustice et de leur mots. SOPHIE et THIERRY m’ont vu ainsi dehors et m’ont rejoint. THIERRY m’a consolé un moment… et enfin, une fois calmée, et on s’est réconcilié. On discutait de nous, nos sentiments l’un pour l’autre, puis on s’est embrassé. J’étais une fois de plus sur un nuage…. je retrouvais mon chéri du moment….et ne pensais plus au reste.Sauf que derrière moi… d’autres choses se préparaient.En un éclair tout à basculé. En ¼ de seconde. Ils m’ont mis un sac poubelle sur la tête. Ils m’ont attrapé les bras et les jambes. Ils m’ont soulevé de terre et faite tombé. J’ai hurlé, crié, j’ai essayé de me débattre et me libérer (j’en perdis mes chaussures), je donnais des coups partout, dans vide et autour, mais les mains étaient trop fortes et trop nombreuses. Je ne voyais rien du tout, je ne savais pas ce qu’il m’arrivait réellement, j’étais en panique totale. J’entendais à peine les gens parler sauf THIERRY qui criait « Tenez la – Tenez la »… « Vite – Vite »Puis dans la bagarre. Ils m’ont mis des menottes aux chevilles pour éviter mes coups de pieds. Et je suis à nouveau tombé au sol. Puis d’autres menottes aux poignets. Avec les mains dans le dos. Je criais et pleurait encore plus fort en sentant leurs mains et leur poids me plaquer au sol pour m’empêcher de bouger ou de résister…j’étais en panique totale.Ensuite, très vite, ils m’ont soulevé et emporté jusqu’à une voiture. Je ne voyais rien et me débattait comme un vers pour tenter de me libérer. Mais en vain… je criais toujours … ca allais si vite et le cauchemar semblais irréel.J’étais posée (pour ne pas dire jetée) sur eux sur les sièges arrière. La voiture semblait rouler très vite. Sans doute pour fuir le lieu de la fête et de mon enlèvement. J’étais là, perdue. J’entendais rire. Je sentais des mains me toucher. Ma jupe était relevé sur mon dos,. Mon t-shirt a moitié relevé aussi. Ils me touchaient partout, le ventre, les seins, les fesses, ils ont tirés ma culotte pour m’en faire un string et me donnaient des claques sur le cul. J’étais à leur merci, sans défenses. Je n’entendais que leurs rires, le bruit de la voiture….et mes sanglots étouffés dans le sac sur ma tête.. .. J’étais terrorisée, avec à peine de quoi respirer. Incapable de bouger, mes larmes coulaient sans le vouloir. Je sentais mon corps malmené et exposé. Mes fesses à nues sous leurs mains. Une main impudique me palpait totalement un sein car mon soutien-gorge avait été bougé dans la bagarre le faisant sortir. Bref je me décomposais et me frottais pour leur plaisir et mon désespoir en me débattant allongée sur eux. Evidemment, eux en profitaient pour me fouiller partout et leurs doigts parcourraient chaque repli de mon corps.Au bout d’un moment, la voiture s’arrêta et ils m’ont jeté dehors comme une poubelle… Puis d’autres mains sont revenues et mon portées avant de me lâcher sur le sol en béton d’une pièce, quelque part. Ça ressemblait à une cave ou un local vélo ou poubelle dans la cité. Ils m’ont retiré le sac poubelle de la tête et j’ai découvert ce nouvel environnement. (5 minutes avant j’étais assise en terrasse embarrassant mon chéri et maintenant je suis dans cet endroit crasseux et lugubre qui sent le moisi et l’humidité). Il y a des palettes, des cartons, une table, un canapé pourri, des chaises plus ou moins cassées. Bref un gros bordel et moi au milieu à demi nue, décomposée et ligotée. Sous des néons jaunes, déguelasses de poussière et de gras, et des toiles d’araignées. je me disais en moi même: “Mon dieu, comment est ce possible??, comment je vais finir??”Puis j’ai distingué 4 grandes silhouettes dont celle de THIERRY. Ils m’ont hurlé dessus car je continuais de pleurer, de supplier et geindre ma peur. Leurs mots eurent l’effet d’un électro-choc ….« – Ferme là, ferme là Connasse !!! Personne ne t’entend ici…Ferme ta putain de gueule, ou sinon on te la ferme nous même !! »Ensuite THIERRY s’est approché de moi, de peur je roulais par terre pour m’en éloigner mais en réalité il venait pour m’enlever les menottes de mes chevilles et pour me remettre debout. Mes jambes ne me tenaient plus. D’un coup, Il m’a soulevé et en à profiter pour fourrer sa langue dans ma bouche comme un baiser vicieux et immonde, m’empêchant de crier davantage. Puis m’a demandé de me calmer….Que ce n’était rien de plus qu’un jeu. Pour me faire peur et pour répondre à mes fantasmes…. Sur le moment je ne comprenais rien mais je compris en voyant la miss SOPHIE entrée dans la pièce. … J’étais honteuse et furieuse. Elle trahissait nos secrets de filles. Et THIERRY lui jouait de mes sentiments… Je me sentais perdue et très seule….Mains bloquées dans le dos, a demi nue (toujours). La culotte entre les fesses et mon soutien gorge en travers. Ma jupe et mon t-shirt complètement défais et coincés qui laissaient apparaître des parties de mon ventre ou le haut de mes cuisses et mes fesses. J’étais une loque. Seule, face à eux, je me suis faîtes toute petite. Ils avaient réussi: J’étais morte de peur. Puis l’un des 4 types à fermé la porte du local à clef et l’angoisse est montée d’un cran encore. Ca semblait dégénérer.THIERRY s’est a nouveau approché de moi, et m’a enlever les menottes de mes poignets pour me libérer complètement, Malgré l’angoisse, j’ai essayé de le frapper mais j’étais bien trop faible contre lui.J’ai essayé de crier “au secours”… mais cela n’a eu pour effet que leurs rires et une gifle sur ma joue. J’ai couru vers la porte mais un grand black (MOUSSA) c’est interposé. Bref j’étais prise au piège. Ensuite j’essayais de me réajusté de me cacher, ce qui m’a valu encore des critiques salaces, des insultes et des faux compliments sur mon physique…comme :« Vas-y la bourgeoise, montre nous ton cul ! Ne te cache pas ! » ou bien «On a déjà vu mieux, et puis de toute façon t’es moche ! On t’a déjà vu a poil avant ». Ou des remarques styles, «elle joue la salope en dansant et la bonne sœur dès qu’on l’approche, c’est qu’une chienne », « sale pute », «à poil » « petite salope », et bon nombre d’insultes sympathiques et dégradantes.Cela a durée presque 1/2h (une éternité pour moi) puis voyant que je ne réagissais plus et que je sanglotai dans un coin, l’ambiance se calma doucement. Ensuite, voyant ma détresse et mon mal être, ils ont réalisé être allez trop loin, et ont changé leurs comportements. Chacun venaient me parler et me calmer, expliquaient qu’ils regrettaient de m’avoir fait cela. Qu’ils voulaient juste déconner. … ils pensaient que c’était mon fantasme de me faire « bousculer ». .. même THIERRY pleurait pour s’excuser. Ils disaient aussi que je les avais un peu cherché avant sur la piste de danse et comme SOPHIE avait raconté mes fantasmes, alors…ils ont pensé me faire plaisir et peur à la fois.J’en étais presque à les croire avec leurs excuses bidons, sauf que lorsque je voulais et demandais à partir, ils me répondaient d’attendre encore. Juste le temps que SOPHIE revienne d’une course et qu’on y aillait tous ensemble ensuite. Qu’on était trop loin de la fête aussi et qu’à pied je ne pouvais pas y aller. Surtout vu le quartier…J’avais 16 ans et j’étais incroyablement naïve (ou stupide ou trop alcoolisée par la soirée d’avant). J’aurai du partir sans les croire… même mon pseudo chéri. À ce moment. La miss SOPHIE et HASSAN arrivèrent, mais derrière eux suivait un grand type, 28/30 ans environ 1m85/90, bedonnant avec 100 bons kilos, typé arabe ou moyen orient, barbe mal taillé, des yeux et cheveux très noir, jogging crade….bref le double de moi physiquement, une horreur humaine et accompagné d’un gros chien (genre pitbull féroce). Je le nommerai ici l’ADULTE vu qui dominait tout le monde et qu’il était plus âgé que nous tous.Sur l’instant je repris peur. Puis je me dis en moi-même qu’il devait être le chauffeur de la voiture d’avant simplement. En fait, j’essayais juste de me convaincre de cela…Donc, l’ADULTE m’a regardé de la tête aux pieds, d’un air méprisant, puis à échanger quelques mots en arabe avec 3 autres mecs présents, je ne comprenais rien du tout à leur discussions, je voulais juste partir, et partir vite.Puis la porte à de nouveaux été fermée et le chien attaché devant. THIERRY s’est reculé et le grand type s’est approcher de moi. J’étais toute petite devant lui, facilement 2 têtes de moins. Là j’ai compris que j’étais très mal, j’ai fondu en larmes et supplié de me laisser partir. Le black (MOUSSA) a alors mis de la musique, du rap ou autre chose, je sais plus. Et le grand type m’a collé une gifle au point que je suis retombé par terre… Un des Beur présent (KARIM) s’est précipité vers moi, pour m’aider, mais le regard noir de l’ADULTE lui a fait comprendre de ne pas intervenir.KARIM m’aida juste à me relever, et m’a dit de rester cool et obéir, sinon je ne sortirai pas d’ici vivante. (qu’entendait-il par-là ???)Dans son regard, il ne semblait plus plaisanter, je suis devenu très pale et j’ai vomi de peur devant tout le monde….honteuse de moi-même.L’ADULTE a ensuite dit un autre truc, que KARIM m’a traduit en « DANSE ». Je ne comprenais rien. Je regardais autour de moi, sans bouger, en sanglotant, la mâchoire me faisant mal de la gifle reçue.Puis, ils m’ont ordonné de danser devant eux, sous cette lumière jaune et sale des néons, dans ce local pourri, sur des musiques rythmées et aux paroles douteuses, voir obscènes.“DANSE ON TE DIS, DANSE!!!” cria MOUSSAJe n’y arrivais pas du tout. Je tremblais, les bras serrés contre mon cœur et les jambes figés.De leur côté, ils parlaient encore sans que je comprenne, puis KARIM m’a redit de danser, que c’était un “ordre” et dans mon intérêt. Cela a juste durée 5 minutes, je n’y arrivais pas. Je me déhanchais de quelque cm, je ne dansais pas, à peine quelques petits sots sur place…impossible de bouger…et pas du tout en rythme.Puis tous se mirent à rire et ils ont changé la musique. Je ne devais à présent plus « Danser » mais pire : HASSAN demanda à ce que je fasse un striptease…. J’étais tétanisé… la musique était celle de Joe Cocker dans 9 semaines et demi. Le truc hyper connu, langoureux et explicite. Bref un supplice. « – Danse salope, vas-y, tortille toi, qu’on te vois… » Répétaient HASSAN et KARIM“Oui, vas-y ! Comme avant à la salle quand tu nous chauffais avec ton petit cul.Ouais, vas-y ! Bouge ton cul, danse pour nous et notre frère (l’Adulte) »Bref, tout le monde, me harcelais de mots, même THIERRY et SOPHIE participait a ma déchéance.«SOPHIE – tu voulais être bousculé, on t’offre ton rêves, vas-y… danse. …THIERRY- oui mon bébé, vas y comme si tu le faisais pour moi, comme avant sur la piste de danse… et fous toi à poil !MOUSSA – Vas-y la bourge ! Bouge-toi un peu. On attend, fais nous un strip !!! »Mais pour moi, impossible de bouger, tous ces yeux sur moi, leur perversité et leurs insultes, j’étais anéantie, Ko debout, sans réaction, ni vie.. Voyant que je ne bougeais pas, THIERRY a alors dit : « Bien! Comme tu refuses de nous faire un strip, on va le faire pour toi … viens par là!». KARIM et HASSAN, se levèrent et sont venue vers moi, m’ont ceinturer, puis KARIM m’a glisser à l’oreille que si je me défendais ils me feraient mal, mais vu mon état de panique je ne bougeais plus depuis longtemps. je ne disais que “NON, pitié, laissez moi….non” dans mes sanglots.THIERRY, avec l’accord de l’ADULTE, s’est alors approché de moi, le regard vicieux et immonde. Moi, les bras coincés dans le dos par les 2 autres gars, puis il a sorti un couteau et a commencer a découper et déchirer doucement mon t-shirt sur le devant jusque sous mon soutien-gorge, pour me faire encore plus peur, il jouait avec la lame sur ma peau, il passait la froideur du métal sur mon ventre, entre mes seins, puis les contours, il jubilais de me voir anéanti. Puis d’un coup, il arracha un morceau de mon vêtement laissant mon ventre complètement apparaitre, illegal bahis il s’est ensuite reculé, et on m’a fait tourner comme ca, ils ont tous fait leur commentaires sur ma peau blanche et douce. KARIM et HASSAN regardaient l’ADULTE qui me fixait avec intérêt et désir, j’étais que de la viande pour lui… THIERRY , KARIM et HASSAN me pinçaient et me palpaient à chaque tour sur moi-même….Puis, repoussée au plein milieu de la pièce, et m’ont redemander de danser… comme ça .. seule..Je n’osais rien faire, tétaniser de peur, impossible de faire un seul pas, alors ils m’ont rattrapé et maintenu pour faire face à l’ADULTE. Son visage exprimait de la haine ou de la rage en plus d’un regard pervers et sombre…Un silence passa quand il donna encore son ordre, et KARIM, qui me tenais toujours, est devenu lui aussi très pale. On me remis au centre de la pièce, HASSAN et KARIM me tenant fermement, les bras dans le dos. THIERRY s’avança, couteau à la main, et coupa la ceinture et l’élastique de ma jupe qui tomba alors à terre.Mes larmes coulaient, j’étais bras liés dans le dos, poitrine en avant, en petite culotte devant tout le monde. Tous m’admiraient si frêle, si blanche et si petite ainsi exposée.L’ADULTE approcha, mit sa main sur ma culotte et appuya pour sentir ma fente (ce qui entre 2 sanglots, me fit pousser un petit cri de frayeur et de surprise), puis en s’éloignant il redit encore un mot et THIERRY coupa le reste de mon t-shirt en lambeaux, me mettant ainsi juste en sous vêtement devant ce public odieux et pervers. Pour mieux me voir, HASSAN et KARIM m’avais relâché et c’étaient remis en spectateur, je cherchais à me cacher avec mes mains tremblantes, à m’enfuir, à disparaitre mais impossible dans ce local immonde.MOUSSA dit alors: ” – Alors connasse, tu fais moins la fière, …allez DANSE maintenant, bouge toi…“ Mais cela était impossible.Encore une fois l’ADULTE s’adressa à THIERRY et celui ci revint avec son couteau pour couper les bretelles de mon soutien gorge.La musique tapait toujours dans le local, des sifflements et des insultes passaient aussi, mais je ne comprenais rien. Dans ma tête tout devenait du brouillard. Comme détaché de mon corps je voyais la scène de haut. Moi au centre et eux en arc de cercle. J’étais sale, Sali, humiliée…mise à nue et offerte comme une esclave en public.Puis des mains sont venus, KARIM, MOUSSA, HASSAN, THIERRY, même SOPHIE… tous m’ont touchés le corps, le ventre, les cuisses et l’entrecuisse, les bras, certains tirait sur ma culotte pour voir mes fesses ou ma toison, d’autres sur les restes de mon soutien gorge pour dénuder et voir mes seins. Mais aucun d’eux n’enlevaient de vêtements pour me mettre nue (ordre de l’ADULTE sans doute), ils profitaient tous de mon corps ainsi offert durant quelques minutes, certains venant même me lécher la joue ou me souffler dans le cou.(Tous!!! non l’ADULTE ne bougeait pas, il observait!!) et moi je restais immobile et tétanisé, les yeux figés sur cet homme massif qui me fixait comme de la viande. C’est lui qui me terrorisait, lui qui m’avait frappé, et donnait les ordres. Lui ! Qui arrêta d’un claquement de doigt ce tripotage, me laissant à nouveau seule au milieu de la pièce sous les néons jaunes et sales, quasi nue et humiliée.Ma déchéance fut totale, je n’avais plus conscience d’où j’étais, de qui j’étais… THIERRY me tendit une chaise et me força à m’assoir, mes larmes ne coulaient plus. Il se passa encore un petit moment mais suffisamment long pour que je commence à avoir froid et que mon corps réagisse (au point que mes seins pointaient à travers la fine étoffes et ils le voyaient tous)….KARIM me traduit leurs demandes : les autres s’installant comme pour un spectacle dont j’allais être la vedette. Seule sur scène.« KARIM :- Lèves toi et tourne toi ! c’est bien ! Relax.. et obéi….Maintenant, Penche toi en avant! Cambre toi! Montre nous ton cul et remets ta culotte dans ta fente comme un string….”De dos, tremblante, J’obéis sur chacun des ordres donnés… ma main poussa un peu sur ma culotte pour la faire entrer entre mes fesses, mes globes charnus se dévoilant peu à peu devant leurs yeux pétillants de vice.”Tourne-toi ! Face à nous ! Montre-nous tes tétons bien durs maintenant !.Enlève ton Soutien-gorge, il te sert plus à rien ici ! exécution !!! »Machinalement je le dégrafa et le fis tomber au sol, dévoilant mes seins, petits, fermes et blanc, je les cacha de mes mains, ce qui les fit tous rire encore une fois.”KARIM repris : – mets tes mains derrière ta tête, salope, et cambre toi pour montrer tes petites mamelles ! »Tristement J’obéis…KARIM – Marche devant nous, viens te présenter devant chacun de nous ! Gardes bien tes mains ou elles sont… on va t’examiner ma salope. “J’obéis…. Encore… machinalement, mécaniquement.A chaque fois que je me présentais devant un individu, il me tournait, touchait mes fesses, mes reins et aussi mon scion, puis me pinçais un sein, ou tirait dessus, ou les giflait. SOPHIE, elle, les pressa et les écrasa carrément en commentant qu’il était encore bien ferme et de bonne taille « Juste assez gros pour une branlette, hein THIERRY » lança t-elle dans l’assemblée. Ils me caressaient partout sans pudeur ni tendresse et sans que je n’oppose de résistance. J’étais leur chose.Arrivé à l’ADULTE, je fermai les yeux de peur, mais il ne fit rien. Sans bouger de sa chaise, il avança une main, toucha l’intérieur de mes jambes, me faisant sursauter et écarter les pieds, puis me fit juste tourner sur moi-même. Rien de plus…”KARIM : – C’est bien petite pute, maintenant retourne t’assoir, mais vas y a 4 pattes comme une chienne que tu es… et repasse devant nous pour montrer ta croupe et ton cul…”Toujours debout devant l’ADULTE, presque offerte et écartelée, je descendis très droite et me mis à genou, mes mains toujours derrière la tête, seins nus, il me fixa avec un sourire du diable. J’avais le visage a 50cm de son entre-jambe et il aimait me voir ainsi soumise devant lui et pleine de honte. Il s’imaginait déjà me possédé dans cette posture. Puis en m’éloignant, chacun me donna une fessé à mon passage.J’entendis alors SOPHIE rigoler, et dire que mon cul blanc était flasque, et que je devais faire du sport si un jour je voulais avoir un beau corps. Elle ajouta ensuite: “ Avec un corps pareil jamais tu trouveras de mec, et tu resteras vierge toute ta vie…pétasse”Évidemment, à cette annonce, les sifflets et les claques ce furent plus forts… mes yeux se remplir a nouveau de larmes, et de haine envers SOPHIE qui dévoilait ma virginité ici…KARIM et HASSAN m’ont alors attrapé et mon remise sur la chaise face au groupe….KARIM ordonna violement : – Reprend la pose ! mains derrière la tête. Bouge-toi… !J’obéi…Puis d’un ton plus calme mais très clair, il ajouta : « Maintenant, Ecarte tes jambes, salope !!!! Mieux que ca… en grand. . »J’obéi… laissant apparaitre le triangle de ma culotte entre mes cuisses et sur mon bas ventre.Je suis Estelle, j’ai a peine 18 ans, exposée et soumise à leur volonté. Ma tête tourne… j’ai honte, ma posture est digne d’une pute,… je veux mourir.L’ADULTE se leva alors, toujours en silence, avec son sourire mauvais, il regarda l’assemblé et sorti alors son couteau de sa poche… l’effet fut immédiat, je me suis pisser dessus de peur, j’ai pleuré et supplié, je tremblais. De leur côté certain eurent un mouvement de recul, d’autres sifflaient….Tous ensuite m’ont insulté, traité de pisseuse, de salope, de bourges, bref des insultes à n’en plus finir…je n’osais plus rien voir, ne plus bouger, j’espérais me réveiller de ce cauchemar.J’avais honte et je me sentais morte intérieurement, vidée et seule. Je n’avais même plus la force de pleurer… je restais maintenant immobile dans cette posture ignoble.L’ADULTE s’approcha, son odeur d’homme et de sueur me donnait la nausée, son souffle bovin sur ma peau me donnait le frisson, puis il glissa la lame du couteau sur ma bouche, mes joues et descendit dans mon cou, puis mes seins, avec la pointe il en fit tout le tour et finit sur mes tétons dressés par ce contact glacial métallique… mais malgré cela, je senti le froid de son regard plus grand encore que celui du métal sur ma peau. Puis il dit un truc (un ordre sans doute) puis retourna s’assoir…KARIM souri et donna l’info a THIERRY qui sourit aussi…”THIERRY dit :- Alors ma belle, on va l’avoir notre spectacle ?? Tu es une petite vierge??? Une salope???Mais pour nous tu vas te caresser maintenant !! Devant tout le monde, écarte bien tes jambes et touche ta moule, je suis certain que tu es déjà humide… Et qu’en plus tu te le fais déjà chez toi sous ta couette… car tu aimes ça. Hein ??? Avoue, salope !! Ne joue pas ton innocente, tu aimes ca ? !!”Mortifiée, perturbée et confuse, je fixais THIERRY, (ce fils de p…),puis humiliée je baissa les yeux de honte, malgré ma haine et ma peine je fis descendre mes mains sur ma poitrine pour me pincer les seins …. et les durcir.Tous rigolais de me voir ainsi me tromper et obéir avec les yeux baissés….”THIERRY : tu es vraiment conne ESTELLE, j’ai dit. “ touche ta chatte pas tes seins, et remets ton autre main derrière ta tête comme avant… allez dépêche-toi…”HASSAN : Non attends, j’ai mieux !!! Lèche tes doigts ! Montre-nous ta langue de salope et suce tes doigts en même temps. Je suis sure que c’est une bonne suceuse avec sa bouche de pute.”En effet j’étais conne, j’avais mal compris la demande….et le fait de me pincer les seins leur donna encore plus de spectacle car ils pointaient fortement devant eux à présent.Je fis alors descendre ma main vers mon sexe, toujours sans comprendre pourquoi mon corps obéissait alors que mon esprit bouillonnait de rage et de honte. Puis mon autre main (derrière ma nuque) venant à présent devant moi, j’entrouvris mes lèvres et léchais mes doigts (un peu comme une glace) pensant mimer au mieux une fellation avec ma langue qui tournait sur mon majeur. Jambes ouverte sur la chaise, ma main droite tremblante passa l’élastique de ma culotte pour venir toucher ma toison, ma fente, mon clitoris et ma vulve entre-ouverte… humide certes (pour ne pas dire mouillée) mais de mon urine….je simulais ainsi une masturbation. Ne bougeant que peu mes doigts sur mon orifice délicat. Mon corps réagissait malgré moi, (mes doigts, ma langue, je ressentais de la chaleur dans mon bas ventre, je m’interdisais de réagir, j’avais honte de la naissance de ce désir encore inconnu de moi) je n’osai pas regarder mon état, la vision que je leur offrais, cette excitation palpable. Puis d’autres ordres arrivèrent me réveillant de mon état second…. Triste réalité…”KARIM – Regarde nous dans les yeux, on veut lire ton plaisir de coquine bourgeoise ! Tu aimes ca…t’exhiber, dis le !!!!SOPHIE – Aller ma chérie, bouges tes doigts, enfonces les un peu pour nous donner envies. ! montre nous ta chatte…THIERRY- Salope, arrête de simuler et obéi sinon on te tue. !! Enfonce tes doigts dans ta mouille ! et répond a nos demandes, dis le que tu aimes te branler, dis nous que tu es une sale petite pute!!!MOUSSA – Ecarte ta culotte on veut voir ta chatte humide ! Fais-toi jouir !!!(ce qui n’arriva pas)Moi (tremblante et en sanglots) – je….je suis une pu… une pute.”Tout me parvenait à demi-mots. Et ainsi face a eu 6, durant presque 10 minutes, je me suis masturbé pour la toute première fois… (Depuis ce jour je n’aime pas cela et je ne l’ai plus refait (sauf pour mon mari et encore très peu en simulant))Ensuite, après un moment de flottement et moi toujours la main dans la culotte en train de frotter mon sexe sans désir ni plaisir. J’entendis THIERRY dire:“On va lui apprendre!!!! je pensais le faire seule chez elle, mais avec vous maintenant ca sera plus rapide, elle va apprendre cette petite salope.”Apprendre ??? Apprendre quoi ??? pourquoi chez moi? et ici? de quoi parle-t-il?Je senti ma vie se briser a ce moment-là…. Je compris qu’il voulait me prendre ma virginité, me toucher lui même, me baiser et me violer…..Etonnement, tous se sont tourné vers Sophie…. Ils lui ont dis de faire pareil que moi…ils lui ont aussi donné une chaise, elle a retiré ses fringues (elle avait de plus gros seins que moi) et tous se sont jeter sur elle pour la toucher, la peloter et en abuser… elle a gardé sa culotte aussi et a commencera m’imiter. Pour me montrer l’exemple sans doute.KARIM – Regarde comment elle fait! Arrête de faire ta mijaurée et caresse toi devant nous… Fais comme elle….Ainsi elle et moi étions devenus leurs proies dans ce spectacle obscène. Mais SOPHIE était actrice de mon meurtre et ma déchéance plutôt que victime….Puis L’ADULTE lui fit un signe de la main et elle se releva, les insultes et les mots grivois n’arrêtaient plus, pour elle comme pour moi. Elle me saisit par les cheveux et me fit mettre debout, stoppant ainsi mon exhibition, puis d’une geste rapide, elle descendit ma culotte au niveau des genoux. Je fut a nouveau humiliée, huée et sifflée, ma toison assez fourni pour l’époque ainsi exposée. Encore une fois je tentais de me cacher. Mais en vain.THIERRY ricana et donna l’ordre a SOPHIE de me remettre les menottes et les mains dans le dos. Mes seins pointaient face à eux et tous sifflaient mon corps et salivaient de me baiser…MOUSSA “- Hey les mecs mater sa chatte, elle mouille la salope, elle a les poils qui collent” tous se moquaient de moi.Une fois attachée, KARIM passa alors derrière moi. Il me toucha le ventre puis le sexe pour y glisser son doigt dans mon intimité humide, mais je me débattit et il arrêta voyant l’ADULTE le fixer aussi d’un air mauvais. Il me courba en arrière pour mieux m’exposer et se colla contre mes fesses, je senti qu’il bandait déjà. Puis après un court instant, et le regard de L’ADULTE signifiant son ordre, THIERRY donna de vieux ciseaux rouillé à SOPHIE qui commença a me tondre le sexe par grosse touffe. Malgré mes plaintes et mes supplications, elle continuait et découvrait mon pubis et mes petites lèvres presque nus.Sur le canapé pourri, MOUSSA s’excitait de plus en plus me voyant ainsi… et proposa de me faire un rasage intégrale, idée évidement suivie par tout le monde….sous les cris et hurlements d’une meute de dingues affamés. Je vacillais par tant de méchanceté et de torture, par cette situation et vision d’horreur que je subissais et offrais.A ce moment-là l’ADULTE se leva de nouveau, lui ne disais rien, il observait tout, détaché et sûr de lui. Il reprit son couteau et dit à KARIM de me tenir fermement… ce qu’il fit en me faisant encore plus mal…KARIM derrière moi, coller a moi me disais de ne pas bouger sinon ca allait mal finir… je tremblais de peur.L’ADULTE me présenta son couteau puis s’approcha. D’un geste il m’écarta les jambes et m’imposa un position des plus humiliante. Avec son arme, Il commença a me raser ,son couteau affuté coupait tel un rasoir. Il passait dans le moindre recoin de mon intimité, n’hésitant pas a glisser ces doigts en même temps sur mes orifices pour sentir mon humidité intime et en faire profiter les autres par ses commentaires.Puis une fois le sexe presque glabre, il sorti son briquet et me brula les derniers poils autour de la vulve pour en faire les finissions. La douleur et les brulures furent terrible… je me tortillais de douleur et THIERRY du venir me tenir en plus de KARIM pour me maitriser. Ca sentait la chair brulée, l’urine et la sueur mélangée. c’était l’horreur.Puis ce fut fini… j’étais en larmes, et a présent nue et lisse complètement, la culotte sur mes chevilles… menottée et Impuissante.KARIM se vantait de mon cul, qui l’avait fait soit disant bander quand je me suis débattu. Il disait que je l’avais encore chauffé avec mes fesses sur sa bite… il me pinça encore les seins pour me durcir les tétons puis me redonna a SOPHIE, qui attendais à côté que mon supplice se finissent.Les garçons échangeaient à présent dans leur langue, pour que je ne comprenne rien…. MOUSSA jeta un carton et dit a SOPHIE de me mettre à genou dessus, ce qu’elle fit… puis tous sortir leur sexe… la panique revint dans mon ventre au grand galop.SOPHIE me murmura de m’appliquer, que mon éducation allait commencer…Je compris que j’allais devoir les sucer, moi qui n’ai jamais fait cela de ma vie, j’allais devoir prendre en bouche 5 garçons, 5 monstres, 5 hommes, de tailles, de formes, de couleurs et même de gouts et d’odeurs différents, et pire que tout sans amour, sans volonté juste pour un spectacle malsain..J’étais a genou, mains dans le dos, docile et soumise….avec 5 sexes d’homme devant moi… tous passaient devant moi, je baissais les yeux, mais Sophie me tirait par les cheveux pour me garder droite et pour que je regarde chacun d’entre eux avec leurs bites dressées a quelques cm de mon visage.Ils se donnaient en spectacle, se critiquait et se moquaient entre eux…et moi j’attendais la fin de mon calvaire, a genou et suppliante a coté.En réalité il jouait a la courte bite (principe de la courte paille mais avec…leur bites)… bien évidement, le gagnant fut : l’ADULTE… avec un sexe très épais (5/6cm de diamètre), et une longueur de presque 20cm, son gros gland brun et charnu me faisait très peur et m’impressionnait à la fois.L’ADULTE, vainqueur, se présenta alors devant moi, et SOPHIE me dit de le sucer, je refusa… et elle me gifla les seins et la joue, me claqua les fesses, puis ordonna un ton furieux:« Suce !! Suce-le, salope, tu en crève d’envie. Suce-le… ou sinon…. »Elle ne finit pas sa phrase, que HASSAN dit, « ou sinon on te donne au chien pour te punir. »J’étais terrifié, voir ce chien me fixer, grogner et aboyer avec tout ce vacarme, je ne voulais pas être livré à ce chien…ou défiguré ou plus encore…mais je ne voulais pas non sucer cet homme face a moi..SOPHIE me poussa alors la tête vers ce gland énorme, qui une fois poser sur mes lèvres fermées me donna la nausée….je suppliait du regard mais lui me gardais avec son sourire immonde. “Ouvre ta bouche salope, ouvre sinon..” me redit encore HASSAN.Une, deux, illegal bahis siteleri puis trois poussées sur ma nuque de la part de SOPHIE fit céder mes lèvres et entrer son gland dans ma bouche…(ma toute première fellation avait débuté)…. Tous criaient autour de moi et regardais avec admiration ma bouche ouverte et ce sexe d’homme entre mes lèvres distendues… je suçais (ou plutôt j’accueillais dans ma bouche) ce sexe énorme sous les bravos et les insultes. L’ADULTE imposant doucement la cadence et la profondeur me fit gouter a son gout de vice et d’urine … . je pleurai, les yeux fermés. Lui me possédait.SOPHIE me repris, en me tirant les cheveux: “- Regarde ! Ouvre tes yeux ! Regarde le dans les yeux quand tu suces!!! Obéis chienne ! – Suce le, et fais gaffe avec tes dents sinon on te les casse… C’est bien salope, Suce le…bien… montre que tu en veux… mouille le bien…- avec une telle bouche ca m’étonne pas que tu sois une bonne suceuse, petite bourge!!!” Thierry, aurait du te la mettre depuis longtemps…“Difficilement, j’ouvris mes yeux pour le fixer et voir son plaisir non dissimuler de me posséder enfin et de glisser son membre en moi.Mon viol avait commencé.Puis sans aller plus loin, ils échangeaient quelques mots puis je senti un grand coup de pied dans les côtes, et je m’écroulai au sol. SOPHIE m’enleva les menottes et tous me saisir pour toucher mon corps partout, mon sexe nue et rasé, mon cul (ou certain y glissait leurs doigts), ils m’arrachèrent mon reste de culotte pour me coucher sur des cartons, jambes bien ouvertes, j’étais littéralement écartelée.Je me tortillais à nouveau pour m’enfuir de leurs mains, vicieuses, baladeuses et horribles. Je tentais de cacher mon sexe de mes mains, de fermer mes jambes… mais je n’avais pas assez de force face a cette horde de fous furieux.Couché au sol, HASSAN et KARIM me tenaient les mains au-dessus de la tête, tandis que THIERRY et SOPHIE riaient de me voir me tordre comme un vers sur les cartons.L’ADULTE se mit face a moi, le sexe droit et tendu, il attendait que je me calme et que je ne bouge plus, il était énorme face a moi, et moi si petite, si minuscule…je m’immobilisa de peur …MOUSSA qui me pinçais encore les seins et tentait de me maintenir au sol s’est relevé pour lui laisser une vue imprenable sur tout mon corps étendu et nu.. Puis il y eu un silence de mort.L’adulte dit un mot, KARIM traduit : « ECARTE ! »…Encore une fois…. « ECARTE ! »… Je suppliais et fixais l’homme devant moi, debout, son sexe gigantesque à l’air, encore brillant de ma salive, et qui me demandais d’ouvrir mes jambes… mes mains prisonnières de mes ravisseurs, je ne pouvais rien cacher.Résigné, soumise, j’ouvris doucement mes jambes, et l’ADULTE descendit entre mes cuisses offertes. Il se coucha sur moi de tout son poids et je disparu presque sous lui. Son ventre rond m’écrasa, il plaqua son sexe sur ma vulve, son énorme gland écartant mes lèvres, puis dit quelques mots que KARIM traduit « Tu vas te donner et me prendre en toi, petite blanche, tu vas voir !!».Sans ménagement et progressivement, il me pénétra et me déchira tout l’intérieur avec un bruit de grognement a****l. Je hurlais de douleur par cette pénétration forcée, je subissais son assaut… je fixais le néon jaune au-dessus de moi…pour tenter d’oublier mais impossible avec cette douleur qui me transperçait. A cet instant, Je perdais ma virginité, mon honneur, ma vie. Je suis violée, déchiré, brisé, impuissante et morte sur ce sol, avec ce garçon (ce monstre) qui me perfore le ventre. Qui pousse toujours plus loin et fort son sexe dans mes intestins et mon intimité.Je ne suis plus la même je suis ….détruite.Le sang coule a présent de mon corps, et tout le monde applaudi mon violeur…Il coulisse difficilement en moi, je suis trop jeune et trop petite, il force le passage pour me remplir toute entière avec son sexe. il se redresse pour mieux me voir, je sers les dents autant que me paupières. Je suffoque par manque d’air. je supplie encore “pitié, pitié …laissez moi…” Il me place mieux et remonte mes jambes pour m’ouvrir d’avantage,, me saisit les hanches de ses grosses mains sales et me plante tout son mat dans le sexe… je suis empaler de toute sa longueur. J’ai horriblement mal et lui jubile de me remplir, mon sexe écartelé et distendu par mon agresseur. A travers mes larmes, je vois des flashs. Je ne sais pas si ce sont des photos ou mon esprit qui déraille, j’ai envie de vomir et de mourir. L’ADULTE me pilonne ainsi un moment, les encouragements des autres mecs l’aidant à me secouer et me perforer comme une poupée. Je ne résiste plus. KARIM et HASSAN sont maintenant juste spectateur et supporter. SOPHIE, elle, essais de se dérober mais MOUSSA la menace du même traitement pour qu’elle reste et lui impose de lui faire une pipe à genou…Certains viennent par au-dessus et présentent leurs bites devant ma bouche mais l’ADULTE les repousse tous d’une main pour être seul a profiter de moi. Parfois, on me tient les bras, je reçoit aussi quelques gifles et crachas, on me pince les seins, on les tire, on les mords, je suis un pantin entre leur mains.A ce moment, anéantie, mon corps mutilé et mon âme en charpie, j’attends la fin de mon calvaire … mais qui en réalité ne fait que commencer.Puis l’ADULTE, force plus fort, me donnant de violent coup de rein, je le sens en moi, son sexe énorme grossissant encore, ses veines, son pieu de chair coulissant dans mon vagin distendu, son gland immense qui frappe au fond de moi me déchirant complètement …et poussant très loin… ma gorge émet des râles de gémissements qui sont pris pour du plaisir alors qu’en réalité ce sont des hurlements de douleurs étouffés sous les secousses ou le peu d’air de mes poumons qui s’échappe de moi. Les mots salaces continues (elle aime ça la pute, grosse salope, on va te défoncer, on va tous te remplir,) THIERRY , toujours aussi gracieux, commente mes bruits et encourage mon bourreau. “Vas-Y mec. Bourre la bien. Elle aime ca, écoute comme elle en demande. “Vas-y défonce-la à fond…, fous lui ta bite au fond de la chatte, j’adore l’entendre gueuler et gémir…” elle mérite que ca cette pisseuse” “ remplis la!!!”C’est ce qu’il fit, dans un instant de lucidité je réalise qu’il n’a aucun préservatif, et je sens son foutre brulant me remplir l’utérus ou ce qu’il en reste… je le sens en moi se vider, il jouit par grand jet …ça me brûle et m’inonde tout le corps. Quelle horreur, ce monstre me féconde… Puis l’ADULTE se retire, me laissant inerte sur le sol, dans le sang et le sperme.Je suis morte ? vivante ? Je ne sais plus… j’ai mal partout, je vomi encore… je n’ai aucune force. Je sais seulement que je ne bouge plus par terre, les cris, insultes me sembles lointain et pourtant tres proche. Le chien qui aboie encore me ramène à ma triste réalité.Apres un moment encore, je repris un peu mes esprit et je me mis a pleurer, coucher au sol, je me recroqueville sur moi-même. L’ADULTE est parti, mais les autres veulent leur part aussi… MOUSSA et THIERRY forcent Sophie à les sucer, pour se mettre en forme. Les autres viennent me voir et me soulèvent dans la pièce chaude et moite. Il me couche sur le dos sur la table de la pièce pour mieux voir ma chatte ouverte pleine de sperme et de sang. Il en profites pour me malaxer les seins a leur hauteur me faisant gémir de douleur a chaque pincement.. encore des flashs (cette fois c’est des photos, j’en suis sure) j’imagine mes parents recevant cela, je veux mourir. Puis KARIM et HASSAN se branlent sur mes seins et me font sucer leur bites, ils se frottent sur mon ventre et mon visage. THIERRY, quitte la bouche de SOPHIE et se place entre mes jambes, il tire sur mes hanches pour approcher mes fesses du bord de table et sans ménagement il me pénètre à son tour. Il me baise et commente pour les autres autour (AHHH comme j’en avais envie de toi ma belle, tu es bonne ! tu aimes ça la bite hein ? avoues…), (tu fais moins la fière petite vierge, tu aimes te faire bourrer comme une petite pute.. hein, avoue!!!!“) il me gifle, me pénètre violement et me baise férocement, mes seins se balancent au rythme de ses coups de reins ce qui excite HASSAN et KARIM au dessus de moi en train de se branler.Puis THIERRY m’ordonne de lui répondre :T- Dis le !!! tu aimes ca !!! Dis le salope !!!Moi… (en larmes évidement) – P… Pitié arrête..Je reprends des gifles, et il recommence : « Dis le…tu aimes ca.. »Moi – J’aime ca… T- maintenant dis : que tu es une salope ! que tu veux que je défonce ta chatte de vierge…Moi… – je….suis …je suis ..je suis une salope..T : Dis nous que tu en veux plus.. que tu veux mon sperme dans ton ventre…!! aller!!! dis le trainée!!!Tu vas tous nous vider les couilles, Dis le… !!!Moi: je … je veux plus… » (je veux surtout que cela s’arrête…)L’intense excitation de m’entendre prononcer ces mots, le fit éjaculé dans mon ventre, KARIM surexcité de la scène, m’a enfoncé sa bite dans la bouche et me tenant la tête m’oblige à avaler son éjaculation.Pendant se temps HASSAN avait rejoint MOUSSA qui prenait SOPHIE en levrette a coté….et lui imposait une gorge profonde…La soirée était devenue une orgie… et moi une esclave sexuelle au milieu de tous. Pendant un court temps de repos, Ils ont fumés et bu encore. ils m’ont forcé a boire et fumer aussi… mais je vomissais a chaque fois. J’étais complétement malade, j’avais mal partout… Puis pour me laver et me réveiller, ils m’ont arrosé avec de l’eau froide, pour me nettoyer de toute la poussière collé par la sueur sur ma peau… trempée, j’apparaissais très blanche au milieu d’eux et de la pièce… puis il m’on repousser dans un coin pour se reposer.Durant 20 ou 30 minutes, c’était calme ou presque… tous bavardaient et se reposaient.SOPHIE suçait encore un peu THIERRY…mais sans grande ardeur.Bref j’espèrerai la fin du cauchemar. Mais j’avais tords….Tous ensemble, Ils sont revenus autour de moi…et m’ont dit que pour finir en beauté, il fallait un grand final…et que je devais être gentille et docile pour gagner ma liberté…Ils étaient tous les 4 devant moi, la bite a moitié molle, et je devais les sucer chacun leur tour…comme l’ADULTE au départ…SOPHIE chercha alors les menottes et me les remis a nouveau…je ne me débattais plus, je subissais…Mains dans le dos, ils m’ont mise à genou devant eux. Et j’attendais mon supplice…sans réactions.« Honneur a THIERRY » cria HASSAN, puis il a ajouté « Fais ca bien puisque c’est ton amoureux. Fais nous voir tes talents de suceuse, comme avant … »THIERRY se présenta devant moi, me pris les cheveux et me dit « SUCE… SUCE MOI SALE PUTE » et d’un coup net il m’enfonça sa bite dans la bouche… je suçais…il grossissait et me forçait toujours un peu plus… puis il dit « MIEUX que ca, avale tout connasse, montre que tu en veux, » et pour joindre les actes a la parole il enfonça sa queue dans ma gorge et colla mon nez sur son ventre. Je faisais ainsi ma première gorge profonde dans un bruit de déglutition horrible. Tous matait et commentait le spectacle…. Moi la petite fille blanche et sage d’avant, j’étais toute nue, salie, a genou, mains liés dans le dos, le sexe ruisselant encore de leurs actes, maintenant avec un sexe d’homme dans la bouche et ses mains qui me forçait la tête dans des vas et viens terrible…mes seins se balançant à chaque coup de butoir…le bruit de sucions, les insultes…. Cet univers de haine et de sexe me fit réaliser à quel point ma vie se brisait.Ma salive coulait de ma bouche et tombais sur mes seins et le sol… j’étais une marionnette… il commença a éructer et annoncer qu’il allait jouir (Je vais la remplir, mmmmm, oui … c bon.. Avales putain , AVALES…). Je suffoquais de le sentir me baiser la gorge et la bouche…puis je senti son sperme jaillir dans ma bouche et couler dans ma gorge. Il me tenait fermement la tête m’obligeant a avaler sa semence à chaque jet. J’étouffais.Puis se retira et invita le suivant…ce fut KARIM qui fit de même…. Me baisant la bouche et m’obligeant à avaler son sexe… lui ne me tenais pas la tête, il m’ordonna de le faire moi-même, de le sucer et bouger pour l’enfoncer en moi au plus profond… honteuse j’obéissais, serrant ma bouche sur sa bite pour ne pas lui déplaire ou recevoir de coups, il appréciait de sentir mes lèvres l’enserrer volontairement, son plaisir montait vite et durant ce temps, il me massait les seins, me les tordait avec rage jusqu’au moment de jouir.Ensuite ce fut le tour de HASSAN, mais lui n’arrivais même plus à jouir, ni bander, car il avait déjà donné son foutre a SOPHIE, complétement épuisée de l’autre côté de la pièce. Je le suçais plus par principe et rapidement avant qu’il ne cède sa place. Et enfin ce fut MOUSSA, le black, et la réputation qu’il portait était vrai… même si l’ADULTE était bien “monté”, lui pour ses 16 ans avait aussi une bite énorme…il me força les lèvres et la bouche…il se retenait et me tenait la tête, déformant mes joues, ne s’enfonçant qu’a moitié quand il buttait le fond de ma bouche, puis progressivement il me poussa la gorge… je sentais ma gorge se distendre quand il s’enfonçait, les commentaires parlais d’eux même ( hey les mecs, matez sa gorge comme il lui rempli, il la défonce)… je n’arrivais pas a suivre et respirer avec lui… et quand il éjacula, il poussa tres fort ma tête contre lui pour s’enfoncer complétement et jouir directement dans mon estomac…Je vomi a peine s’était-il retiré, et je m’écroulai sur le sol… j’étais détruite…Je regardais autour de moi, tout semblait tourner… puis j’entendais THIERRY m’appeler et des mains me soulever…THIERRY « – on n’a pas encore fini avec toi, si tu veux être libre va falloir payer… »Je ne comprenais rien…MOUSSA me montra l’appareil photo et me dis que si je ne voulais pas de problème et que mes parents ne vois pas ces photos, j’avais intérêt a fermer ma gueule sur la soirée et être encore gentille avec eux. Bien évidement je n’avais pas le choix et je promis que je ferai ce qu’ils demanderaient. Je voulais pas que des photos de moi circulent au lycée, chez mes parents, à leur travails ou encore dans la rue ou sur internet.Je suppliais encore et tous rigolais.Toujours les mains menottées dans le dos, ils m’ont ramené près de Sophie, HASSAN ordonna a SOPHIE de se refoutre a poil et d’ouvrir ses jambes… puis ils m’ont poussé contre sa chatte.MOUSSA –« Allez Estelle, vas y montre nous comment tu fais, lèche lui la moule…petite gouine!HASSAN – oui vas-y? nettoie mon sperme que j’ai laissé, nettoie bien ma copine, et avale tout, je ne veux plus voir de gouttes.THIERRY – Bouffe lui la chatte, montre que tu es une pute… »Ainsi je me mis entre les jambes de SOPHIE, son sexe coller a ma bouche…et ma langue devant fouiller entre ses lèvres et son vagin ruisselant. Je devais boire le sperme qui y coulait.J’avais honte de moi, mais mécaniquement j’obéissais a leurs ordres, je ne pensais qu’a la fin du calvaire. Cela dura un moment comme ca, je devais la faire jouir, en lui bouffant le clitoris ( comme il disaient). j’avais mal partout dans cette position délicate et très inconfortable. Je retombais souvent au sol ce qui me valait d’être fessée violement.Dans cette vision de nous très explicite, évidement un mec (je ne sais pas qui)est venu derrière moi, et a voulu me baiser en levrette, il m’a tenue par les hanches et m’a pénétré très loin et tres fortement, mes douleurs au ventre ont vite reprises malgré les semences et le sang encore présent qui lubrifiaient mon sexe ouvert à présent.Je continuais a lécher SOPHIE, pendant qu’on me prenait férocement. Elle aussi suçait un mec en même temps et comme la situation était pour eux si existante, tous les mecs ont voulu nous baiser en alternant entre la bouche de SOPHIE puis mon ventre.Un , puis deux, puis trois, puis Thierry m’ont remplis le ventre de sperme encore une fois, si bien que secoué et besogné comme je l’était je n’arrivais plus a lécher la chatte devant moi, et ils me donnaient tous des fessées, ou me pinçaient le corps et les seins pour me punir de ne pas la faire jouir.. certains glissaient des objets dans mon sexe (canette de bière ou leur main) je ne sais plus pour me faire réagir et me mettre au supplice.Ensuite, ils nous misent face a face, pour qu’on se roule des pelles, et toute les deux on a été prise en levrette… elle a 4 pattes et moi a genou en équilibre instable a cause de mes bras entravés… on aurai dit une sorte de concours de baise… Ils s’amusaient de nous voir les jambes ouvertes, nos seins se balançant en cadence, nos reins cambrés et nos fesses tendues… ils nous baisaient et nous bourraient en claquant leurs ventres sur nos culs offerts, cherchant a nous faire gémir toujours plus fort. J’avais mal partout, je ne sentais que la douleur dans mon corps…chacun changeait de place tout le temps. On suçait, on était baisé de force. On tournait sans arrêt, ne sachant plus qui nous avions dans le ventre ou dans la bouche…Puis après un moment, Thierry c’est coucher au sol et a demander aux autres de me placer sur lui… A peine ai-je eu le temps de réaliser que déjà j’étais positionné puis lâcher sur lui, dans cette chute son sexe se planta dans le mien tres profondément et violement m’arrachant encore un cri rauque de douleur. (interpréter pour du plaisir par ces monstres). Puis ce fut un moment de silence… le temps que je m’habitue à la sensation, a son sexe tendu et raide dans mon vagin, son gland déjà au fond de moi et la position d’équilibre instable assise sur son corps.HASSAN a remis la musique et me cria « VAS Y DANSE MAINTENANT ! TU ES LA POUR CA A L’ORIGINE ! OBEI POUFFIASSE !! DANSE»Comment pouvoir danser ainsi attaché et pénétré, je tournais a peine mon bassin, d’avant en arrière, mais cela suffit pour enfoncer THIERRY en moi plus fort, et m’arracher encore des cris de douleur…Tous applaudissaient et encourageaient THIERRY qui me pistonnait en dessous de moi faisant sauter mes seins en cadence avec ses coups de bites puissants, tous jubilaient du canlı bahis siteleri spectacle offert.Ca à durer un moment comme cela, puis tous ce sont relever rapidement, comme si la peur les avait pris, l’ADULTE était revenu….Ils se sont éloignés de moi, abandonné et couché sur le sol. L’ADULTE s’approcha de moi et me saisit par les cheveux, puis me releva et me colla violement contre un mur de pierre froide. Il braillât quelques mots et SOPHIE se précipita pour détacher les menottes de mon dos et venir les fixer devant, a un anneau fixé au mur. A environ 1 m mètre du sol. J’étais terrorisée.A présent dos a la foule, nue, souillée, épuisée et attachée comme un a****l contre ce mur, je suppliais de me laisser partir.L’ADULTE convoqua les autres mecs et leur parla un moment. Puis il revint, et dit ces motsKARIM traduisant : « – Toi la blanche ! Maintenant tu es a moi et je vais te punir… Ecartes tes cuisses Salope.»Et en même temps je reçu une forte claque sur les épaules me faisant tomber par terre. J’étais en panique dans ma tête, ne sachant plus ou et qui j’étais.On me releva, me demanda de me cambrer, puis on me frappa les fesses, le dos, les jambes, le ventre et les seins avec une ceinture ou une corde… on me frappait sans arrêts, pas assez fort pour laisser de grandes marques mais suffisamment pour me tordre de douleur et rougir ma peau….Apres cette séance de torture. L’ADULTE leur demanda ce qu’ils avaient fait durant son absence. Tous se vantaient de m’avoir baisé, et humilié comme il l’avait demandé…Apparemment cela ne devait pas convenir, ils m’ont détaché du mur et mise à nouveau au milieu de la pièce. L’ADULTE pris une chaise et s’installa dans un coin, SOPHIE eu l’ordre d’aller le sucer pour qu’il apprécie le spectacle avec des douceurs.Les 4 autres, eux me firent a nouveau tourner entre eux. Je les suçais ou plutôt ils me forçaient la bouche plus que moi je faisais quelque chose, j’étais assise sur un qui me pistonnais violement pour faire rebondir au maximum mes seins et m’arracher des supplications et gémissements malgré ma bouche pleine d’un autre type… je branlais d’autres…parfois le tout en même temps. Tout cela pour montrer ce qu’ils m’avaient subir fait en son absence et montrer leur « savoir faire » odieux.A un moment, l’ADULTE demanda, s’il m’avait tout fait ?Moi je ne comprenais rien, trop occupé à résister, subir et essayer de respirer, mais HASSAN, lui, compris très vite. Il répondit que non, et l’adulte donna l’ordre (ou l’autorisation d’agir). J’étais assise empalée sur KARIM, je suçais THIERRY et je vis HASSAN faire le tour et venir derrière moi, je compris a cet instant qu’il voulait m’enculer. Je me débattis autant que possible mais coincé entre eux je ne faisais pas le poids. HASSAN se plaça sur mon anus et poussa en moi son membre épais en s’accrochant à mes reins…. Je criais de douleur malgré le sexe enfoncé dans ma bouche….Depuis le début de la soirée personnes n’y avaient pensé, j’espérai secrètement qu’il m’épargne aussi cela. Même si je sentais parfois des doigts s’introduire ou effleurer mon petit trou.Maintenant mon viol prenait une nouvelle dimension…HASSAN me forçant le cul, et poussant très fort dans mon dos… tout le monde réagissait a mes plaintes, et commentaient l’exploit de me voir remplis de 3 sexes à la fois. Puis à nouveau la cadence recommença, les coups de bites dans le ventre, les cris et les mains sur mon corps. Je hurlais en moi-même mais rien ne sortait. Le sang coulais à nouveau, j’étais déchirée, brisée et humiliée….(Voilà comment fut ma toute première sodomie, et pourquoi je n’aime pas cela aujourd’hui, cela même par amour avec mon mari).MOUSSA lui prenait toujours des photos « souvenirs » et riait à côté de l’ADULTE qui admirai la scène…L’ADULTE souriait de me voir ainsi, abusée et violée, moi la blanche et frêle enfant, entre des mains de noirs, et d’arabes de cité plus grands et forts que moi.. Le contraste choquait et faisait réellement film porno. Ils me tournaient, me prenaient, mes 3 orifices douloureux, certain saignaient, ils ne me laissaient aucun répit, un sexe remplaçait un autre…chacun passait par mon ventre, ma bouche et maintenant mon anus… aucune position ne me fut épargnés (sur le dos, sur le ventre, entre 2, a genou, à 4 pattes, sur le sol ou même sur la table..etc), la seule règle était que devait être bien en vue de l’ADULTE, mes orifices ouverts ou remplis d’un male pour que leurs photos “souvenirs” soient parfaite a mon humiliation.Puis MOUSSA, jaloux et excité de ces scènes, lâcha son appareil photo pour nous rejoindre, il voulait aussi des « souvenirs » pour lui et il demanda a KARIM de le remplacer: « Hey KARIM! Prends ça! Et prend des photos pendant que je l’encule cette fille, tu verras comme ma grosse bite noire va bien lui ouvrir son cul a cette salope blanche. » « Vas-y fais des gros plans pendant qu’elle suce aussi, je veux voir sa gueule quand je l’a fourre ».“ Fais moi plaisir, si tu peux filme sa gueule quand je m’introduit dans son ventre, je veux voir ses petites larmes couler et entendre ses gémissements quand je vais la remplir en entier.”MOUSSA arriva derrière moi, j’étais impuissante et subi son insertion.. il me déchira encore davantage (son calibre tres grand) m’ouvrant en 2… Tous me remplir encore de leurs sexes (sans forcement jouir en moi) juste pour le plaisir de me posséder et m’humilier devant ce monstre manipulateur et pervers. J’étais épuisé, je ne ressemblais plus à rien, me laissant faire, pratiquement inerte entre eux… Je perdais a demi connaissance malgré la douleur omniprésente en moi….Puis après quelques minutes ainsi, l’ADULTE, repoussa SOPHIE (qui le branlait), et s’avança vers moi. Toujours en prise en sandwich entre 2 montres, et me présenta a nouveau son sexe énorme, (plus grand encore que la première fois), son gland brun et gigantesque se posa sur mes lèvres, et il me le poussa dans la bouche…. J’ouvris a nouveau grand les yeux de surprise en sentant sa présence….Il me remplit la bouche doucement, il allait toujours doucement, car très sûr de sa puissance….il me tenait la tête, la bouche déformé de son sexe, il m’enfonçait doucement son chibre dans la bouche au point de buter au fond… puis comme MOUSSA, il força encore et me déforma les joues et ensuite la gorge… mes yeux étaient exorbités de cette si grosse intrusion. J’étouffais complétement. Les autres, qui ralentissait leur besognes, regardaient admiratifs son sexe qui prenait la place dans ma gorge et disparaissait cm apres cm dans mon corps. On pouvait distinguer son gland à travers mon cou et les aller-retour qu’il faisait pour me forcer à le “sucer” toujours plus profondément….je tournais de l’œil a chaque mouvement… les autres gars c’étaient immobilisés pour profiter de cette vision et en restaient fascinés.L’ADULTE commençait à gémir mais ne semblait pas satisfait encore, il me saisit alors et me porta jusque sur la table, il me retourna sur le dos, tête presque dans le vide. Il se représenta a l’envers devant moi et me fit ouvrit la bouche. tout en s’aggripant a mes seins et posa son gland sur mes lèvres et d’un seul trait m’introduit la totalité de son sexe dans la gorge, me déformant complétement le cou et me retournant la tête…. Tout le monde regardait avec peur et stupeur la bosse que son mat faisait dans ma gorge. Les mouvements de ce pieux qui me remplissait me faisait vomir sans pouvoir sortir (son gland faisant bouchon), j’étouffais, les yeux révulsés par cet empalement forcé et cruel. pendant ce temps THIERRY se glissa de l’autre coté de la table pour m’ouvrir les jambes, mais la distance lui empêchant de me pénétrer de son sexe, il saisit une bouteille et l’enfonça dans mon vagin grand ouvert pour calmer sa petite frustration..KARIM, lui prenait toutes les photos possibles de mon corps violé, secoué et empalé sur cette table de la torture. Cela ne dura que quelques minutes (pour moi), car je perdis vite connaissance, puis l’ADULTE me libera la gorge. Pour me réveiller, ils me donnaient des fessées et des claques sur la poitrine et le ventre… j’étais battu et secouée de toute part. Je commençais à avoir des bleus partout. Mes seins, mon ventre, mes jambes étaient rouges et sales de la poussière du local. Je ruisselais de sang, de sperme et de sueur… je revenais a moi (malheureusement)Me tordant de douleur sur la table, L’ADULTE me pris et me souleva comme une brindille avant de me projeter contre le mur de pierre… KARIM et THIERRY me tenaient pour que je ne retombe pas, car mes jambes ne me portaient plus. Ils me plaquaient les mains et les seins contre le mur froid, puis comme avant lorsqu’ils me fouettaient, ils me mirent en position de soumise: les bras grands ouverts, forcée de me cambrer pour offrir la vision de mon cul et exposer la bouteille toujours coincée en moi.L’ADULTE s’approcha et me pris les hanches de ses grandes mains sales. Il me força à ouvrir les jambes en plaçant les siennes entre les miennes (j’étais toute petite entre ses grandes mains, mes reins très fins disparaissaient presque dans ses paumes énormes, mon dos et mon corps de blanche gamine contrastait avec le décor et mon bourreau tel un film d’horreur), puis il s’approcha encore, moi a peine consciente, la croupe ouverte et offerte, fesses tendues en arrière, il tourna un peu la bouteille dans mon ventre, m’arrachant des gémissements (toujours mal interprété) avant de la retirer sans précautions.Puis, apres un cours instant, le temps de reprendre a peine ma respiration, je senti qu’il se positionna. Il était là, derrière moi, il bandait férocement et plaqua son pieu sur mon anus… terrifié je tentais de fuir mais les autres me maîtrisaient et j’étais bien trop faible pour bouger. KARIM blême a coté de moi traduisit les mots de l’ADULTE pour que je comprenne mon supplice et pour m’humilier davantage: “- Petite blanche, petite vierge, tu es a moi… je vais te faire comprendre qu’ici c’est pas ta race qui domine, mais la mienne. ..Tu es une salope, et pour toutes les salopes de blanche comme toi, j’ai un traitement spécial…Tu vas voir, tu vas bien aimer…. et tu vas même en redemander et me supplier de te faire mal…”Dis le petite pute,…. dis le moi, je veux t’entendre…Moi (en état de choc): – “Pitié, laissez moi….pitié….. je ferai ce que vous voulez mais laissez moi “….Lui: ” Dis le que tu veux que je te baise!Moi: “ Non pitié…s’il vous plait, non….Lui: ” Dis le !!!!! je te l’ordonne…“ cria t-il férocement.Moi: ” Non pitié…pas ….“ il me frappa le dos et je répondis ” Oui, prenez moi…“ (je m’étonnais moi même de ma réponse et mon acceptation de la torture)Lui: “mieux que ca, sale pute, ….demande moi de t’enculer!!! dis le”Moi: “ Non pitié…pas ca…pas….” encore des gifles me tombent dessus.Lui: “ Dis le ….ou je te tue ….”Moi: (vaincue et soumise) : “ enc…..enculez moi….!”Et sur ces mots, il commença alors a pousser son gland sur mon orifice (plusieurs fois sans succès), moi je résistais puis succombais par manque de force. Je fermais les yeux, la bouche grande ouverte pour trouver un peu d’air en le sentant insister sur mon anneau fragile, puis d’un coup net son gland entra, m’écarquillant les yeux au maximum, me pétrifiant (me tuant). Il me possédait par là aussi… Malgré le passage des autres mecs avant, cette intrusion énorme me figea de douleur. “ Il m’encule!!!! La tête de son sexe énorme est planté en moi, quelle horreur, quelle taille…quel supplice” me suis je dis sur l’instant. Le sang et le sperme qui s’y écoulaient encore l’encourageait à poursuivre sa barbarie, il commença alors a coulisser pour adapter la taille de mon cul a celle de son sexe … Difficilement mais progressivement il continua a introduire son pilonne dans mon ventre et mon intestin. La torture était extrême, mes pieds ne touchaient pratiquement plus le sol tellement il m’empalait sur son sexe et poussait pour me remplir. Sans ménagement, doucement et surement il s’enfonçait en moi. Me coupant le souffle et le corps en deux….cm par cm il me remplit intégralement et profondément. Il atteignit enfin son but lorsque mes fesses vinrent se coller a son ventre bedonnant et crade.Ainsi, pleine et écartelé, Il m’enculait jusqu’à la garde, pour quelques photos “souvenirs” il s’immobilisa ainsi, souriant de me posséder complètement; mais ne laissant pas mon corps s’adapter a son intrusion..Ses mains fermement serrées sur mes reins commencèrent un mouvement de va et viens. KARIM me traduit encore ses mots: ” – BOUGE tes reins, vas y, empale toi ..salope de blanche”.“ Tu aimes ma queue , avoue le…” “ tu es bonne, il est bien serré ton cul de petite bourges..”. L’ADULTE me pris plus fort encore, il me baisais en faisant claquer mon cul sur lui, il grognais comme un gros porc en rut dans mon ventre … chacun de ses coups de reins me décollait du sol et arrachait mes hurlements. Les autres garçons regardaient sans dire un seul mot, presque terrifié eux aussi du spectacle… le sexe énorme de mon violeur, me ruinait l’anus. Durant de longues minutes, il me déchira littéralement le corps avant de se figé et répandre tout son sperme brulant dans le fond de mes entrailles. Cela fut si fort que je perdis encore connaissance. Et m’écroula au sol sans vie…A mon réveil, si je peux dire, j’avais mal partout, je me tordais encore de douleur….L’ADULTE était parti, il avait joui en moi… apparemment plusieurs fois. Les autres garçons m’avaient encore violé par tous les bouts……J’avais du sperme et des crachas un peu partout, sur les jambes, les seins, le ventre, dans les cheveux et la bouche, bref tout mon corps était endolori et couvert de leurs vices. Les 4 garçons fumaient a côté et buvaient en plaisantant… Sophie, les yeux dans le vide, presque inerte et mal en point elle aussi, se faisait sauté par KARIM sur le canapé moisi.J’avais les mains menottées dans le dos (encore), et ils s’étaient amusés a me pénétrer avec divers objets comme des canettes de bière enfoncées dans mon sexe ou un barreau de chaise en bois dans mon anus, des pinces à linge accrochées à mes seins…. Je me réveillais avec la douleur au ventre…mon corps saignait encore. Je pensais être morte, mais malheureusement pas encore. j’étais là comme une poupée, un objet sexuel … même plus humaine…MOUSSA partageait les photos qui me montrait en femelle soumise, humiliée et déshumanisée. Ainsi exposée et détruite. Thierry riait de me voir dans des positions invraisemblable lors des assauts et lors de leurs jeux pervers… ils m’avaient fait faire des choses horribles, j’avais du lécher leurs anus et leurs testicules, j’avais été mise à 4 pattes baisée et sodomisée par tous les mecs, parfois ensembles en double pénétrations ou triple si l’un deux me fourrait la bouche, parfois suspendue au plafond, jambe ouverte et un mec derrière debout sur une chaise m’enculant férocement, écartant mes jambes pour montrer mon vagin rempli par une bouteille face à la caméra…. ou alors entourée de 2 mecs les bras pendus au plafond, il me baisaient en double pénétration remplie de toute leur longueur telle une esclave que j’étais devenu….Enfin, humiliation extrême, on me voyait avec le sexe d’un homme en bouche (THIERRY ou un autre) tout en étant prise en levrette ou en missionnaire par le chien (ou du moins on aurait cru vu sa position sur mon dos et mon ventre avec son sexe en érection entre mes fesses. Je ne m’en souviens plus trop, mon esprit ayant oublié une partie de cette nuit d’horreur encore (et heureusement). ces photos en gros plans pour certaines étaient juste ignobles de barbarie.Mon cauchemar se termina enfin, avec l’arrivée de la police, appelée sans doute par Sophie, et libérée par HASSAN un peu plus tard dans la nuit. Elle avait été recueilli par des passants l’ayant trouvé nue, et agar dans la rue. Elle aussi avait été violée et obligée de faire certaine chose horrible avec tous les monstres de la soirée.Je fus ensuite conduite a l’hôpital, a demi consciente, ou je subi toute une batterie d’examen et test, j’ai eu 2 lavages d’estomac et plusieurs lavement pour retirer tout le sperme ingéré et en moi, j’ai été recousu au niveau du vagin et du rectum, suite aux déchirures subies. J’avais des brulures de cigarettes sur les seins, le ventre et les fesses. J’étais en ruine mais vivante (physiquement), je suis resté 10/15 jours ainsi en soins intensifs avant de rentrer chez moi….une chance (selon les medecins) je n’ai contracté aucune maladie, ni grossesse. (une chance ??? subir cela ??)4 mois après je portais plainte pour viol et agression sexuelle. Je n’avais pas peur de représailles, même si MOUSSA m’avait menacé de recommencer, me tuer et diffuser les photos, je les ai tous fait condamner. Mais également SOPHIE et THIERRY , les premiers a avoir organiser ma destruction.3 mois après j’ai tenté de me suicider, et je suis tombé en dépression.On a changé de région avec mes parents, et bien que je fusse suivi psychologiquement je ne me remettais pas de cela les cauchemars continuaient..…A 19 ans, après une nouvelle tentative de suicide. J’ai rencontré mon mari, il m’a écouté mieux que personne et il m’a sauvé, depuis je me sens juste a lui. Amoureuse a nouveau.La première fois où il m’a fait l’amour je pleurais beaucoup, car j’avais peur. (mais c’est une autre histoire)La première fois où il m’a fait l’amour, j’avais 22 ans, soit presque 4 ans après qu’on se soit rencontré, et se fut merveilleux, comme une renaissance pour moi. Je lui dois tout et il déborde d’amour et de patience. Même si aujourd’hui, il me demande beaucoup de chose et de me soumettre a lui et à vous (lecteurs) et de me confronter a mes démons…Voilà. Ma vie. Ma première fois, mes premières fois, mon histoire et ma destruction …Je vous livre mes secrets, ne me jugez pas, et comprenez pourquoi aujourd’hui j’ai beaucoup de mal a accepter certain acte, ou choses qui vous paraissent anodines et essentielles dans une vie sexuelle épanouie de couple. Mon mari, lui me comprend et me respecte pour ce que je suis….et mon passé…Aujourd’hui, ma vie est autre. Et mon chéri en est le centre a présent.Depuis ce jour, mes nouvelles premières fois sont avec lui… et je veux conserver ces beaux souvenirs pour toujours.Fin.

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