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TRANNY SECRETARY HIGHT SCHOOL 18SELF DEFENCE – Un coup de talon sur les orteils. Très bien, vous avez destabilisé votre agresseur. Profitez-en pour vous dégager et vous retournez, tout en lui maintenant un bras au niveau du poignet. Voilà, comme ça…..Mme ANTOINETTE et REBECCA prenaient des cours de self defence.Stéphane leur professeur, avait crée une séance hebdomadaire uniquement réservée au sexe prétendument dit “faible”.La demande était forte. De nombreuses femmes voulaient apprendre à se défendre, mais n’avaient pas forcement envie de s’entrainer avec des gros baraqués. De plus, Stéphane avait adapté ces séances particulières à la fois à leurs atouts et à leurs faiblesses. En effet, au lieu d’utiliser la force et la puissance comme avec les hommes, il mettait en avant des caractéristiques plus féminines, comme la souplesse et la ruse.Autre originalité, les entrainements ne se faisaient pas en kimono ou autre tenue de ce genre, mais avec les vetements que les femmes portaient habituellement. On voyait ainsi une cheffe de service en tailleur et talons aiguilles, affronter une jeune étudiante chaussée de bottines, ou une mère de famille se defendre à coup de bottes contre un violeur jouer par une retraitée en mocassins.Bien évidemment, il n’y avait pas de tatami sinon il aurait vite été criblé de trous. Les élèves s’entrainaient sur un sol dur, ici du béton ciré, comme ce serait le cas en cas d’agression dans la rue. Seuls quelques matelas étaient disposés ça et là pour amortir les chutes.Ah oui, je ne l’avais pas précisé mais vous l’aviez déjà compris, toutes ces femmes portaient des talons hauts. C’était même la base de toute la méthoque pédagogique de Stéphane. Il en avait d’ailleurs fait son logo : un homme plié en deux avec l’escarpin d’une femme entre les jambes.Je vous ai un peu menti en disant qu’il n’y avait que des femmes. En fait, il y avait également Philippe, un jeune retraité qui s’était porté volontaire pour servir de sparting partner. Son fétischisme pour les talons et ses fantasmes de ballbusting étaient comblés.Stéphane n’y avait vu aucun inconvénient, bien au contraire. Cela rendait les entrainements beaucoup plus realistes. Les elèves étaient pretes à se battre entre elles pour l’avoir comme punching ball. C’était tellement plus excitant de frapper une paire de couilles pour de vrai.Mais revenons à la séance :L’agresseur finit au sol, un bras maintenu vers le ciel par une clef, et la tète écrasée au sol par un talon aiguille.”Soremade” cria le professeur. Le cours étaient terminé pour aujourd’hui.ANTOINETTE et REBECCA restèrent après le départ des autres élèves.- Pourrait-on vous parlez quelques instants ?Stéphane qui avait l’habitude de recevoir des propositions de la part de ses élèves accepta sans hésiter.- Oui bien sur, à quel sujet ?- J’aurais peut-etre du travail à vous proposer. Si cela vous interesse bien sur.- Quel genre de travail ?- Celui que vous faites actuellement, professeur d’art martiaux. Je dirige une canlı bahis şirketleri école de secretariat d’un genre assez particulier. Mes élèves sont toutes de jeunes garçons travestis.ANTOINETTE lu la surprise sur le visage de Stéphane, mais continua ses explications.- Même si les mentalités ont énormément évoluées ces dernières années, il ya encore de nombreux imbéciles qui s’amusent à faire “la chasse aux travestis”. Je veux que mes filles apprennent à se défendre. Vos méthodes d’entrainement leur conviendraient parfaitement.Connaissant son tempérament “coureur”, Antoinette ajouta :- Et puis, vous pourrez bénéficier de certains avantages. Mme REBECCA n’attendait qu’un signe de sa patronne pour intervenir. Elle s’accroupit sur ses talons et s’attaqua à la fermeture éclair. C’était le genre d’agression contre laquelle le professeur n’avait pas trouvé de parade. Sa queue se retrouva rapidement au chaud dans la bouche de son élève.Pendant que son associée pompait avidement la verge, ANTOINETTE poursuivit son discour.- Mon école comprends 120 élèves réparties par groupes de 20. A raison de 4 heures par semaine et par groupe, cela vous assurez 24 heures de cours par semaines que vous pourriez faire en plus de ceux que vous faites le soir. Je suis prete à vous payer 3000 euros net par mois. Vous serez également logé et nourri au sein de notre établissement.Stéphane travaillait depuis peu de temps et ne gagnait pas bien sa vie. Financiérement parlant, c’était une proposition très interessante.ANTOINETTE enfonça le clou.”Les jeunes travestis qui constituent mon école sont toutes plus salopes les unes que les autres. C’est REBECCA et moi qui les avons choisies et qui les formons” dit-elle alors que Stéphane commençait à gémir sous la lange de sa suceuse. – Je ne doute pas un instant qu’en plus des cours collectifs, vous aurez énormement de demandes pour des séances individuelles.Le jeune homme avait parfaitement compris les sous-entendus cachés derrière cette phrase.Et puis il y avait REBECCA qui lui pompait le dard avec ferveur. Si toutes les élèves étaient comme leurs professeures, il passerait certainement de bon moments dans cette école.”C’est d’accord, je veux bien faire un essai.” réussit-il à dire avant que REBECCA ne le fasse décharger au fond de sa gorge.”A la bonne heure” lui dit Antoinette. “J’étais certaine que vous accepteriez ma proposition.””Cependant, j’ai omis de vous parlez d’un petit détail.””Ah… quand MEME!” répondit le jeune homme.”C’est à prendre ou à laisser” rétorqua la directrice de la TSHS.Quelques semaines plus tard :La classe de Samantha était réunie dans la salle de sport. Toutes les élèves attendaient avec impatience la raison de la présence de Mesdames ANTOINETTE et REBECCA.- Mesdemoiselles. A partir d’aujourd”hui, vous allez recevoir des cours d’art martiaux afin d’apprendre à vous défendre en cas d’agression. Je vous présente d’abord Henri. C’est l’assistant de votre nouveau professeur. C’est lui qui canlı kaçak iddaa jouera le rôle de l’agresseur.Et maintenant, je vous présente votre professeure de self-défence….STEPHANIE.Mme ANTOINETTE désignait une belle jeune femme aux cheveux courts, impeccablemet maquillée, vétue d’une belle robe ample noire avec des motifs rouges, et chaussée d’une magnifique paire de bottines aux talons démesurée. Quand elle vit les plaques dorées sur les talons de ces dernières, Samantha voulut aussitôt avoir les mêmes.C’était le “petit détail” qu’avait évoqué ANTOINETTE lorsqu’elle avait proposé ce poste à Stéphane. Il n’y avait que des travestis où des femmes dans son école. La seule exception qu’elle acceptait était Henry, étant donné le rôle qu’il aurait à jouer.REBECCA lui avait fait part de son étonnement face à cette exigence juste après le cours:- Tout de même! Tu y as été un peu fort. Exiger de lui qu’il se travestisse!- Financièrement, il ne pouvait pas refuser une telle offre. Et puis, tu vieillis ma belle. Tu avais plus de flaire quand tu était jeune. Tu n’as pas remarqué comment il nous reluque sans arrêt, comment il s’occupe spécialement de nous depuis qu’il sait que nous avons une queue. Je suis certaine qu’il revait de se travestir sans jamais oser se l’avouer. Là, je lui ai donné une occasion de pouvoir le faire sans risque tout en étant bien payé. Il ne pouvait pas refuser.”- La vieille te remercie de tes conseils, grand-mère! lui avait répondu REBECCA.La suite allait donner raison à ANTOINETTE. Elle et Rebecca avaient donné des cours accélérés à Stéphane pour le transformer en Stéphanie. Oh, il n’était évidemment pas question d’en faire une secretaire, mais juste un travesti donnant le change et capable de se mouvoir avec aisance perché sur ses talons aiguilles.Durant cette petite formation, non seulement Stéphane n’avait pas rechigné à se transformer en femme, mais il y avait pris beaucoup de plaisirs.ANTOINETTE termina son petit discours.”Bon, maintenant que le présentations sont faites, je vais retourner à mes occupations.””Je vous laisse entre de bonnes mains” dit-elle à Stéphanie avant de partir.Ca c’est sur qu’il était entre de bonnes mains. Il risquait même de se retrouver très vite dans de bonnes bouches! Stéphane voyait en effet certaines de ses élèves passer la langue sur leurs lèvres pulpeuses en lui lançant des regards aguicheurs. Et puis, tous ces talons aiguilles dont il était fou et que remuaient lascivement ces jeunes filles. “Je vais avoir du mal à donner mon cours” se dit-il.Stéphanie remarqua une élève avec un paire de seins énormes. C’était l’idéal pour la première démonstation.- Mademoiselle, qu’elle est votre nom?- Delphine.- Delphine, venez me rejoindre s’il vous plait.- Je vous explique la situation. Vous etes dans la rue et un homme vient vous agresser par derrière en vous attrapant les seins.””Henry, à toi”L’agresseur vint timidement poser ses mains sous les gros seins de Delphine.Celle-ci protesta.- canlı kaçak bahis Mais ce n’est pas une agression ça, je sens à peine ses mains!Henry prit chaque seins à pleine paume. Enfin, quand je dis les seins, c’étaient plus les mamelons tellement ils étaient gros.La jeune fille insista : “N’hesitez pas à les caresser pour que ce soit plus réaliste.”Henry se mits a caresser la pointe des seins. La situation l’excitait terriblement et la jeune fille sentit son sexe pointer contre ses fesses à travers sa jupe.- Ah oui, c’est beaucoup mieux maintenant. Là je me sens effectivement agressée.Delphine se laissait caresser les seins depuis une bonne minute tout en remuant son derrière contre la queue dressée de son agresseur.Stéphanie lui dit.” Il serait peut-etre temps de vous défendre mademoiselle.”Samantha intervint.”Vous avez mal choisie votre volontaire madame. Si quelqu’un agresse Delphine de cette façon, c’est sure qu’elle va se laisser faire.” Toute la classe se mit à rire.”Certe” répondit Stéphanie, “mais j’ai un cours à donner.”Sur les conseils de sa professeure, Delphine frappa le sol avec son talon aiguille juste à coté du pieds d’Henry. Celui-ci, mimant la réaction que tout homme aurait s’il recevait vraiment un tel coup sur le pieds, leva ce dernier et dessera son étreinte.- Maintenant, vous saisissez ses deux poignets et les poussez vers le haut. Ensuite, vous pivotez en passant sous un des bras que vous continuez à maintenir, et vous amenez votre agresseur au sol.Henry se retrouva allongé sur le ventre, avec un bras maintenu à la vertical. Il ne pouvait plus bouger. Delphine posa un de ses escarpins sur sa tête en signe de victoire.- C’est bien mademoiselle. Maintenant, vous vous mettez deux par deux et vous répetez cet exercice à tour de rôle.Les élèves répèterent deux par deux cet exercice durant une trentaine de minutes. Henry passa de groupe en groupe pour servir d’agresseur et eu l’occasion de palper un bon nombre de paires de seins. Est-ce parce qu’elles avaient mal compris l’exercice, toujours est-il que de nombreuses agressées se laissèrent ploter longtemps avant de réagir.”On va passer à un autre exercice” déclara le professeur. “Il me faudrait une volontaire.”Samantha leva le doigt aussitôt. Elle avait toujours aimé se porter volontaire dans cette école. Cela finissait généralement avec une queue dans le cul ou dans la bouche.Il expliqua le scénario :- Maintenant, votre agresseur s’avance vers vous les mains en avant dans l’intention de vous étrangler. Vous saisissez ses poignets et dans le même temps vous projetez votre pieds dans son entrejambe.”Chouette, je vais lui donner des coups de pieds dans les couilles. J’ai bien fait de me porter volontaire” se dit Samantha.Henry se plaça en face d’elle.- N’hésitez pas à frapper fort mademoiselle. J’ai l’habitude.Soit il était vraiment maso, soit il n’avait pas vu l’épaisseur de la semelle de ses escarpins.Il se rendit compte de son erreur quand ses testicules furent violemment écrasées contre son os pelvien. Il se roula sur le sol en se tordant de douleur.Toutes les élèves aplaudirent.”J’adore ce cours” se dit Samantha.Henry servit d’agresseur pour toute les filles de la classe. Il se jura de mettre une coquille la prochaine fois.

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